Chapter 4 :: Travail? Vous avez dit travail?...

Published: 06-06-04 - Last update: 06-06-04

Comments: Bon, en ce moment, je peux faire des MAJ régulièrement car j'ai plusieurs chapitres d'avance. Je suis inspirée en ce moment alors j'espère que je ne vous ferez pas trop languir pour la suite! Et j'espère aussi ne pas trop m'étaler en longueur! J'ai peur qu'une trop longue histoire ne finisse pas lasser! Et si jamais vous trouver qu'au fil du temps, c'est moins bien écrit, n'hésitez à me le dire! Et je ferai de gros gros efforts pour vous satisfaire!!! Merci!!!!!!!!

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Makimura n’eut pas d’autre choix que d’accepter le travail de ce grand industriel qui s’appelait Yogota. Il emmena donc Ryô au rendez-vous qui se déroulerait dans le bureau même de Yogota, tout en haut d’un immense gratte-ciel. En arrivant, Ryô tenta de draguer deux ou trois filles mais son partenaire le remit vite sur les rails en l’attrapant par le cou et en l’étranglant. Un homme, qui était le secrétaire de leur nouveau client, les conduisit directement dans le bureau de son patron.  

« _Installez-vous messieurs. Il y a de quoi boire si vous le souhaitez. Monsieur Yogota a été retenu plus longtemps que prévu par sa réunion et vous demande de l’excuser. Il aura quelques minutes de retard. Il vous prie de bien vouloir l’attendre.  

_Bien sûr, répondit Hide, nous allons l’attendre.  

_Merci. »  

Hide s’installa sur le sofa tandis que Ryô s’était posté devant la fenêtre et regardait la ville et ses habitants s’agitant comme des fourmies dans une gigantesque fourmilière (NDA : je suis pas sûre de l’orth ?). Il aimait voir la ville d’en haut. Heureusement qu’il y avait les gratte-ciel pour ça étant donné sa peur bleue de l’avion !! Il tournait donc le dos à Makimura et gardait, comme souvent, les mains dans les poches. Ce dernier observait la silouhette de son partenaire qui se dessinait en contre jour de la fenêtre. Quand Ryô était sérieux, il dégageait de lui une telle force et une telle confiance en soi que s’en était presque effrayant. Hideyuki se demandait souvent si ce n’était là qu’une façade ou s’il était vraiment dans un tel état d’esprit.  

« Kaori pourrait répondre à cette question, songea t-il soudain. »  

Ah non ! Pas de telles pensées ! S’il commencait à envisager que sa sœur… Non, jamais…  

Leur client apparut alors. Il s’agissait d’un homme d’une cinquantaine d’années, grand et mince et qui avait une mine plutôt inquiète et renfrognée.  

« _Bonjour, je suis Kimo Yogota, fit-il en tendant la main aux deux comparses. Puis-je savoir qui est qui ?  

_Bonjour, répondit Ryô, je suis Ryô Saeba et voici Hideyuki Makimura, mon partenaire.  

_C’est moi que vous avez eu au téléphone. Je m’occupe principalement de prendre contact avec les clients et d’effectuer les travaux de recherches préalables. Mais c’est Ryô qui s’occupe de la partie la plus difficile.  

_C’est-à-dire, interrogea Yogota.  

_La protection rapprochée, répondit Ryô très sérieusement. (NDA Très sérieusement ? On n’a jamais vu Ryo comme ça ! Eyh ! N’oubliez pas que nous sommes dans une fiction alternative !!) C’est moi qui me chargerais de la protection de votre fille.  

_Ah oui, je vois …  

_Expliquez-moi la situation Monsieur Yogota. Makimura m’a exposé les grandes lignes, mais moi, je veux les détails avant d’accepter quoi que soit. »  

Ainsi, il avait quand même écouté ce que lui avait fait remarquer Hide ! Et dire que tout le monde pensait qu’il n’entendait jamais rien lorsqu’il s’agissait de jolies filles ! Mais en fait, Ryô était beaucoup plus prudent depuis que son partenaire avait failli y laisser la vie…  

Mais Ryô vit le regard de Yogota s’assombrir. Ce qui le mit en alerte.  

« _Notre société a mis au point grâce à un travail acharné un système qui va révolutionner les problèmes de pollution dûs au gaz d’échappement des voitures. Nous avons eu toutes les peines du monde à garder nos recherches secrètes. Je ne suis pas celui qui vous apprendra que la concurrence fait rage dans notre secteur d’activité. Et l’espionnage industriel est vraiment très âpre. Mais nous sommes tout de même parvenus à cacher notre découverte, dans le sens technique du terme.  

_C’est-à-dire, poursuivit Hide.  

_Que nous n’avons pu cacher que nous avions trouvé un système mais que personne n’est parvenu à découvrir les caractèristiques techniques ! Nous allons déposer une demande de breuvet pour garder l’exclusivité de notre découverte ! Il est hors de question que quelqu’un profite de notre travail ! Mais voilà, cette découverte risque de nuire à certains.  

_Oui, je vois, enchaîna Ryô, si votre découverte est breuvetée, certains secteurs d’activité devront sans doute augmenter leurs coûts car ils seront obligés d’intégrer votre technologie. Et l’appât du gain est toujours la même rengaine.  

_En effet, alors quelqu’un veut absolument me faire renoncer mais comme il sait parfaitement que je ne reculerais devant rien, et qu’il est vain de me menacer, il s’est décidé à en faire payer le prix à ma fille ! L’ordure ! Il n’a même pas le courage de venir m’affronter personnellement !  

_Allons, allons, calmez-vous… Avez-vous une petite idée de l’identité de votre maître chanteur ?  

_Non, absolument pas ! »  

Mais Ryô sut tout de suite qu’il mentait. Il voulait refuser quand il vit une photo posée sur le bureau de Yogota. Un rictus passa alors sur ses lèvres.  

« _Oh, mais qu’elle charmante personne ! Qui est-ce ?  

_C’est ma fille, Akiko. C’est sur elle que vous devrez veiller. »  

Oh la la !! Comme elle était jolie ! Une ravissante petite étudiante, une petite fleur qui ne demandait qu’à être cueillie par un homme de caractère capable de lui faire découvrir l’amourrrrrrrr ! Il voulait refusait parce qu’il avait senti quelque chose de suspect mais là, maintenant, sa libido débordante repris le dessus sur sa raison.  

« _D’accord, nous acceptons, fit-il en secouant très rapidement la main de Yogota en guise d’acceptation du dossier ! »  

Le sourire idiot et le rire sadique de Ryô perturba quelque peu le client.  

_Heu, parfait ! Alors venez me retrouver chez moi, ce soir vers 20h, je vous présenterai ma fille et nous discuterons de l’organisation de votre travail. Tenez, fit-il en tendant un papier à Ryô, voici mon adresse. Je vous y attends.  

_Il n’y a pas de problème. A ce soir. »  

Et City Hunter quitta l’immeuble…  

« _Ryô, pourquoi avoir accepté ? Il y a anguille sous roche !  

_Je le sais, mais tu aurais préféré que nous laissions cette jeune fille aux mains d’hommes qui ont quelque chose à voir avec les affaires de son père et non pas avec elle ? Je ne vois pas pourquoi elle ferait les frais des âneries de son père ! »  

Makimura tomba en arrière et une libellule passa au-dessus de sa tête. Non, mais à qui voulait-il faire croire cela ?! Il était pas croyable !… (NDA : c’est pitoyable…)  

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