Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prose

 

Author: Tamia62

Status: Completed

Series: City Hunter

 

Total: 39 chapters

Published: 05-06-04

Last update: 25-08-04

 

Comments: 176 reviews

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ActionRomance

 

Summary: J'ai planté le décor dans le prologue. Il faut le lire pour décider si ça vaut le coup de me lire...

 

Disclaimer: Les personnages de "Aussi pur que le crystal" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Aussi pur que le crystal...

 

Chapter 30 :: Le filet se resserre...

Published: 17-08-04 - Last update: 17-08-04

Comments: Bon voilà un autre chapitre. Je voulais vous le poster pour ce week end, mais je suis partie et je n'ai pas eu le temps de l'envoyer. Je vous remercie pour toutes vos reviews. Ca me fait du bien de constater que vous ne vous lassez pas et que vous aimez toujours autant. Il est vrai que ce chapitre au baiser sensuel était plutôt pas mal !! J'ai bien aimé l'écrire en tout cas! Alors, je vous laisse découvrir la suite. Gros bisous

 


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Cela faisait maintenant deux semaines qu’ils se montraient régulièrement en ville et cela faisait également deux semaines qu’elle se rendait sur le stade afin de faire un peu d’exercice.  

Après leur escapade au port, ils avaient regagné l’appartement en silence. Ils n’avaient pas parlé de ce qui c’était passé, de ce qu’ils avaient ressenti parce que ce baiser était un leurre. Ils avaient repris leur cohabitation sur les mêmes bases mais s’était installé un non dit entre eux. Un non dit qu’ils tentaient tous les deux d’ignorer…  

En fin de compte, Ryô était resté vivre chez Kaori. Il se méfiait. Il prenait toutes les précautions, mais il ne pouvait pas être sûr à 100 pour 100 qu’Alejandro ne remonterait pas jusque Kaori. Il ne pouvait pas se permettre de prendre le moindre risque…  

 

Comme chaque jour depuis deux semaines, Kaori se retrouva sur le terrain de sport. Elle s’échauffait doucement, s’étirait avec grâce avant de débuter ses tours de pistes. Malgré le danger qui la guettait, courir lui faisait du bien. Ca lui permettait de réfléchir et de se vider la tête en même temps. Ses pensées n’étaient pas difficiles à cerner : elle ne songeait qu’à Ryô. Il occupait tout son esprit. Mais malgré leur rapprochement, elle ne voyait toujours rien. Ou pas grand chose. Parfois, elle percevait certaines de ses émotions. Mais ceci était rare. Et puis, elle perdait patience : quand Alejandro se déciderait-il à passer à l’action ?! Cette attente devenait insupportable ! Pour toute la bande, pour Ryô et pour elle ! Ils avaient mis au point un emploi du temps bien rôdé pour que les indics ne puissent remonter jusque son appartement. Elle prenait le métro pour aller jusqu’au stade où se trouver un indic peu scrupuleux. Elle faisait ce qu’elle avait à faire sur le terrain. Puis, elle reprenait le métro non pas pour rentrer chez elle mais pour rejoindre le Cat’s eyes. Et à chaque fois, elle était suivie. Elle le savait, elle sentait la présence noire de son poursuivant : son don d’empathie la tenait sur ses gardes. Elle avait pressenti à plusieurs reprises l’intention de kidnapping mais, en découvrant qu’elle pénétrait dans le café tenu par le redoutable Falcon, les agresseurs se ravisaient. Ainsi, ils savaient tous, et Alejandro aussi, que s’ils voulaient s’en prendre à elle, cela ne pouvait se faire que sur le terrain de sport ! Et pour regagner l’appartement, c’était Ryô qui la raccompagnait en voiture pour semer les éventuels poursuivants. Bref, le plan était bien prêt. Ils n’attendaient que leur ennemi mais le temps se faisait long…  

 

Cela faisait cinq bonnes minutes qu’elle était assise sur un tabouret, accoudée au bar. Miki lui servit une limonade bien fraîche ainsi qu’une petite part de gâteau allégé au fromage (NDA : bah oui, il faut qu’elle fasse attention à sa ligne ! Et puis, maintenant qu’elle s’est remise au sport, il ne faut pas que ses efforts tombent à l’eau !!!). Miki remarqua la mine renfrognée de son amie. Parce que, en effet, elles étaient devenues de véritables amies. Souvenez-vous, Miki avait tout de suite su qu’elles deviendraient inséparables.  

« _Qu’est-ce qui ne va pas ?  

_Oh, cette attente me rend folle ! Comment faites-vous pour supporter ça ?  

_Nous avons l’habitude. Et puis, tu sais, tu ferais mieux de te faire une raison. Lorsque tu seras profiler, il te faudra souvent faire preuve de patience.  

_Oh, ça, ça ne m’effraie pas. Mais là, il s’agit d’attendre une éventuelle tentative de rapt ! Et puis, peut-être que, malgré les efforts de chacun, cette tentative se transformera en réussite !  

_Je comprends ton inquiétude mais, tu fais confiance à Ryô, n’est-ce pas ?  

_Bien sûr qu’oui, répondit-elle un peu trop vivement ce qui arracha un sourire à l’ex mercenaire. (NDA : Bah oui, même dans une fic alternative Miki est toujours aussi fine mouche !!!)  

_Alors tout ira bien.  

_Et puis, comme si ça ne suffisait pas, Sayuri m’a téléphonée hier soir. Elle me connaît bien, elle a tout de suite su qu’il se passait quelque chose. Lorsque je lui ai expliqué, elle s’est mise à hurler comme une hystérique ! J’ai eu toutes les peines du monde à la calmer ! Elle voulait prendre le premier avion pour mettre un terme elle-même à la vie de Ryô !  

_Elle voulait…  

_Bah oui, tu comprends, en le tuant elle-même, elle ferait plaisir à Alejandro et moi, par la même, je ne serais plus en danger à cause de… Comment a t-elle dit déjà ?… Ah oui, à cause « de mon nettoyeur de carreaux crasseux » ! Je ne sais pas ce qu’elle voulait exactement dire par-là, mais, je ne cherche pas non plus à comprendre ! Quand ma sœur est énervée, vaut mieux pas la contrarier !  

_Comment as-tu fait pour la calmer ?  

_Ce n’est pas moi ! Voyant que je n’arrivais à rien, Ryô a pris le téléphone de mes mains et a discuté avec elle. Et il m’a bluffée ! Il a l’art pour négocier ses affaires ! Toujours est-il qu’il a obtenu un délai mais elle lui a bien signifié que, lorsqu’elle viendrait me voir, elle se ferrait une joie de lui dévisser la tête pour avoir osé me mettre en danger ! Si tu avais vu sa tête ! C’était trop drôle !  

_J’imagine ! Lui qui n’a pas l’habitude d’être rembarré ! Du moins, dans ses circonstances là !!! »  

Et elles rirent de bon cœur. C’est alors que l’objet de cette conversation fit irruption dans le café. En le voyant, elles rirent de plus belle ! Une libellule tomba sur sa tête. Mais pourquoi se moquaient t-elles de lui ?… Il n’avait pourtant rien fait ?…  

 

« _Dites, vous pouvez peut-être me dire ce qui vous fait tant rire ? Je me sens idiot tout à coup ?  

_Oh, ce n’est rien, juste des bavardages de femmes, gloussa Kaori.  

_Eyh ! Je vois bien que vous vous payez ma tête ! J’ai au moins le droit de savoir pourquoi ?  

_Sayuri… »  

C’est tout ce qu’elle fut en mesure de dire tant elle riait. Le visage de Ryô fondit en entendant le prénom.  

« _Je vois… En tout cas, on peut dire qu’elle a pas froid aux yeux ta sœur. Tu devrais peut-être lui dire que je suis un homme dangereux ! »  

Kaori cessa immédiatement de rire et devint blanche comme un linge.  

« _Es-tu en train de proférer des menaces à l’encontre de ma sœur ? Ai-je bien compris ?  

_On ne se moque pas impunément de City Hunter ! Et je te signalerai au passage que c’est elle qui m’a menacé. »  

Et là, il lut la fureur sur le visage de Kaori. Il la vit brandir une massue « Touches pas à ma sœur » qui lui tomba tout droit sur la tête.  

« _Et que ça te serve de leçon ! Comme tu peux le constater, moi non plus je n’ai pas peur de toi ! Ca doit être dans les gènes ! »  

Il se dégagea tant bien que mal de dessous la massue et là, il constata que l’indic d’Alejandro, qui se trouvait de l’autre côté de la rue, regardait la scène sans comprendre ! Mais, c’était quoi ces amoureux qui se tapent dessus ? Oups, il fallait vite rassurer le bougre ou il pourrait raconter cela à son vieil ennemi.  

« _Kaori, reprit-il avec sérieux, nous venons d’être pris en flagrant délit par l’indic ! Sortons, nous rentrons. Nous allons devoir le rassurer sur nos « rapports ». »  

Elle prit son sac de sport, salua Miki et suivit Ryô. Lorsqu’ils se furent éloignés des yeux trop indiscrets de Miki, C.H. prit des mains de la jeune femme le sac et passa un bras autour de ses épaules et l’embrassa sur le front.  

« _Je suis désolé, dit-il suffisamment fort à l’attention du gars, je ne voulais pas manquer de respect envers ta sœur. Mais elle m’énerve ! Je n’y peux rien !  

_Oh, ça va, je suis désolée moi aussi de t’avoir frappé. »  

Et elle l’embrassa à son tour sur la joue…  

 

 

Il avait les yeux rivés sur le dos de son patron. La crainte lui tordait l’estomac. Il ne savait pas quoi lui dire d’autre. Et pourtant, il n’avait pas cessé de faire des recherches. Voilà 15 jours qu’il remuait ciel et terre, mais il n’avait rien découvert. Il ne savait pas faire de miracle.  

« _C’est tout ? Je ne peux pas me contenter de cela ! Il m’en faut plus pour passer à l’action !  

_Mais, patron, je vous assure que nous avons fait tout ce que nous pouvions ! Mais personne ne sait rien au sujet de cette fille ! City Hunter n’a même jamais prononcé son prénom ! Il sait parfaitement qu’il est surveillé ! Il sait qu’il prend des risques en fréquentant cette fille alors que vous le cherchez, alors, il se montre très prudent ! Tout ce que nous savons, c’est ce que vous nous avez dit, à savoir que c’est la jeune étudiante qui l’avait averti de votre présence lors de la tentative sur le campus ! Nous avons même piraté le serveur de l’université mais son dossier a été effacé ! (NDA : explications : Saeko avait songé à cette possibilité, alors, elle s’était rendu à la fac pour demander au recteur de suspendre le dossier de Kaori durant quelques semaines. Elle lui avait fait croire qu’elle était témoin dans une affaire et qu’elle devait garder l’anonymat. Futée notre petite inspectrice hein ?…) Et Saeba l’a vraiment bien apprise ! Elle arrive par le métro et elle repart par le métro.  

« _Alors, suivez-la quand elle s’en va !  

_Mais, c’est ce que nous faisons mais, elle ne rentre pas chez elle. Non, elle va directement dans un petit café : le cat’s eyes.  

_Et bien, démolissez-moi ce café et ramenez-la-moi !  

_C’est impossible ! Ce café est tenu par Falcon !  

_Qui c’est ça ce Falcon ?  

_Ah oui, c’est vrai, vous, vous le connaissez plutôt sous le nom de Umibozu !  

_Umibozu ? Il est de mèche avec Saeba ?  

_Il semblerait qu’ils soient effectivement amis.  

_Je vois… Alors, qu’as-tu à me proposer ?  

_Il n’y a qu’un point faible dans cette cuirasse.  

_Laquelle ?  

_La copine de C.H. fait du sport, tous les jours, sur le terrain de Hokawa. Elle y arrive seule, et repart seule. Ensuite, elle gagne le café et là, c’est Saeba qui la raccompagne, c’est pour cela que nous n’avons jamais réussi à trouver son adresse.  

_Cette petite garce sait qui est son petit ami visiblement ?  

_Oui, il n’y a pas de doute là-dessus !  

_Y a-t-il une ouverture du côté du stade ?  

_Oui. C’est le seul endroit en fait.  

_Très bien. Alors, prépares-moi une souricière pour la jeune femme ! J’ai aussi un compte à régler avec elle ! C’est de sa faute s’il est encore en vie… »  

 

A l’appartement, elle prit une douche rapide. Lui, il s’était installé dans le canapé. Il avait renversé la tête sur le dossier et avait fermé ses yeux. Il en avait marre ! Un mois maintenant qu’il connaissait Kaori, un mois qu’il vivait chez elle, un mois que son esprit était torturé par la jeune femme, et deux semaines qu’il se concentrait pour se fermer le plus qu’il pouvait afin de l’empêcher de lire en lui. Il se sentait fatigué nerveusement et physiquement. Il avait plutôt bien dormi les deux premières semaines : cet appartement était un havre de paix pour lui. Mais tout avait changé. Il était à nouveau aux aguets depuis deux longues semaines. Il pestait contre Alejendro ! Pourquoi tardait-il tant ? Peut-être sentait-il le piège ?  

« Non, impossible… Nous avons pris toutes les précautions nécessaires… Il veut juste me narguer. Si seulement je pouvais me retirer de la tête cette sensation de danger ! J’ai bien fait de placer cette puce dans la montre de Kaori à son insu. On ne sait jamais… »  

Il sursauta en sentant les mains de Kaori sur ses épaules. Elle l’avait surpris ! Lui qui était toujours si alerte !  

« _Alors, tu rêves ? Ce n’est pas toi qui sens le danger, le nargua t-elle avec un franc sourire. »  

Il s’étonnait de la complicité qui s’était instauré entre eux. Il se sentait bien avec elle. Elle s’était si bien intégrée dans la bande et elle avait si bien accepté sa vie. Jamais elle ne lui avait reproché d’être un nettoyeur. Elle le prenait comme il était. Mais ses mains sur lui le rendait nerveux.  

« _Qu’est-ce que tu es tendu, s’exclama t-elle alors. Tes épaules sont toutes nouées ! Attends, je vais arranger ça ! »  

Et sans lui demander son avis, elle se mit en devoir de lui masser les épaules pour le décontracter. L’esprit de Ryô lui disait qu’elle devait cesser mais il sentait ses muscles se détendre sous les doigts fermes de son ange. Il ferma les yeux et savoura. Tout doucement, il se détendit. Kaori prenait plaisir à ce contact, comme à chaque fois qu’elle avait l’occasion de le toucher. Elle se sentit en phase avec lui, ce qui n’arrivait pas souvent. Et c’est sans doute pour cette raison que l’écho arriva.  

 

Ryô s’étonna. Il sentait toujours ses mains mais ses doigts avaient cessé leur office. Qu’est-ce qu’elle avait ?…  

 

Elle était de retour dans la jungle. Il faisait froid, c’était la nuit. Un feu de camp brûlait, des hommes tentaient de se réchauffer. Ils étaient calmes, trop calmes même. Pourquoi faisaient-ils cette tête ? Et elle aperçut des tombes. La terre avait été fraîchement retournée. Elle comprit qu’ils venaient d’enterrer des compagnons. La tristesse mais aussi la colère se lisaient sur leurs figures. Et la nuit fut déchirer par un coup de feu suivi de plusieurs autres. Mais ils ne bougèrent pas : ils savaient d’où provenaient ces tirs et qui faisait feu. Elle se retrouva près de l’homme. Quoique, vu de dos, bien qu’il soit grand, il était mince. Il ne devait pas avoir plus de 17 ans. Il tenait fermement son arme, une arme qui ne semblait pas inconnue à Kaori, et malgré la noirceur de la nuit, il tirait, il tirait. Mais sur quoi ?… Kaori se rapprocha de sa cible : c’était un énorme tronc d’arbre et les impacts de balles avaient dessiné un emblème : celui de sa milice. Comment pouvait-il faire cela de si loin et de nuit ? Mais qui était ce jeune homme ? Elle s’approcha de lui. Son étonnement fut puissant : c’était Ryô. Il avait un tel masque de haine sur son visage pourtant si doux. Ses yeux étaient froids et sans expression. Il avait la hargne au cœur. Il n’avait qu’une envie : venger les siens. Un homme s’approcha de lui.  

« _Il faut te calmer mon fils. La vengeance est une bonne chose dans notre monde, mais il ne faut pas qu’elle t’aveugle. Ce n’est qu’en étant serein et maître de toi, ce n’est qu’en gardant tes sentiments au fond de ton cœur que tu seras efficace. Les sentiments sont les pires ennemis que nous puissions avoir. Si tu ne m’écoutes pas, ils te perdront.  

_Je saurais m’en souvenir père… »  

Père ?… Cet homme était son père. Mais comment pouvait-il lui faire croire que les sentiments étaient ce qu’il y avait de pire sur terre ?… Kaori comprenait mieux maintenant la froideur qui coulait dans les veines de Ryô…  

 

Ryô s’était levé et lui faisait face. Elle ne s’en était même pas aperçue. Il attendait, anxieux, se demandant ce qu’elle voyait. Doucement, elle revint à la réalité. Elle vit le doute dans ses prunelles sombres. Il avait peur de sa vision. Malgré ce qu’elle venait de voir, elle savait bien qu’il avait changé, qu’il n’était plus ce jeune homme froid et vide de tous sentiments. Pourtant, elle comprenait mieux son comportement. Une larme roula sur la joue nacrée de Kaori. Mais bon sang, allait-elle se décider à parler ? Elle leva un regard triste. Et tout ce qu’elle dit fut :  

« _Je comprends mieux à présent… Ton père était un monstre… »  

Son regard devint glacial et son visage aussi dur que de la pierre. De quoi parlait-elle ? Qu’avait-elle vu au juste ? Elle amorça un mouvement pour partir mais il la retint par le poignet.  

« _Pas si vite ! Expliques-toi !  

_Comment a t-il pu t’apprendre une telle chose ? Comment a t-il pu t’apprendre à devenir insensible ? Ecoute-moi bien Ryô parce que je vais te donner une contre vérité : les sentiments, c’est ce qu’il y a de plus beau au monde… »  

Elle se dégagea et gagna sa chambre le laissant abasourdi.  

 

Elle avait vu Kaibara… Il se souvenait parfaitement de ce jour où il lui avait dit qu’il devait enfouir ses sentiments, que les sentiments étaient ses pires ennemis… Jusqu’où irait-elle ?… Il devait vite quitter sa vie ! Ca devenait vital pour lui…  

 

 

 


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