Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: Mercury80

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 36 capitoli

Pubblicato: 20-01-20

Ultimo aggiornamento: 29-02-20

 

Commenti: 65 reviews

» Scrivere una review

 

ActionRomance

 

Riassunto: NC17 - Ryo doit à nouveau effectuer une mission pour Saeko : il doit se marier...

 

Disclaimer: Les personnages de "Marry me" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

Why do I have to use the link in my account to send you my request?

 

Since I receive a lot of requests, I'd rather prefer validation didn't take me a lot of time. So, I concentrate all requests in the same email box and I won't look for the member's ID each time. You also have to use the email address you put in your profile. It gives me another mean of verification.

 

 

   Fanfiction :: Marry me

 

Capitolo 36 :: chapitre post-générique de fin

Pubblicato: 29-02-20 - Ultimo aggiornamento: 29-02-20

Commenti: Bonjour, voici le vrai dernier chapitre. Eh oui petite lubie de ma part, une manière de saluer Maître Hojo et son aparté post-générique de fin. Ne vous laissez pas décontenancer par le début il n'y a pas d'erreur de manip ;). Alors demain une scène de ménage et lundi une nouvelle fic. Bon samedi. Bonne lecture et merci pour vos commentaires^^

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36


 

Chapitre bonus  

 

Les bras tendus en l’air, les poignets retenus par des menottes, Kaori s’agitait, tentant d’échapper à l’emprise de l’homme. Entièrement dénudée, elle sentait l’air frais sur son corps exposé et s’arqua tant bien que mal quand le contact se fit. Cela commença par son ventre, puis ses seins. Chaque toucher la faisait tressaillir. La position ne lui permettait aucunement de se défendre : elle était à la totale merci de l’homme. La main agrippa ensuite ses fesses, la forçant à prendre conscience de l’excitation masculine. Gênée, elle chercha à s’écarter, ce qui fit rire l’homme qui la pressa un peu plus contre lui. Des lèvres se posèrent exigeantes sur les siennes, les mains continuant leur périple sur son corps. Elle avait l’impression qu’ils étaient des dizaines. Puis le contact fut rompu.  

 

Elle sentit alors le matelas s’affaisser sous elle et une langue chaude et humide traça un sillon sur toute la face interne de sa cuisse gauche jusqu’à la limite de son intimité avant de se retirer et de recommencer la même torture de l’autre côté et de monter plus haut cette fois-ci, lui tirant des gémissements de plaisir.  

 

- Ryo…, soupira-t-elle lascivement.  

 

Après quelques minutes de ce traitement, le nettoyeur quitta sa position, embrassa rapidement sa compagne avant de se positionner derrière elle et de la caresser plus ou moins sauvagement tout en pressant son mokkori contre ses fesses. Elle ondulait contre lui au rythme des vagues de plaisir qu’il déclenchait en elle. Elle se sentait trembler et ne tenait que grâce aux menottes. C’était déroutant de ressentir autant de plaisir tout en étant à la merci de son partenaire et de ne pouvoir participer à leurs échanges. Heureusement qu’elle avait pleinement confiance en lui, sinon elle n’aurait pas su s’abandonner et profiter du moment. Elle le sentit soudain envahir son intimité et l’emmener dans une danse endiablée, gémissant puis criant son prénom.  

 

Soudain, tous ses muscles se contractèrent et elle sentit une déferlante la faire vibrer jusqu’au bout de ses terminaisons nerveuses, ses mains s’accrochant à la chaîne des menottes. Elle ne devait le salut de ses poignets qu’aux deux bras qui l’entouraient et la soutenaient amoureusement. Son coeur revenant à un rythme plus normal, Kaori retrouva la force dans ses jambes et les bras de son amant la lâchèrent, laissant ses mains couvrir son ventre arrondi. Ryo sentit le bébé bouger, ce qui l’émouvait toujours autant, et déposa un baiser au creux du cou de sa femme.  

 

- Ca va ?, s’enquit-il tendrement.  

- Oui., répondit-elle, la voix légèrement rauque.  

- Alors, c’était conforme à ton rêve ?, lui demanda-t-il, un sourire aux lèvres.  

- En tous points. C’était parfait., murmura-t-elle.  

- Tu veux que je te détache ?  

- Tu es déjà fatigué ?, le nargua-t-elle.  

- Non mais la position peut être inconfortable pour toi.  

- Ca va. J’ai encore envie de toi., admit-elle, les joues rosies.  

- Tu plaisantes ?, s’étonna-t-il.  

 

Il la vit secouer la tête négativement et faillit se laisser tomber en arrière. Il avait lu que le deuxième trimestre pouvait voir l’accroissement du désir sexuel de la femme enceinte mais à ce point-là ? Ca faisait plus de deux heures qu’ils pratiquaient et elle en voulait encore…  

 

- Tu es sûre qu’il n’y a pas de danger pour le bébé ?, lui demanda-t-il, caressant son ventre.  

- Non. J’ai posé la question au Professeur avant., avoua-t-elle.  

- Tu as parlé au Professeur de sexe ?, s’exclama-t-il, horrifié.  

 

Le vieil homme n’avait certainement plus su se tenir. Ils auraient une conversation sérieuse la prochaine fois qu’ils se verraient.  

 

- Oui, il n’y a pas de honte. Il sait très bien comment ce bébé est arrivé là et, te connaissant, il se doute bien qu’on ne joue pas aux dominos le soir venu. Disons que je voulais m’assurer qu’on pouvait mettre en œuvre notre petit projet sans risque pour elle., répondit Kaori.  

- Elle ne risque rien, alors ?, s’assura-t-il.  

- A part de savoir à quel point ses parents s’aiment ? Non.  

- Si elle ne le sait pas encore, elle le saura, c’est sûr., susurra Ryo, d’une voix langoureuse à son oreille.  

- Tu sais ce qu’il y a de bien ?, reprit-il, recommençant à la caresser.  

- Non, mais tu vas me le dire., haleta-t-elle, alors qu’il jouait avec sa poitrine hyper sensible.  

- Erika a fermé le bar pour ce soir. On est totalement seuls. Je peux donc te faire crier autant que je veux.  

 

La menace fit exploser une boule de chaleur dans son ventre et elle se cambra sous ses caresses. Sans même fusionner leurs deux corps, il l’amena si loin qu’elle perdit pied en criant son prénom quelques minutes plus tard, moment rapidement suivi par une série de gémissements qui s’acheva sur les cris mêlés du couple.  

 

- Dis Erika, c’est rare de te voir de sortie un jour comme celui-ci., fit remarquer Sam.  

 

Erika se promenait tranquillement dans le Kabuki Cho observant les passants, les bunnies et tous les habitants du quartier. Elle n’avait que trop peu l’occasion de le faire et elle y prenait beaucoup de plaisir.  

 

- J’ai fermé le bar pour ce soir., lui dit-elle.  

- Toi, fermer, le jour de la Saint-Valentin ?, s’étonna-t-il.  

- J’aurais pourtant juré avoir entendu crier de l’intérieur tout à l’heure.  

- Disons que je l’ai privatisé pour un couple qui avait envie de fêter la Saint-Valentin à leur manière., répondit-elle, avec un grand sourire.  

- Qui ? Allez dis…  

- A ton avis, qui est capable de faire crier autant une femme de plaisir ?, dit-elle.  

 

Sam la regarda, bouche bée.  

 

- Alors ça, ça m’en bouche un coin., finit-il par dire.  

- Quoi ? Que Ryo fasse crier sa femme ?, demanda Erika sans comprendre.  

- Non ! Que Kaori puisse accepter d’utiliser une de tes chambres spéciales., dit-il, hésitant entre le choc et l’excitation.  

- Oh pas une de mes chambres. La chambre., le corrigea la tenancière, complice.  

- Non, celle… ?  

 

Erika acquiesça fièrement. Elle n’avait pas vraiment été surprise quand Ryo lui avait demandé la chambre. Elle lui avait fait remarquer que ça ne plairait peut-être pas à sa femme et qu’il était hors de question qu’elle accepta de la lui laisser pour s’amuser avec une autre femme. Avec un sourire narquois, il lui avait alors confié que c’était Kaori qui avait proposé la chose, certainement sous l’effet conjugué des souvenirs et des hormones, et que c’était son devoir de futur père de veiller au bien-être de la future mère. Il s’était ramassé un coup de louche sur la tête mais il avait quand même obtenu la chambre et même bien plus puisqu’Erika décida alors de leur accorder cette tranquillité.  

 

- Il y a des choses qui changent…, murmura Sam.  

- Non, je ne pense pas qu’elle ait changé tant que cela. Elle s’est révélée. C’était déjà une femme passionnée pour beaucoup de choses. Ca n’en fait qu’une de plus., pensa Erika à voix haute.  

- Tant de choses se sont révélées depuis cette histoire, Sam. Regarde ce quartier. Aujourd’hui, il ne devrait plus être.  

- C’est vrai. Les gens y sont encore plus soudés qu’avant. C’est grâce à eux.  

- Oui. Bon, je vais retourner voir si je peux rentrer chez moi ou s’ils font encore trembler les murs., lâcha Erika, amusée.  

- Au moins, ce ne sont plus des coups de massue., pipa Sam, malicieux.  

 

Ils rirent ensemble avant de se séparer.  

 

- Regarde, j’ai trouvé cela., fit Kaori, montrant une plume.  

- Tu ne vas pas ?, demanda Ryo, tendu.  

- Tu as eu le loisir tout à l’heure. C’est toi qui avais dit que tu pouvais être celui menotté. Assume Ryo., murmura-t-elle, langoureusement en se mettant à califourchon sur lui.  

 

Les yeux pétillant, elle regarda son mari dont les mains étaient attachées au dessus de la tête se crisper puis se pencha en prenant la plume. Elle la déposa sur son front et la fit glisser sur son visage doucement, puis le long de son cou. Elle continua son périple lentement vers l’une de ses épaules avant de tracer le chemin vers l’autre. Elle voyait son torse se lever de plus en plus rapidement et sentait sous ses fesses son sexe se durcir. Prise d’audace, elle se mit à osciller du bassin, lui arrachant un long gémissement. Elle fit ensuite descendre la plume le long de son torse puis sur son ventre, la faisant glisser sur son nombril. Il souleva alors brusquement les reins, lui lançant un regard fiévreux. Elle sentait sa tension contre son intimité et dut lutter pour ne pas se laisser aller et le glisser en elle.  

 

- Patience, mon amour., murmura-t-elle langoureusement en se penchant vers lui pour effleurer ses lèvres.  

- J’ai envie de t’entendre crier comme moi tout à l’heure.  

- Kaori…, lâcha-t-il, ayant du mal à contrôler le désir qui pulsait dans ses veines.  

 

Plus jamais, se promit-il. Plus jamais, il ne se mettrait en position de faiblesse ou de perte de contrôle avec elle. C’était juste insupp… divin, se dit-il en sentant la plume courir sur tout son corps suivie des lèvres de sa femme. Elle s’appliqua tant et si bien qu’il finit par hurler son prénom…  

 

- Bon, je pense que je ne vais pas encore rentrer chez moi tout de suite., pipa Erika, retirant la clef qu’elle avait insérée dans la serrure de la porte d’entrée. 

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36


 

 

 

 

 

   Angelus City © 2001/2005

 

Angelus City || City Hunter || City Hunter Media City || Cat's Eye || Family Compo || Komorebi no moto de