Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prose

 

Auteur: Ginie^^

Status: Complète

Série: City Hunter

 

Total: 60 chapitres

Publiée: 20-03-04

Mise à jour: 12-04-05

 

Commentaires: 248 reviews

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General

 

Résumé: Autre époque, autre histoire... ;) Défi de Vy que je vais tenter ^^

 

Disclaimer: Les personnages de " L'île Corail " sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: L'île Corail

 

Chapitre 3 :: 3

Publiée: 26-03-04 - Mise à jour: 26-03-04

Commentaires: Tout d'abord, rendons à Vy cce qui appartient à César ;) lol Je viens de m'aeprcevoir que cette fic pouvait correspondre à son défi et donc je l'ai relevé ! Voilà. A Vy César ! mdr ... ;) ^_^ Cela dit, ej voulais aussi m'excuser auprès de tous els auteurs de fics qui prolifèrent de jours en jours et nous font découvrir des merveilles. Je n''ai aps le temps de pouvori tenir la cadence des MAj et de rate le meilleur. Je laisse des reviews de chapitres qui ont mille ans et je suis complétement décalée LOL Ce que je veux vous dire c'ets que je télécharges toujrous vos fics avec beaucuop de plaisir ^^ ...meêm si c'ets trois mois plus tard ^^ Gomen

 


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Lorsque le navire s’approcha suffisamment, l’homme haussa un sourcil soucieux.  

 

Le capitaine du vaisseau esquissa un sourire.  

-« FEU ! » hurla-t-il aux marins.  

 

BAMMMM  

Un coup de canon, puis un autre, et encore un autre retentirent et raisonnèrent contre les roches.  

Notre réfugié se jeta à terre, les mains plaquées sur sa tête. Bizarrement, il ne fit que sourire.  

-« Encore lui » soupira-t-il  

 

-« Feu à volonté » cria le second.  

Et une pluie de boulets s’abattit sur la falaise.  

-« Aaaaaaaaaahhhhhhh ! Il a sorti la grosse artillerie cette fois-ci !! »  

Seul contre une dizaine de canons, il se releva et s’enfuit en courant, se dirigeant vers la forêt.  

 

Le capitaine du navire donna l’ordre de jeter l’ancre et de se lancer à sa poursuite. Une vingtaine d’hommes s’affairèrent en tout sens. Maniant cordes et coutelas avec précision, l’équipage obéirent immédiatement. Lorsqu’ils accostèrent sur l’île, l’atmosphère s’alourdit soudainement.  

 

De son point de chute, la victime devenue pour l’heure coupable, examina minutieusement leurs préparatifs. Son esprit se concentra uniquement dans le but de se tirer de ce pétrin.  

C’était osé, dangereux, suicidaire ! Mais la seule chose à faire c’était de prendre d’assaut le bateau. La majorité des marins avaient débarqués et le capitaine jugerait cette solution trop risquée pour qu’il s’y aventurât. Cette manœuvre, il devait la tenter !  

 

Convaincu, il vérifia une dernière fois son équipement et partit à l’abordage.  

Rejoindre la plage fut chose facile. Il ne trouva sur son chemin que deux personnes trop jeunes pour lui résister. Sa technique du corps à corps était implacable, ses mouvements étaient fluides, puissants, directs. D’un coup de pied et d’un uppercut en plein visage, il se débarrassa facilement de ces obstacles mineurs.  

Sans se faire remarquer, il s’enfonça dans l’eau et nagea discrètement jusqu’au bateau, la nuit aidant. Puis s’aidant des cordages, il se hissa jusqu’au ponton.  

Dans le silence le plus complet, il mit K.O trois hommes et s’avança à pas de loup vers le second en titre, lequel scrutait les environs près du gouvernail.  

Lorsqu’il atteignit les fenêtres de la cabine, il s’accroupit et tendit l’oreille, à l’affût du moindre bruit.  

Des pas étouffés lui parvinrent, une personne semblait faire les cents pas juste derrière la porte. Il s’approcha doucement vers celle-ci quand les pas cessèrent, juste derrière la cloison, à la même hauteur que lui. Un léger grincement brisa le silence.  

 

PAF !  

La porte s’ouvrit avec fracas. Se mettant la main dans la bouche pour ne pas hurler, le pauvre bougre avait le visage écrasé par l’impact, la poignée ayant laissé encore son empreinte sur sa joue et son front.  

Il fronça les sourcils et grommela vivement mais, comme par magie, sa figure reprit forme humaine.  

Une aubaine ! Il dégagea son couteau de son étui et se releva menaçant.  

Lorsqu’il sentit que la personne tournait les talons, visiblement inconsciente de sa présence, il profita de l’occasion. Aussi souple qu’un chat, il se faufila à l’intérieur de la cabine, un coutelas sur la gorge de sa proie.  

 

 


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