Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: chibiusa

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 55 capitoli

Pubblicato: 14-03-05

Ultimo aggiornamento: 09-05-06

 

Commenti: 272 reviews

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GeneralDrame

 

Riassunto: Suite à un coup de massue, l'armoire de la chambre d'ami a volé en éclat. En déblayant Kaori découvre derrière une porte. Ryo lui interdit formélement d'entrer dans la pièce. Pourquoi ?

 

Disclaimer: Les personnages de "Destins Forcés" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo. Kerry et Mélina et Aline m'appartiennent ^^'

 

Tricks & Tips

What is NC-17 fanfiction?

 

A NC-17 fanfiction is strictly forbidden to minors (17 years old or less). It can contain violence and graphically explicite sexual scenes. We try to set limits to the content of R fanfictions, but we don't have time to read evrything and trust the authors on knowing the b ...

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   Fanfiction :: Destins forcés

 

Capitolo 29 :: Lieu de rencontre

Pubblicato: 07-12-05 - Ultimo aggiornamento: 07-12-05

Commenti: Je vous remercie pour vos reviews ! ça me fait plaisir ! La fic prend une tournure que j'aime beaucoup et j'espère que vous allez y adhérer ! On va suivre en parallèle plusieurs vies, qui par moment vont se croiser et au final se rencontrer ! vous n'êtes pas au bout de vos surprises ! j'espère que ça donnera un peu de dynamisme ! par contre je risque pour deux ou trois chapitres de ne plus trop exploiter le personnage de Kerry ^^ mais ce n'est que partie remise ! Allez bonne lecture et à bientôt ^^

 


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Chapitre 29 – Lieu de rencontre  

 

 

Un garçon tirait visiblement sa petite sœur dans les rues de Tokyo. Il semblait furieux et sur le point d’exploser. La jeune fille qu’il tirait, semblait avoir toutes les peines du monde pour le suivre.  

 

- Oni-chan !!!!!!!! Ralenti ! (oni-chan = grand frère ; one-chan = grande sœur)  

 

Mais son frère ne l’écoutait pas, il était blême, il l’entraîna jusqu’à la fête foraine et ensemble ils montèrent dans une bulle qui ferait trois tours. La jeune fille regardait l’extérieur pâlissait au fur et à mesure que la bulle montait dans le ciel. Il le vit et lui dit :  

 

- Désolé, c’est le seul endroit tranquille que j’ai trouvé pour parler. Enfin ! A quoi tu joues !  

- Je suis désolée… Je n’ai pas le droit de te le dire ‘ni-chan.  

- Je t’ai vu ! Tirer sur un type ! Mais tu es folle !  

- C’était une cartouche de peinture… C’était pour le prévenir qu’il était en danger.  

- Mais tu es folle ! On s’en fiche de ce type ! Pourquoi, tu le laisses pas à son destin ?  

- On m’avait demandé de l’abattre.  

- Quoi ! Mais c’est impossible, enfin Lina ! tu ne sais pas tirer…  

 

Le garçon regretta aussitôt ces paroles, il savait malheureusement que sa sœur savait tirée et qu’elle était plutôt douée de surcroît.  

 

- La preuve dit-elle dans un murmure avec une grimace, j’ai fait mouche. Si j’avais mis une vraie balle il serait mort…  

- Mais enfin pourquoi !  

- Ils m’ont demandé de le faire.  

- Et parce que quelqu’un t’a demandé de le faire, tu le fais ? Tu es idiote ?  

- Non, je pense à ta sécurité.  

 

Le jeune garçon se radoucit, il savait que sa petite sœur n’avait pas eu le choix de cette formation. Et visiblement cet ordre, c’était à cause de lui qu’elle devait l’exécuter.  

 

- Ils ont menacé de s’en prendre à moi ?  

 

La jeune fille acquiesça tristement.  

 

- On est en permanence en danger.  

- C’est pour ça que l’autre jour tu m’as tiré dans une rue peuplée ?  

- Oui… C’était comme une mise en garde. Ils voulaient probablement t’enlever pour me forcer à le faire.  

- Mais enfin ! Ce type, ils avaient qu’à utilisé un tueur à gage.  

- Tu penses à la vie de ce gars ? Demanda-t-elle inquiète à son frère.  

- …  

- Personne n’a le droit de vie ou de mort sur un individu bon ou méchant.  

- Mais tu allais le tuer non ?  

- …  

 

Elle se tourna sur le paysage dit :  

 

- Non, je voulais l’avertir que quelqu’un de doué voulait le tuer. On ne m’avait pas dis pourquoi on voulait que je le tue, mais j’ai fait des recherches…  

- Et ?  

- Il veut juste signer un traité d’extradition avec le gouvernement et son pays. Visiblement certains ne sont pas trop d’accord.  

- Mais pourquoi ceux qui t’ont formé s’intéressent à ça ?  

- Je suppose qu’ils doivent avoir des gens influant qui sont là-bas, j’en sais rien.  

 

Le garçon vint s’asseoir à côté d’elle et la prit dans ses bras il lui dit :  

 

- Ne fais pas ce qu’ils te disent, la dernière fois tu t’en es tirée in-extremis, ce flic, ce Tony a raison, tu ne dois pas faire ce que tu ne veux pas.  

- …  

 

En fait, c’était déjà le même homme qu’elle était obligée de tuer. La première mission avait eu lieu six mois auparavant à New York, à ce moment là, elle voulait juste obéir sans broncher mais la rencontre avec un flic Tony Johnson avait changé son approche.  

L’organisation qui l’avait formé voulait faire d’eux cinq des tueurs au service de l’état. Il s’agissait d’une branche plus ou moins secrète et attachée à la CIA.  

Evidemment, elle n’avait rien d’officielle. Le gouvernement avait plutôt intérêt à ne pas ébruiter le fait qu’ils aient formé des gosses dont les paramètres correspondaient à certain critère pour en faire des petits soldats. Théoriquement ce groupe de cinq, devait être capable de tuer sans état d’âmes mais devait aussi obéir aux ordres. Le problème c’est que sur les cinq enfants choisis, aucun ne voulait devenir des tueurs. Ils avaient compté sur leur intelligence pour savoir calculer la trajectoire d’une balle en fonction de l’impacte mais ils avaient aussi récolté des gosses pas suffisamment bêtes pour croire que tuer les gens pouvait améliorer leur situation présente ou faire oublier leur passé déjà douloureux.  

 

Un flic d’une trentaine d’années l’avait aidé à prendre conscience de ça, Tony l’avait rencontré un jour à New York alors qu’elle faisait des repérages, il était avec son chien policier, qui avait tout de suite sentie l’odeur de la poudre de son entraînement du jour. Elle avait eut une telle frayeur, elle avait une peur panique des chiens et celui là, c’était un labrador et il aboyait tant qu’il pouvait.  

Elle en était tombée sur les fesses et reculait en glissant sur le sol. Son visage était devenu blême. Un jeune homme blond, portant des lunettes nota la situation et après avoir ordonné à son chien de se taire. Il lui tendit la main pour se lever mais Lina avait hésité, une peur fugace dans le regard. Ce jour-là, elle était habillée avec un jean, un t-shirt long avec marqué « Flower » dessus. Elle portait un blouson en jean bleu clair, légèrement trop grand, les manches étaient retournées une foi, il lui arrivait juste en dessous des fesses. Pour se faire pardonner la frayeur, il lui proposa de lui offrir une glace. Et lui avait demandé si elle avait pas un peu chaud comme ça. Elle lui avait assuré que non. Très vite, le jeune homme avait trouvé la gamine intéressante, mais il ne savait toujours pas pourquoi son chien avait aboyé de la sorte. Et puis, il avait surpris son regard étrange quand un homme était passé entouré de gardes du corps, son regard s’était fait froid distant et calculateur.  

 

Elle avait mis sa main dans sa poche, mais celui qui s’était présenté comme s’appelant Tony, lui proposa de faire quelques pas. Forcée malgré elle, elle avait donc dut le suivre. Il lui avait demandé ce qu’elle avait contre cet homme pour vouloir le tuer…  

Elle avait écarquillé les yeux et il lui avait expliqué que son chien était le sien qu’il était un chien policier, la jeune fille avait alors blêmit. Il lui expliqua qu’il avait vu son arme quand il l’avait aidé à se relever et il l’avait convaincu d’attendre une semaine avant d’exécuter les ordres. Elle l’avait donc fréquenté pendant une semaine, pendant laquelle, il lui avait fait faire plein de choses et surtout montré que derrière un nom, il y avait souvent une famille, un travail et des raisons.  

- Mélina, tu vas bien ? lui demanda son frère.  

- Ça va Gabi, ne t’inquiète pas.  

 

Il avait été évident pour la jeune fille qu’au moins une branche du gouvernement américain ou alors une seule personne capable de leur donner des ordres, voulait absolument que cet homme soit mort.  

Ils auraient pu proposer un des cinq autres, mais ils avaient tablé sur elle. Sans doute parce qu’elle était la plus perfectionnée sur les tirs à longue distance que les autres, même si Mikael avait presque un aussi bon niveau.  

 

Mélina voulait repasser sur le lieu ou l’homme s’était fait tirer dessus, elle savait pourtant que les règles élémentaires lui interdisaient mais elle n’y pouvait rien.  

 

La jeune fille emmena donc son frère Gabriel jusque là-bas, il se doutait que c’était une très mauvaise idée, même si personne ne pouvait décemment la reconnaître. En effet, suite à un incident le matin même, elle avait préféré changer de couleur ou tout du moins de mettre une perruque pour dissimuler ses cheveux. Elle regrettait même de ne pas avoir forcé son frère à faire de même en raison de leur ressemblance. Elle l’avait néanmoins obligée à porter une paire de lunettes. Gabriel avait accepté uniquement parce qu’il se doutait que ce n’était que pour le protéger, en plus, il avait profité de sa présence au Japon pour faire couper ses cheveux courts.  

 

Arrivés dans le parc, ils s’assirent tous les deux. Mélina restait cependant concentré sur ce qu’il se passait. Quelle ne fut pas sa surprise de croiser celui pour qui elle était venue initialement ! Cet homme regardait partout, et il la dévisagea, elle aussi avait mis des lunettes ce qui dissimulait un peu grâce au reflet la couleur de ses yeux.  

 

Malheureusement elle resta trop concentrée sur cet homme, elle ne s’aperçut que trop tard de leurs présences. Elle prit la main de son frère et le força à se lever rapidement. Elle le tira pour qu’ils s’échappent en courant, mais très vite, ils furent tous les deux encerclés.  

 

- Ne t’inquiète pas, lui murmura-t-elle dans une langue étrangère.  

 

Elle tenait par la main gauche celle de son frère. La jeune fille glissa sa main dans sa poche pour en tirer de quoi une faire une diversion.  

 

- Allons, tu vas nous confier le garçon… Et tu feras tous ce qu’on veut et tu n’auras aucun bobo.  

 

Elle voulut sortir sa main de sa poche.  

 

- Doucement, ma petite, si non on fait un trou dans la tête de ton cher frère.  

 

Elle commença à sortir sa main de sa poche tout en tenant une petite sphère. Mais elle n’eut pas le temps, de la sortir qu’un des types se retrouva à terre.  

 

Profitant de la diversion, elle fila avec son frère à travers les chemins du parc. Ils coururent rapidement mais Mélina à l’entrée du parc, se heurta à quelqu’un et faillit tomber en arrière si cette personne ne l’avait pas retenu. Gabriel, habitué aux tentatives d’enlèvements restait stoïque. Il demanda à sa sœur :  

 

- Ça va ?  

- Oui ne t’inquiète pas. Excusez-moi monsieur, je ne regardais pas.  

 

Elle releva la tête et là, elle se dit « Drôle de coïncidences ».  

 

- C’est toi qui a dut avoir le plus peur, lui assura-t-il en souriant. Pour me faire pardonner d’avoir débarqué dans votre champ de course, je vous offre quelque chose à boire.  

 

Mélina savait de qui il s’agissait, d’un côté, avec le partenaire de City hunter ils seraient en sécurité, d’un autre était-il nécessaire de s’exposer à ce point au risque que l’on devine la première raison de leur venue au Japon ?  

Cependant, elle mit ses inquiétudes au second plan et accepta la proposition, pour son frère.  

 

Ils le suivirent donc jusqu’à un petit salon de thé, cet homme avait un air bizarre quand même songea Gabriel. Si le jeune garçon n’avait pas été là, il n’aurait certainement pas laissé sa sœur aller avec ce type, affublé d’un cache poussière immonde. C’est simple ce vêtement lui faisait penser à un obsédé sexuel voir même un pédophile. Gabriel s’assit au fond de son siège, sa sœur ne lui avait pas parlé du partenaire de city hunter, d’ailleurs elle ne lui avait rien dit. Il savait juste qu’ils étaient là pour raison personnelle.  

 

- Alors mes enfants, qu’est ce que vous faîtes dehors livré à vous-même par un temps glacial ? Demanda-t-il d’une voix douce.  

- Nous visitons déclara Mélina, le parc de Shinjuku est absolument magnifique. N’est ce pas grand frère ?  

- Oui répondit-ce dernière de manière laconique.  

 

La jeune fille sentait son frère inquiet et fit rapidement le rapprochement avec l’apparence extérieure de leur hôte. Elle demanda à l’homme :  

 

- Vous avez une drôle d’apparence, chez nous, vous seriez soupçonné d’exhibitionnisme.  

 

L’homme en face s’étouffa presque, Gabriel en était pas loin. Pendant que le frère de Mélina lui dit :  

 

- Mais ça va pas ! Lina !  

- Je suis désolée ajouta cette dernière et lui demanda – vous faite quoi comme boulot alors ? Photographe ? Détective privé ?  

 

L’homme en face des deux jeunes enfants, les regarda interdit. On lui avait encore jamais fait le coup de l’exhibitionniste.  

 

- Je vais vous répondre, à condition que vous me donniez vos prénoms.  

 

Mélina n’était pas trop pour, mais son frère l’ayant déjà appelé « Lina » elle dit :  

 

- Mon frère s’appelle Gabriel, moi je suis Mélina.  

 

* * * * *  

 

Dans le parc, Ryo en finissait avec ces types plutôt coriaces. Mais quand il se retourna pour rassurer les deux enfants, il s’aperçut alors qu’ils avaient disparus !  

Il avait beau se repasser la scène dans sa tête, il ne les avait pas sentis prendre la poudre d’escampette.  

Il se retourna pour interroger les cinq gus, mais ils avaient aussi pris leur jambe à leur cou. Mais pour ces derniers, il les avait sentis partir, d’ailleurs pour lui le plus important avait été de sauver les deux enfants qui avaient faillit se faire enlever. L’un blond aux cheveux courts, et l’autre brune à l’extrême et tous deux portaient des lunettes de vues.  

 

Il prit le temps d’observer la scène et regarda d’où le sniper avait bien pu tirer. Il fut étonné que le bâtiment se trouve à une très grande distance, mais elle était quand même un peu moins grande que celle entre son immeuble et l’immeuble observateur.  

Il se rabroua mentalement en se disant qu’il n’y avait aucune chance pour que ce soit la même personne et pourtant, il devrait faire attention. Le nettoyeur savait qu’il y avait quelque chose de bizarre, d’ailleurs il avait bien entendu les pseudo kidnappeur dire qu’ils ne voulaient que le garçon. Il ne pouvait pas leur en vouloir d’être parti en courant sans attendre de remercier leur sauveur.  

 

* * * * *  

 

- Mon nom est Hideyuki Makimura, et chère mademoiselle, bien qu’on ne me l’ait encore jamais fait, je ne suis pas exhibitionniste.  

- Vous m’en voyez ravie, mon frère n’était pas rassuré.  

- Oné-chan ! (nda : je sais que pour petite sœur c’est imoto-san, mais pour des raisons que vous découvrirez plus tard je choisi d’utiliser les terme « grand frère » et « grande sœur » - qui a dit que j’étais compliquée ? mdr)  

 

Mélina souriait, tout ceci l’amusait. Ces rencontres impromptues, ce qu’elle n’aimait pas par contre c’est qu’on ait payé des gens pour enlever son frère. Elle se demandait si elle pouvait le protéger malgré tout l’entraînement qu’elle avait reçu.  

Etre sniper est une chose, mais faire face à un adulte qui est deux ou trois fois plus grand et fort, c’était une autre histoire...  

 

- Je suis détective privé, déclara-t-il.  

- Alors vous allez pouvoir…  

- Gabi ! l’interrompit sa sœur, d’une voix douce mais ferme.  

 

Son frère surprit la dévisagea, pourtant cela paraissait être une bonne idée. Il s’enfonça dans son siège et grogna quelque chose d’inintelligible.  

 

- Désolée murmura Mélina. Gabi, je t’ai déjà dit de ne pas t’en faire.  

 

Sentant le regard inquisiteur du détective, Mélina l’ignora totalement et commença à écrire quelque chose sur un bout de papier. Et elle l’adressa à Hideyuki elle lui dit :  

 

- Vous pourrez donner ça à Monsieur Saeba s’il vous plait ?  

- Quoi ! Que ?  

- On y va Gabi.  

 

Son frère non plus ne comprenait plus rien. Il la suivit, elle adressa un salut à l’assistant de City Hunter. L’homme resta encore quelques secondes avant de vouloir rattraper les deux gamins, mais une fois dans la rue il les avait perdus de vue. Il serrait encore le petit mot dans sa main. Quand il sentit la présence de Ryo, il lui dit :  

 

- Tiens, un message pour toi.  

- Hum ?  

 

City hunter prit le bout de papier ou une écriture maladroite visiblement d’enfant écrivait en japonais :  

 

- Une vie pour une vie, je vous revaudrais ça, lut-il. Qui t’a donné ça ?  

- Une gamine brune avec des lunettes, elle était avec son frère.  

- Probablement les deux gosses que j’ai empêché qu’on enlève. Tu dis que la fille t’a donné ça ?  

- Oui, elle m’a dit de donner ce bout de papier à Ryo Saeba. Visiblement elle savait qui j’étais… Dire qu’elle m’a dit qu’avec mon pardessus je ressemblais à un exhibitionniste.  

- Elle a dit ça ? demanda ahuri le nettoyeur, alors que un escadron de libellules passaient derrière lui.  

- Oui oui, elle a fait comme si elle ne savait pas qui j’étais mais quand son frère a su que j’étais détective privé, enfin c’est ce que je lui ai dit. Il a voulu me demander quelque chose mais sa sœur s’y est opposée puis elle a écrit le papier et ils se sont envolés.  

- Probablement pour une protection, ils ont failli se faire enlever comme je t’ai dit.  

 

Ils restèrent silencieux, tout ça était bien étrange. Beaucoup de choses l’étaient selon le nettoyeur.  

 

La jeune fille avait tiré son frère dans les rues de la capitale pour arriver, dans une artère principale ou une fois de plus ils purent semer leurs poursuivants.  

Ils avaient quitté rapidement le café, pas uniquement à cause de la semi-demande de son frère, non, ils étaient partis parce qu’elle avait senti que City Hunter n’était pas loin. Elle ne tenait pas à se confronter à lui, pas encore…  

Elle ne croyait pas réellement aux coïncidences et était presque sûre que Ryo Saeba n’était pas dans ce parc par hasard, il avait l’air d’observer et de regarder quelque chose. Sans doute recherchait-il des indications sur le tireur…  

Un frisson lui parcoura le corps, elle ne voulait pas que City Hunter soit au travers de sa route et pourtant ça avait l’air d’être le cas. D’un côté ce n’était pas plus mal, ce diplomate en serait que mieux protégé. Pourtant elle avait cru comprendre que Ryo Saeba préférait travailler pour des femmes…  

Elle se demandait si cette rumeur était fondée !  

 

Ils se reverraient, ils en étaient persuadés tous les deux !  

 

Fin du chapitre  

 

 


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