Hojo Fan City

 

 

 

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Rated R - Prosa

 

Autore: chibiusa

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 55 capitoli

Pubblicato: 14-03-05

Ultimo aggiornamento: 09-05-06

 

Commenti: 272 reviews

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GeneralDrame

 

Riassunto: Suite à un coup de massue, l'armoire de la chambre d'ami a volé en éclat. En déblayant Kaori découvre derrière une porte. Ryo lui interdit formélement d'entrer dans la pièce. Pourquoi ?

 

Disclaimer: Les personnages de "Destins Forcés" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo. Kerry et Mélina et Aline m'appartiennent ^^'

 

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   Fanfiction :: Destins forcés

 

Capitolo 33 :: Face à face

Pubblicato: 08-01-06 - Ultimo aggiornamento: 08-01-06

Commenti: Bonjour tout le monde ! je remercie les reviewers ^^! enfin la rencontre entre Mélina et Ryo. je vous prépare encore quelques surprises ! J'espère que vous aimez toujours cette fan fictions ! bonne lecture et à bientôt !

 


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Chapitre 33 – Face à face.  

 

Ryo Saeba lui ouvrit la porte, aucun des deux n’osaient bouger. Le nettoyeur la regarda de haut en bas, elle avait un bonnet de père noël sur la tête (nda : c’est un clin d’œil pour Cal), quelques cheveux bruns qui en sortaient, ses yeux étaient cachés par des lunettes de vues, mais son visage était aussi pâle qu’un linge, rien qu’en l’observant. Il pouvait aisément deviner qu’elle était soit souffrante, soit gelée voir les deux.  

Mélina le dévisageait sans trop le voir, son mal de tête avait empiré et il était fort à parier qu’elle allait être malade à cause du temps resté dans le froid. Elle l’observa, il était grand les yeux sombres impénétrables et il portait une veste et un t-shirt rouge, elle ne put s’empêcher de frissonner comment faisait-il pour supporter la température.  

L’un comme l’autre, furent sortis de leurs pensées par Hideyuki qui sortait de la cuisine pour voir qui était l’invité. Quel ne fut pas son étonnement en voyant Mélina devant la porte et le nettoyeur immobile. Il avança vers eux et poussa Ryo.  

 

- Mélina ? Que faites-vous ici ? je croyais que vous étiez enlevée.  

 

A son nom, la jeune fille sursauta pour dévisager le type qu’elle avait déjà rencontré. Elle sortit de sa torpeur et dit :  

 

- Puis-je entrer ?  

- Bien sûr ! s’exclama Hideyuki.  

 

Elle passa à côté de Ryo et pénétra dans la salle chaude. Instinctivement elle se positionna contre le radiateur. Mais elle n’osa pas enlever sa veste.  

 

- Alors ?  

- Ils ont loupé un tournant et on a atterrit dans le faussé. Vous pensez bien que je n’ai pas attendue midi à quatorze heure pour m’en aller.  

- Tu n’as pas été blessé ? demanda Hideyuki.  

 

Elle le dévisagea surprise.  

 

- Un peu mais c’est une broutille.  

- Fais voir, proposa Hideyuki.  

 

Instinctivement, Mélina se recula et dit :  

 

- Si vous avez une trousse je le ferais moi-même. Ma mère est médecin, j’ai l’habitude. Avez-vous trouvé mon frère ? demanda-t-elle. Il vous avait engagé pour le protéger, si je ne me trompe…  

- En fait non, nous nous sommes concentrés sur ton enlèvement.  

 

Elle leur jeta un regard noir et leur dit d’une voix cinglante :  

 

- Je n’avais pas besoin de protection au contraire de mon frère.  

 

Elle les regarda l’un après l’autre et demanda finalement :  

 

- Je pourrais aller prendre un bain ? il est tard, et je suis restée longtemps dehors.  

- Bien sûr.  

- Vous auriez un t-shirt ou quelque chose que je puisse mettre.  

- Hum, je vais voir si y’a pas quelque chose qui appartient à la sœur d’Hideyuki en haut.  

 

Sur ce le nettoyeur monta à l’étage récupérer un jogging bleu clair dans les affaires de sa fille. Il ne voulait pas trahir l’existence de sa protégée aussi avait-il inventé l’histoire de la sœur d’Hideyuki.  

Mélina bien que toujours sur la défensive demanda :  

 

- Vous avez une sœur ?  

- Oui.  

- Comment s’appelle-t-elle ?  

- Kaori.  

- Elle a quel age ?  

- Dix-sept ans.  

- Je vais nager dedans…  

- Ne t’inquiète pas, il s’agit d’anciens vêtements.  

- Qu’est ce qu’ils font là ?  

 

Hideyuki commença à s’inquiéter, cette gamine était visiblement quelqu’un de pointilleux et de curieuses. Il lui demanda :  

 

- Tu ne veux pas enlever ton manteau ?  

- Je n’ai pas encore bien chaud.  

 

Il voulut s’approcher pour toucher son visage, mais Mélina recula instinctivement. Mais elle prit sur elle pour se laisser faire, il lui toucha le visage et constata qu’elle était gelée.  

 

- Tu es restée combien de temps dehors ?  

- Environ trois heures je crois. Dont deux assises dans le parc, je ne savais pas trop quoi faire.  

- Tu aurais dut venir plus tôt…  

- Et j’étais censé vous trouver comment ? demanda-t-elle alors qu’elle sentait vaguement qu’on allait à présent essayé de se faire piéger.  

- Tiens, ça devrait t’aller déclara le nettoyeur qui venait de réapparaître.  

 

Mélina sursauta, elle n’avait pas senti sa présence. Elle ne s’en troubla pas outre mesure, elle connaissait sa réputation.  

 

- Tu es habillée comment là ?  

 

Elle enleva son manteau et apparut, son pantalon d’hôpital troué et un pull-over  

 

- Ton frère m’avait dit que tu étais à l’hôpital... déclara Hideyuki.  

- Mon frère parle trop.  

 

Elle prit les vêtements et alla pour se diriger vers le couloir pour trouver la salle de bain quand le nettoyeur, la retint par l’épaule.  

 

- Attends, tu es blessée.  

- Je sais, je vais nettoyer les plaies.  

- Comment as tu fais pour passer par la fenêtre ?  

- Vous voulez pas attendre après que je me sois réchauffée ?  

- Bien sûr. Mais fais voir tes blessures. Ça saigne.  

 

Mélina se résigna sans pour autant oublier de bougonner en disant qu’ils étaient de vrais mères-poules. Heureusement le pantalon était large, elle n’aurait pas besoin de le descendre. Elle s’assit sur un coin de chaises, elle réussit à montrer ses deux blessures. C’était la jambe gauche.  

Hideyuki s’agenouilla devant elle et avec une pince à épilé réussi à enlever les différents bouts de verres. La jeune fille espérait qu’ils ne sentiraient pas l’odeur de la poudre. Elle avait mis des gants mais il était fort probable qu’il y en ait sur la veste de son manteau.  

 

- J’espère que je ne te fais pas mal.  

- Ça va répondit-elle laconiquement.  

 

Il passa ensuite à la deuxième blessure, celle qui se trouvait juste au-dessus du genou. Quelque chose attira l’attention du nettoyeur qui demanda à prendre la place de son partenaire. Ce dernier s’exécuta étonné.  

Le nettoyeur monta encore d’avantage le pantalon, Mélina fit une grimace. Il demanda  

 

- C’est quoi ?  

- Une cicatrice répondit-elle en haussant les épaules.  

- Comment te l’es-tu faite ?  

- Je suis mal tombée.  

 

A peine eut-il finit, qu’elle se mit à éternuer trois fois d’affilé. Ses yeux devenaient de plus en plus brillant. Elle connaissait les symptômes, il fallait absolument qu’elle prenne un bain bien chaud avant d’attraper une grippe carabinée qui l’empêcherait de s’occuper de son frère. Le nettoyeur toucha la cicatrice du bout du doigt, Mélina sursauta.  

Elle ne se rappelait pourtant pas comment elle était arrivée cette fichue cicatrice, elle savait juste ce qu’on avait bien voulu lui dire.  

 

- Comment exactement ? Demanda le nettoyeur en fronçant les sourcils.  

- Je ne connais pas les détails, je ne puis vous répondre.  

 

Elle serra ses bras, elle commençait à frissonner. Ryo allait demander encore autre chose quand son partenaire lui dit :  

 

- Il faudrait qu’elle prenne un bain chaud, si non elle va attraper la crève.  

- Tu as raison.  

 

Il lui montra la salle de bain et lui donna une serviette propre. Mélina s’excusa et s’enferma dans la salle, instinctivement elle regarda la fenêtre. Elle l’ouvrit et remarqua un rebord d’une cinquantaine de centimètres, puis un escalier de secours à environ trois mètres. Elle referma prestement la fenêtre avec application et fit couler son bain.  

Elle se déshabilla et se glissa dans l’eau chaude.  

Elle se délecta de la chaleur qui s’insinuait en elle. Etrangement, elle se sentait en sécurité, ce genre de chose n’arrivait pour ainsi dire jamais. Elle se sentait ainsi quand elle était avec son frère et presque uniquement avec lui. Bien sûr il y ‘avait aussi Jack Melburn, mais lui, elle le considérait comme son grand frère. Jack s’était occupée d’elle-même si elle ne s’en souvenait pas vraiment, juste une impression de sécurité l’envahissait à son contact. Il l’adorait, et elle le ressentait.  

Avec son frère aîné, Aurélien K. Therryana, cette sensation était aussi présente mais étouffée par la rancœur de ce dernier envers elle. Il la rendait responsable en parti des mauvais traitements que son père lui faisait subir.  

Elle ouvrit brusquement les yeux, il ne fallait pas qu’elle s’épanche sur ça, sans quoi, ils sentiraient sa présence. Mais ce qu’elle ne comprenait pas avec Aurélien, c’était pourquoi il venait avec elle en week-end avec elle chez leur père étant donné qu’il était parfois frappé pour des raisons diverses et variées…  

Ce qu’elle ne comprenait pas et ce qui lui échappait, c’était en fait qu’il l’aimait beaucoup. Et que son seul objectif était de la protéger, y compris de leur père.  

 

Dans la cuisine, Ryo était assis.  

 

- A-t-on avis quelle est l’origine de cette blessure ?  

- Tu parles de celle que tu as décelée au-dessus sur le côté gauche de la cuisse.  

- Oui.  

- Je l’ignore, elle t’a dit qu’elle était mal tombée. Et a mon avis elle n’a pas menti en disant qu’elle ne savait pas exactement ce qui s’était passé.  

- Je sais. Elle a même parue surprise quand tu as voulu soigner d’abord ses blessures. Tu as son nom de famille ?  

- Non. Je ne l’avais pas demandé à son frère et elle ne l’a pas dis quand elle a présenté son frère.  

- Il faudra faire des recherches sur eux.  

- Oui.  

- Au fait, tu as remarqué ?  

- Quoi donc ?  

- C’est sourcils, ils sont trop clair pour que brun soit sa couleur, elle a dut faire une teinture un truc du genre.  

 

Le client de city hunter qui attendait encore dans le salon, commençait à en avoir marre d’attendre alors il sortit de cette pièce. il croisa alors une jeune fille habillée d’un jogging bleu clair. Quand cette dernière le dévisagea sans ses lunettes, il fut comme tétanisé, ses yeux étaient d’un vert clair étonnant. Mélina fixa l’homme en face d’elle, et inconsciemment elle lui fit savoir qu’elle était son ennemi, son regard se fit plus intense et plus sombre tout à coup. Elle se reprit au bout de trente secondes à peine. Elle savait que l’éducation qu’on lui avait donnée, était contraignante et surtout qu’il faudrait qu’elle fasse attention voir très attention. Car même si elle ne l’était toujours pas, elle était potentiellement une tueuse.  

Elle finit par remettre ses lunettes de vue, mais resta devant l’homme.  

 

Au même instant, Ryo et Hideyuki ressentirent une vague d’angoisse prenante et sortirent immédiatement de la cuisine l’arme au poing pour Ryo. Il passa à côté d’eux et ouvrit la porte pour voir, mais aucune tension meurtrière. Il rangea son arme.  

Il alla dans le salon pour regarder en direction du toit de l’immeuble observateur.  

Mélina était mal à l’aise, elle savait que c’était de sa faute si le nettoyeur était devenu félin. Elle demanda d’une toute petite voix :  

 

- Quelque chose ne va pas ?  

 

Ryo se retourna vers elle étonné, c’était presque la première fois qu’elle prenait l’initiative de lui parler :  

 

- Une impression une minute, mais visiblement c’est rien. En revanche, il y’ a toujours quelqu’un qui nous observe.  

 

Mélina fronça les sourcils, elle savait qui c’était, et en plus c’était à cause de lui que souvent elle se faisait remarquer par City Hunter. Finalement elle avait dut suivre Hideyuki pour trouver son appartement.  

 

- Au fait Mélina ?  

- Oui ?  

- Comment as-tu trouvé que j’habitais ici ?  

 

La jeune fille déglutie avec difficulté et elle dit très bas :  

 

- C’est à dire que, comme la rumeur sur City Hunter disait que vous étiez un habitué des bars à hôtesse… - Elle rougit un peu mal à l’aise – Je leur ai demandé si elle vous connaissait et l’une d’elle m’a indiqué ou vous trouver.  

- C’était quel cabaret ?  

- Euh… je sais pas, dit-elle doucement. Moi les Kanji c’est pas trop mon truc j’ai du mal alors quand y’en a plusieurs… je sais qu’il y avait celui de « l’eau » et celui de « lapin » et il y avait le mot « bleu ». Les filles étaient habillées avec un pompon sur les fesses ! j’ai halluciné !  

 

Un escadron de libellule vint s’écraser sur la tête du client et d’Hideyuki.  

 

- Mais enfin Mélina ! S’indigna Hideyuki. Vous auriez dut marquer un message sur le tableau…  

- Je veux pas vous vexer, déclara Mélina d’une toute petite voix. J’ai essayé de joindre monsieur Saeba via un café dont j’avais eu vent que City Hunter allait parfois pour des tuyaux. J’ai attendu le plus possible mais quand je les ai vus arriver, j’ai dut partir.  

- Et pour la fenêtre ? comment es-tu sortie ?  

- Puis-je m’asseoir ?  

- Bien sûr. Au fait je te présente Monsieur Akatchi Kenji.  

- Monsieur, mon nom est Mélina je suis enchantée de faire votre connaissance, dit-elle doucement. Vous êtes un homme important ?  

- Important je sais pas, mais visiblement assez pour que l’on veuille me tuer.  

 

Mélina sursauta, l’homme avait l’air assez en colère, voyant la surprise dans les yeux de l’enfant il lui dit :  

 

- Je m’excuse, je ne voulais pas vous faire peur.  

- C’est rien.  

 

L’homme leur expliqua qu’il était fatigué et se réfugia dans sa chambre. Il ne savait plus quoi penser de cette enfant, pourtant ses yeux avaient eu l’espace d’un instant quelque chose de flippant. Il se frappa la tête comme pour se certifier que ce n’était pas possible et il dit à voix haute :  

 

- Ce n’est qu’une gosse !  

 

Dans le salon, une fois assise dans le fauteuil, Mélina ramena vers elle ses jambes, l’interrogatoire continua. Hideyuki lui apporta un chocolat chaud, elle le remercia. Il s’assit sur le canapé et Ryo sur l’accoudoir de ce dernier. De cette façon il la dominait de toute sa hauteur, cela dit la dominer n’était pas compliqué.  

Hideyuki trouvait le visage de cet enfant beaucoup trop sérieux pour une gamine de sa taille, mais il se rappela que son frère avait été enlevé cela pouvait expliquer la barre d’anxiété qu’il devinait. Quelque chose frappèrent les deux nettoyeurs mais aucun des deux ne savaient trop de quoi il s’agissait.  

 

- Tu as appelé tes parents pour les prévenir ? pour qu’ils puissent payer la rançon…  

 

La jeune fille baissa la tête, plein de pensées vinrent la percuter et elle dit doucement :  

 

- Si rançon, il y’ a mon père ne la paiera pas. Quand à ma mère…  

 

Elle serra les poings puis dit :  

 

- Ma mère, n’a pas d’argent propre… elle utilise celle mise à sa disposition pour s’occuper de nous.  

- Que font des enfants tous seuls au japon ?  

- J’avais rendez-vous chez des médecins, mais j’avais un certain nombre de chose à remettre en place dans ma tête.  

- Comment ça ?  

- J’ai perdu la mémoire quand j’avais six ans, j’ai retrouvé quelques souvenirs dernièrement aussi j’essai de mettre comment dire. Le puzzle de ma mémoire dans l’ordre. Je suis là aussi pour autre chose…  

- Quoi donc ?  

- C’est un secret !  

 

Ils en tombèrent à la renverse. A présent, elle leur adressait un immense sourire conscient qu’elle les avait déstabilisés.  

Puis elle sentit une présence, elle tourna la tête vers la fenêtre. Elle se leva et observa la nuit noire et les lumières du quartier de Shinjuku. Elle se fit plus lointaine. Ils remarquèrent qu’elle boitait.  

 

- Ta jambe…  

- Ça arrive quand je suis fatiguée déclara-t-elle songeuse.  

 

Son regard se fit plus présent mais plus précis. Le nettoyeur ne pouvait pas voir ces changements à cause des lunettes. Puis la jeune fille se mit à éternuer un certain nombre de fois, elle tremblait un peu, et sa vue se fit trouble.  

Elle se sentait partir sans rien pouvoir faire, elle était une coutumière de ce genre de chose, elle demandait par moment beaucoup trop de chose à son corps.  

Probablement que la distance qu’elle avait dut prendre pour aller solliciter l’aide des dames du cabaret l’avaient épuisé, sans compter les escaliers.  

 

Elle se retourna face à eux avec pour intention de leur demander ou était sa chambre, mais à peine avait-elle avancé sa main qu’elle s’écroula sur le sol.  

Les nettoyeurs l’avaient observée, mais ils ne s’attendaient pas à ce qu’elle s’effondre ainsi.  

 

Hideyuki alla vers elle et voulu la toucher, mais il ressentit une vive douleur il dit :  

 

- Zut électricité statique.  

 

Il voulut l’atteindre mais Ryo lui dit :  

 

- C’est bon, je vais le faire.  

 

Ryo la transporta sans aucun problème vers la chambre d’amis. Il se pencha sur Mélina et toucha son front, il dit :  

 

- Elle est brûlante.  

- Si elle a traîné pendant des heures dans le parc. C’est guère étonnant, en revanche, je suis surpris que cela vienne si vite. Les vêtements qu’elle avait c’était ceux d’un hôpital non ?  

- Oui je crois. Elle a dut les laisser dans la salle de bain.  

- Son frère m’avait dit qu’elle était à l’hôpital, peut-être avait-elle déjà un excès de fièvres ? Je crois qu’il va falloir appeler le Doc.  

- Oui. Il verra s’il faut la conduire à l’hôpital.  

 

A cet instant là, Mélina entrouvrit les yeux et sa main vint agripper la veste du nettoyeur qui la regarda, elle lui dit :  

 

- Pas hôpital...  

- Pourquoi ?  

 

Mais la jeune fille lâcha prise, et se rendormit.  

 

- Que vas-tu faire ?  

- Lui éviter l’hôpital si c’est possible. On aurait dit un cri du cœur.  

- Je vais appeler le doc.  

 

 

Un peu plus tard alors que le Doc était sorti une fois son diagnostique effectué. Kotori était en train de déshabillée la petite fille en sueur, elle ne put s’empêcher de pousser un cri. Les nettoyeurs et le Doc revinrent dans la chambre.  

 

- Que se passe-t-il ?  

 

 

 


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