Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: chibiusa

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 55 capitoli

Pubblicato: 14-03-05

Ultimo aggiornamento: 09-05-06

 

Commenti: 272 reviews

» Scrivere una review

 

GeneralDrame

 

Riassunto: Suite à un coup de massue, l'armoire de la chambre d'ami a volé en éclat. En déblayant Kaori découvre derrière une porte. Ryo lui interdit formélement d'entrer dans la pièce. Pourquoi ?

 

Disclaimer: Les personnages de "Destins Forcés" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo. Kerry et Mélina et Aline m'appartiennent ^^'

 

Tricks & Tips

I've signed in, but I cannot get access to the management section.

 

Please check that your browser accepts cookies. Please contact me with the email address you signed up and give me your login, password, ISP and localisation. Thanks.

 

 

   Fanfiction :: Destins forcés

 

Capitolo 43 :: Parlementer

Pubblicato: 06-03-06 - Ultimo aggiornamento: 06-03-06

Commenti: Arrrrrg ! plus ça va plus j'ai peur de vous décevoir ! je suis plus trop sur de cette histoire. Mélina a le caractère que je veux mais j'ai peur que vous y adhériez pas. Enfin on verra bien ^^' ! Donc un nouveau chapitre pour vous :) Je vous remercie poru les reviews et je vous dis à bientôt :)

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55


 

Mélina était installée dans la cuisine, le petit déjeuner était finit depuis longtemps et à présent une ambiance théoriquement sereine régnait dans l’appartement.  

Ryo avait rapporté ses discussions avec Mélina et évidemment son partenaire était contre ce principe. Le nettoyeur aussi mais malheureusement ils ne voyaient pas trop quoi faire de plus, une vingtaine d’indics bossait sur cet enlèvement mais visiblement les mercenaires avaient déménagé entre temps.  

Il était fort à parier qu’ils avaient été aidés dans leur entreprise et très vite ils avaient fait le rapprochement avec Joey Thomson.  

Ryo reconnaissait que Mélina avait bien agit en se montrant intransigeante mais peut-être l’avait-elle poussé un peu trop loin dans ses retranchements. Trop tard, ce qui était fait était fait.  

 

Elle finit par fermer son cahier et laissa ses affaires sur la table. Elle sortit dans le salon avisa des escaliers et les monta sous l’œil interrogatif du nettoyeur qui la suivit.  

Ils sentaient tous à nouveau les yeux scrutateurs, mais ils étaient beaucoup moins neutres qu’auparavant.  

 

Elle s’avança jusqu’à la rambarde, et tout en se tenant bien elle regarda en dessous les gens revenant du travail, une véritable fourmilière.  

 

Elle sentit une pulsion meurtrière en provenance de l’immeuble observateur, elle sourit et fit semblant de tirer sur le tireur pourtant lointain.  

 

L’homme avait reçut pour ordre de surveiller et de tirer sur « cette peste de Mélina », les termes venaient de Joey Thomson son supérieur direct.  

Lui aussi avait entendu l’autorité de la gamine, cela l’avait surpris. Qui était cette gosse pour avoir autant de poids ?  

Il la vit et l’ordre était tombé. Il la visa mais la jeune fille lui souriait et fit mine de lui tirer dessus. Son regard avait été implacable, le message était clair, s’il la loupait, elle ne le louperait pas.  

Et insolente elle lui tourna le dos, agacé l’homme allait tirer quand un rideau de couleur rose enveloppa tout le toit de l’immeuble de city hunter. Il lui était incapable à présent de la viser.  

 

Elle referma la porte du toit et se retrouva face aux deux nettoyeurs qui la regardaient avec étonnement elle leur dit juste :  

 

- J’allais pas me faire impressionner, quand même. Bon vous m’aviez parlé de bazooka ? j’aimerais bien voir comment marche ces petites bêtes.  

 

Elle le dépassa en riant face à leur réaction. Les deux nettoyeurs furent assaillit par des libellules.  

 

- Quelle est ta vraie personnalité ? demanda Hideyuki.  

 

Mélina le regarda étonnée et lui dit :  

 

- Euh, un peu toute combinée je suppose. Après ça dépend des moments, si j’arrive à me sentir suffisamment en sécurité pour me laisser aller.  

- Et tu te sens souvent en insécurité, je me trompe ? demanda presque malgré lui le nettoyeur.  

 

Mais Mélina ne répondit pas et son silence parla pour elle.  

 

- Mélina ?  

- Difficile de se trouver en sécurité quand toutes les deux semaines on tente de vous enlever. Et puis à la résidence, toutes ses règles… oppressantes.  

- Kerry serait heureuse là-bas tu penses ?  

- …  

 

elle s’assit sur les marches et leur tournait le dos.  

 

- Je sais pas… Je demanderais à maman ce qu’elle en pense.  

 

Elle sentit une vague étrange venant de Ryo, elle le regarda. Elle dit :  

 

- Mais ne vous inquiétez pas, si elle adopte la même attitude qu’avec moi. Il vaut mieux qu’elle ne vienne pas. C’est pour ça que je dois vérifier.  

 

Elle se retourna pour rencontrer le regard impénétrable du nettoyeur tentant de lire quelque chose dedans. Il fut saisit par son regard.  

 

- Je ne sais pas si ce serait une bonne idée.  

- Hein ?  

- Non rien.  

 

Elle se leva et dit :  

 

- Ne vous inquiétez pas pour moi, j’ai des choses à faire aujourd’hui.  

- Du genre ?  

- Des papiers à remplir, ma marraine a appelé. J’ai demandé à Mathias de m’emmener à la Clinique.  

- Je suis ton garde du corps.  

- Et alors ?  

- Je vais venir avec toi.  

- Vous allez vous ennuyer. Sans compter les examens que je vais encore avoir à la clinique, je vais rester longtemps.  

- Je trouverais bien à m’occuper.  

- Si c’est de la même façon que sur ma marraine, je vous préviens que vous risquez votre vie.  

- Pourquoi elle est dangereuse ? demanda-t-il tout en s’imaginant déjà des séances accroché aux barreaux du lit.  

- Je préfère pas savoir à quoi vous pensez… Non en fait, dit-elle avec un sourire. Je pensais à moi.  

- Toi ?  

- Bah oui ! si vous faites fuir tout le personnel hospitalier de la clinique qui m’appartient enfin à ma famille ça va pas le faire et je devrais sévir.  

 

Amusé le nettoyeur, lui demanda :  

 

- Comment ?  

 

- Oh, je sais pas encore mais je trouverais bien ! Bon faut que je me change.  

- Tu es pas bien comme ça ?  

- Bah, c’est pas adéquat pour sortir. Si je fais une faute de goût je risque d’en entendre parler.  

- Dis-moi Mélina demanda Hideyuki.  

- Oui ?  

- Pourquoi tes parents vous ont-ils laissé aller seul au Japon sans vous accompagner ?  

- Ils sont trop occupés. Je suis presque sûre qu’ils savent pas exactement ou on est.  

 

Elle les quitta et descendit. Quelques minutes plus tard, ils descendirent et ils virent les deux filles en grande discussion. Ryo sourit. Mais quand il vit que sa fille pleurait, il n’était plus du tout content. Il entendit Mélina soupirer et lui dire :  

 

- Pourquoi tu pleures ? Tu n’as toujours pas compris ?  

- J’y peux rien… murmurait Kerry. C’est plus fort que moi !  

 

Mélina soupira à nouveau et lui dit doucement :  

 

- Allez c’est rien… si tu ne veux pas venir voir le médecin pour tes yeux. Je ne vais pas te forcer.  

 

Elle ajouta :  

 

- Montre-moi ton visage…  

 

Sa sœur obtempéra, et fut surprise quand Mélina lui essuya à l’aide d’un mouchoir les sillons de larmes. Il y avait tellement de douceur dans ses gestes.  

 

- C’est mieux comme ça. Allez, je dois aller me préparer.  

- Pourquoi ? demanda Kerry.  

- Quoi ?  

- Pourquoi, t-ont ils relâché et pas moi ?  

 

Quel était le sentiment d’injustice qui hantaient à présent les sens de Kerry, de l’injustice. Mélina le ressentit et lui dit :  

 

- Je ne sais pas. Un coup du sort ? ou alors j’ai dut faire quelque chose qui a fait que…  

- Ils vont reve…  

- Non déclara Mélina. Ils auraient trop peur.  

- Peur ? Demanda Kerry.  

- Bah oui ! Qu’ils essaient de te toucher à nouveau et j’en connais un qui va leur fera voir de toutes les couleurs !  

- Merci.  

 

A nouveau Kerry prit sa sœur dans ses bras, et Mélina resta à nouveau pétrifiée. Elle ne savait pas quoi faire, ni comment réagir. Au bout d’une minute Kerry se détacha et lui sourit.  

 

Mélina fut saisit de voir tant de spontanéité chez sa jumelle. Elle qui aurait dut être encore plus renfermée que Mélina était en réalité plus épanouie plus libre.  

Son cœur ne demandait qu’à aimer, alors que celui de la petite Therryana était fermé. Clos tout au fond de son être pour ne plus souffrir. D’un certain côté elle était contente que Kerry ait une si grande force.  

 

Elle s’éloigna d’elle, tourmentée et alla se changer. Elle choisit une robe bleue marine et des collants de la même couleurs. Ensuite elle tressa ses cheveux en une longue tresse sur son dos.  

Elle se regarda dans la glace et glissa ses lunettes de vue sur son nez. Ensuite elle enfila un joli gilet blanc et mit des bottines. Elle mit ensuite son manteau et alla dans le salon.  

Elle vérifia ses poches et en sortit de boulettes qu’elle remit à sa place.  

 

Le téléphone sonna. Mélina décrocha et dit juste « d’accord, j’arrive tout de suite ». Elle raccrocha.  

 

- Bon bah j’y vais.  

 

Elle alla jusqu’à la porte d’entrée et dit :  

 

- Monsieur Saeba, vous aviez dit que vous vouliez venir, si non j’y vais sans vous.  

- J’arrive.  

 

Quelques minutes plus tard ils étaient arrivés à la clinique. Là-bas, le nettoyeur descendit en premier pour s’assurer qu’il n’y avait rien puis autorisa Mélina à sortir. La jeune fille ne s’en formalisa pas, elle avait l’habitude de ça.  

A l’entrée de l’hôpital, elle enleva son manteau, laissant apparaître sa tenue « de petite fille sage », Ryo lui dit :  

 

- Comme ça on dirait une petite fille gentille.  

- Mais c’est ce que je suis déclara-t-elle, puis elle ajouta plus doucement pour que le professionnel entende, du moins, en apparence.  

- Je vois ça.  

 

Elle se dirigea comme la dernière fois jusqu’au bureau du premier étage. Le nettoyeur la suivit.  

 

Elle pénétra dans la chambre d’à côté et alors que le nettoyeur voulait la suivre elle lui dit :  

 

- Je vais me changer.  

- Te changer ?  

- Oui j’ai des examens à supporter alors autant être à l’aise.  

- D’accord.  

 

Elle revint quelques minutes plus tard en sous-pull et caleçon long.  

 

- Pourquoi t’être si bien habillé alors ?  

- Au cas où maman ou papa viendrait… Mais ce n’est visiblement pas le cas !  

 

Ryo ressentit la déception de la jeune fille, il ne savait pas quoi dire. Il trouvait que ses parents se détachaient de ses enfants et il ne savait pas pourquoi. Et la jeune fille restait secrète sur ce point là.  

 

Il était près de dix-huit heures quand ils rentrèrent. Mélina était tellement épuisée qu’elle s’était endormie dans la voiture. Le nettoyeur avait dut la porter jusqu’à l’appartement. Hideyuki ne put s’empêcher de dire :  

 

- Tu en as apprivoisée une, et voilà la deuxième.  

- Non. Je ne pense pas que je sois dans ses bonnes grâces.  

 

Le nettoyeur et Hideyuki allèrent dans la cuisine.  

 

- Ça s’est bien passé ?  

- Je ne sais pas comment elle fait…  

- Pourquoi ?  

- J’ai vu défilé au moins une dizaine de médecins, infirmières, anesthésistes. Quand ce n’était pas pour un examen respiratoire, c’était pour une prise de sang. D’ailleurs elle a été obligée de rester allongée car suite a ces derniers elle a eut des vertiges. Suite à ça, ils lui ont donné une poche de sérum. Et un électrocardiogramme…  

- Et elle allait bien ?  

- Hum, je ne sais pas. J’ai entendu dire les médecins dire « comme d’habitude ».  

- Si non tu t’es bien tenu ?  

- Oui… il y avait une telle ambiance.  

- Ah ce point ?  

- Oui, un des médecins qui était anglais. A décrété que si elle allait au-delà de 10 ans c’était miraculeux. Sa marraine s’est emportée contre le type j’ai bien cru qu’elle allait le fracasser. Mais Mélina a dit de le laisser dire et de le faire partir. A ce moment là, tu aurais vu son regard. Il était comme résigné, en fait, je crois sincèrement que vivre ou mourir l’indiffère…  

- Quoi ?  

- C’est mon impression, c’est tout…  

- Tu veux dire qu’elle est sujette a des intentions suicidaires ?  

- Non je ne pense pas d’ailleurs elle m’a dit avant de s’endormir quelque chose d’étonnant : « ils peuvent parler tant qu’ils veulent, ce la jouer à la Nostradamus avec moi… Je leur ferais démentir leur propos en leur prouvant que je peux devenir centenaire si je le souhaite… »  

- Et bien quelles paroles…  

- Moui.  

 

Dans la salle, Kerry avait descendu les marches et s’était accroupit près de sa sœur. Elle lui effleura les cheveux et sembla la fixer de ses yeux vides. Elle ne comprenait tout bonnement pas le comportement de sa jumelle. Pourquoi s’obstiner à voir un monde qui n’en vaut pas la peine…  

Et puis le téléphone sonna, Mélina se releva en sursaut et sa tête cogna de plein fouet celui de sa sœur. Elles se tinrent le front chacune de leur côté, en grognant que ça faisait très mal.  

Ce fut le moment que les nettoyeurs entrèrent dans le salon. Mélina réagit et se leva et avança au radar. Elle avait tellement mal à la tête qu’elle se demandait comment elle faisait pour se diriger sans problème.  

Elle saisit le téléphone et dit :  

 

- Oui ? monsieur.  

- Mélina, je suis désolée par le freelance de Joey. Il ne faut pas croire que cela soit dans la politique de la maison.  

- …  

- Mélina ?  

- Je veux que vous trouviez toutes les informations sur les Kidnappeurs.  

- Bien entendu.  

- Je veux aussi que notre groupe soit retiré de la catégorie tueur.  

- Pardon ! mais vous n’avez pas le droit de…  

- Monsieur. Un de vos subordonnés à cru malin de remettre sur le tapis, un contrat que j’ai refusé de remplir, il y a six mois…  

- Vous n’étiez pas prête…  

- Je ne compte pas l’être un jour. Je veux que tous les cinq soyons retirés de ce projet.  

- Et de quel droit ?  

- Joey a engagé des mercenaires… il n’a pas vérifié qui était ses gens avant de les engager pour m’intimider puis enlever mon frère.  

- Mais je ne suis pas responsable…  

 

La voix qui jusque là était conciliante et douce se fit plus dure :  

 

- Je me fiche de savoir qui est responsable monsieur. Les faits sont là, et si, mon frère a une seule égratignure je me retirerais définitivement du projet.  

- …  

- En agissant de la sorte vous évitez de me perdre. Et ça il me semble que vous ne le voulez pas ?  

- Je vous rappellerai.  

 

Mélina raccrocha confiante.  

 

- En quoi leur es-tu si précieuse demanda Hideyuki.  

- Disons que je suis douée pour d’autres choses que le tir.  

 

Sa sœur s’approcha et demanda :  

 

- Qu’est ce qui se passe Mélina ? Qui sont ses gens qu’est ce qu’ils veulent ?  

- Ils me veulent moi. Et ils ont actuellement mon frère.  

- Ton frère…  

- C’est le tient aussi Kerry. Il s’agit en fait de mon jumeau. Disons que nous étions des triplets.  

- Trois…  

- Exact.  

- Mais en quoi leur es-tu si précieuse ?  

 

Elle s’approcha de Mélina et la toucha et demanda :  

 

- Tu les aides à mettre des gens dangereux en prison… murmura Kerry avant de s’évanouir.  

 

Mélina la retint de peu et dut s’appuyer contre le mur. Le nettoyeur vint la soulager de son fardeau et emmena Kerry dans sa chambre.  

 

- Tu les aides… qu’est ce qu’elle voulait dire…  

- Je suis empathique. Je m’en sers pour comment dire… retrouver leur trace.  

- Comment ?  

- Désolée, je ne vous le dirais pas.  

 

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55


 

 

 

 

 

   Angelus City © 2001/2005

 

Angelus City || City Hunter || City Hunter Media City || Cat's Eye || Family Compo || Komorebi no moto de