Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: chibiusa

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 55 capitoli

Pubblicato: 14-03-05

Ultimo aggiornamento: 09-05-06

 

Commenti: 272 reviews

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GeneralDrame

 

Riassunto: Suite à un coup de massue, l'armoire de la chambre d'ami a volé en éclat. En déblayant Kaori découvre derrière une porte. Ryo lui interdit formélement d'entrer dans la pièce. Pourquoi ?

 

Disclaimer: Les personnages de "Destins Forcés" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo. Kerry et Mélina et Aline m'appartiennent ^^'

 

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   Fanfiction :: Destins forcés

 

Capitolo 30 :: L'immeuble de tous les aveux

Pubblicato: 16-12-05 - Ultimo aggiornamento: 16-12-05

Commenti: Hello tout le monde ^_____^ ! comme promis voilà la maje du vendredi que j'avais promis ^^ ! J'espère que ce chapitre va vous plaire ! merci pour vos reviews et à bientôt ^^ !

 


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Après avoir fait le tour de ses indics, Ryo rentra dans l’appartement, quelques secondes plus tard Kerry descendit les escaliers pour aller à sa rencontre.  

Il s’assit à la table de la salle et réfléchit.  

Il avait fait le tour de ses indics pour deux raisons, tout d’abord essayer d’avoir des tuyaux sur son prochain client que Saeko Nogami devait lui apporter le lendemain mais surtout sur son tireur au cartouche d’encre. Il n’avait encore jamais vu un sniper aussi doué soit-il, donner un avertissement de la sorte. La pratique était peu courante et quelque peu déroutante ! Il se demandait à qui il avait affaire.  

Et puis, il y avait ces deux gamins, étrangement ils lui semblaient familiers, comme s’il les avait déjà croisés… Il s’était renseigné pour trouver l’endroit ou ils habitaient et mettre Hideyuki à leur protection discrètement…  

Mais Ryo n’avait pu obtenir aucune information, et son partenaire l’avait appelé pour lui dire que lui non plus n’avait rien trouvé. Et puis ce billet avec cette phrase ! Qu’est ce que ça pouvait bien vouloir signifier ! Surtout si cette Mélina savait qui il était, comment pouvait-elle affirmer qu’elle paierait sa dette ?  

Pour la première fois de sa vie il était incapable de mettre des noms sur des visages ou de remettre les visages dans les situations dans lesquels il les avait déjà aperçus.  

L’adolescente se rendant compte de l’état de son père, préféra ne pas l’embêter et se dirigea vers la cuisine. Elle espérait que Ryo ne se rendrait pas compte, qu’elle avait fait un effort vestimentaire, même si c’était juste pour l’appartement.  

Cela faisait des mois que Kotori insistait pour lui voir porter une robe, chose que la jeune fille avait gentiment refusé.  

Mais récemment, peut-être parce que les deux ans de son retour à la vie allait sonner le 22 décembre. Elle voulait réussir à faire un pas de plus vers la réadaptation.  

Kerry savait que Ryo et Hideyuki notaient ses progrès et en étaient fiers. Elle alla faire la seule chose qu’elle savait faire, du chocolat chaud…  

Elle prit, le lait dans le frigo, en versa dans une casserole qu’elle réussit à atteindre sur la pointe des pieds.  

Le problème était toujours pour allumer le feu de la gazinière, mais elle y arrivait toujours.  

 

Une fois les deux tasses prêtes, elle en apporta une à son protecteur la mettant sur la table à côté du journal. Le nettoyeur leva un regard vers l’adolescente qui se donnait du mal pour faire abattre la tension qui restait encore dans son corps.  

L’enfant restait pour lui, une véritable source de fraîcheur et lui permettait de sortir du train-train quotidien du travail de nettoyeur.  

 

Elle revint quelques secondes plus tard avec sa propre tasse. Elle adorait son odeur. Le nettoyeur se retrouvait donc avec une tasse de chocolat au lieu de café mais bon, il ne pouvait pas s’en plaindre outre mesure.  

Kerry n’intervenait jamais dans son travail, elle ne lui demandait jamais rien d’ailleurs. Si lui ne lui offrait rien, elle s’en contentait. Sans doute pour éviter d’avoir une « dette ».  

Depuis l’épisode du couteau, ni Hideyuki, ni lui n’avaient plus fait allusion à ceux qui l’avaient élevé. La petite fille non plus, ne disait rien les concernent.  

 

- Papa tu as un souci ? Demanda-t-elle d’une petite voix.  

 

Ryo leva les yeux et la regarda, c’était rare qu’elle parle. Il adorait voir ses joues se colorer quand elle était gênée, comme à présent. Il sourit attendri et lui dit :  

 

- Rien de bien grave, je te rassure.  

- Tu es sûr ? Tu sembles plus inquiet que d’habitude.  

- Comment…  

- L’air est plus chargé, lui répondit-elle dans un sourire.  

 

Ryo ne se ferait probablement jamais à la capacité de sa petite protégée à lire en lui ou à tout ressentir. Il lui demanda par curiosité :  

 

- Est-ce que tu as senti quelqu’un observer l’appartement récemment ?  

 

L’adolescente fit mine de réfléchir et lui dit doucement :  

 

- C’est cette personne là qui t’inquiète ? Elle n’est pas méchante !  

- Tu as senti que quelqu’un observait l’immeuble ?  

- Oui. Mais elle ne voulait pas nous faire du mal.  

 

Ryo allait pour répondre quelque chose, mais s’en abstint, il réfléchit et repassa les jours ou il avait sentit ce regard sur lui. En y réfléchissant, c’était vrai. La personne qui les observait avait peut-être une aura proche de ceux du milieu bien que diffuse, elle n’en était pas pour autant néfaste. Surtout qu’il avait l’impression que ce n’était pas réellement lui que cette aura observait…  

A cet instant, quelque chose fit tilt, il y avait quelque chose qu’il n’avait pas encore vérifié et en tant que nettoyeur c’était pas possible.  

 

Il n’avait pas vérifié l’immeuble d’où le gars les avait surveillés. Il embrassa sa protégée sur la joue et lui dit :  

 

- J’en ai pas pour longtemps.  

- Je peux venir avec toi ? demanda-t-elle d’une toute petite voix.  

 

Il allait refuser, mais il se rappela qu’elle n’était pas sortie depuis longtemps et puis s’il faisait attention, ils n’y verraient que du feu ! et puis il la détailla et lui dit le plus honnêtement possible :  

 

- Et bien ! Tu vas en attirer des garçons dans tes filets !  

 

L’adolescente eut les joues flamboyante et gênée.  

 

- Je vais me changer, murmura-t-elle avant de tourner le dos.  

- Non ! Ma puce ! Ça te va très bien au contraire ! Allez viens, mets ton manteau rouge et on va te mettre un bonnet comme ça tu pourras dissimuler tes cheveux blonds ! Et des lunettes de soleil pour qu’on voit pas tes jolis yeux. Tu auras l’air d’une star.  

 

Kerry le rouge aux joues obéit sans discuter, quand il s’agissait de sa sécurité elle savait que le nettoyeur ne lésinerait jamais. Une fois mis des gants blanc. Sous sa robe, elle avait mis un caleçon long noir, mais le nettoyeur ne fit aucune remarque. Il savait que rien que le fait d’être en robe était pour elle un exploit alors il n’allait pas titiller si pour sortir, elle voulait mettre un pantalon dessous. Il regarda la tenue et lui dit :  

 

- Tu ressembles à une vrai petite demoiselle anglaise. Allez allons-y.  

 

Pour la première fois depuis l’épisode du couteau il lui demanda :  

 

- Dis-moi Kerry, tu es d’ou ?  

 

Elle le dévisagea inquiète, il ajouta rapidement :  

 

- De quel pays ? c’est pas un secret d’état.  

 

Elle sembla réfléchir en baissant la tête puis murmura, un :  

 

- Je sais pas. J’ai pas de souvenir d’avoir connu autre chose que ces gens là.  

 

Kerry avait alors agrippé la main du nettoyeur, comme pour le supplier de la sortir de ses pensées. Il lui dit doucement :  

 

- T’inquiète pas Kerry, jamais plus ils ne mettront la main sur toi.  

 

L’adolescente était sur le point de pleurer, il voyait ses yeux se brouiller il lui fit lever la tête avec sa main droite pour qu’elle le regarde dans les yeux :  

 

- Je te le promets.  

- Merci papa, lui dit-elle dans un sourire.  

 

Elle se jeta dans ses bras pour lui faire un câlin. Le nettoyeur resserra son étreinte pour la rassurer. Ryo commençait à être habitué par ces manies de petites filles, mais il ne s’en lassait jamais.  

Il adorait voir qu’elle avait une totale confiance en lui.  

 

Ryo mit fin à cette tendresse débordante avec une drôle d’impression de manque. Il lui dit :  

 

- Bon Kerry, nous allons prendre la voiture. Toi tu vas passer par l’autre bâtiment d’accord ? Je vais t’y conduire et je viendrais te chercher dans le hall du bâtiment.  

- Oui.  

- Ne t’inquiète pas, je n’en aurais pas pour longtemps.  

- D’accord.  

 

 

Il la conduisit jusqu’à la sortie de l’autre immeuble puis, revint en courant vers sa voiture en courant pour récupérer le plus vite possible sa protégée. Il se gara devant l’immeuble, et alla la chercher, la jeune fille bien dissimulée sous son béret rouge de la même couleur que le manteau qui lui arrivait au niveau des genoux suivit son protecteur jusqu’à la voiture. Ce dernier lui ouvrit la porte. Il fit le tour de la voiture, monta et au bout de deux minutes démarra en direction de l’immeuble qui l’intéressait.  

 

Quand il se gara à quelques mètres de l’immeuble et Ryo fit descendre sa protégée. Quand il était dans la rue avec elle, ce qui était plutôt rare. Il reprenait l’attitude du professionnel cherchant toute source de conflit existant dans les parages.  

 

 

Rassuré par l’absence totale de tension, il la fit descendre. Kerry le suivit pas à pas et même si elle en avait envie, elle ne lui prit pas la main. D’après le Doc, l’adolescente était plutôt menue et petite pour son âge, mais il restait optimiste. La longueur des doigts de la jeune fille lui promettait d’être d’une taille plus que correcte pour le futur. En attendant, elle mettait toujours des vêtements de dix et parfois douze ans.  

 

Il ouvrit la porte de l’immeuble et ils commencèrent à monter les escaliers. Comme il y avait une dizaine d’étages, il arrivait qu’ils s’arrêtent pour que Kerry puisse reprendre son souffle.  

 

* * * * *  

 

Sur le toit du même immeuble, deux silhouettes observaient l’appartement de City Hunter grâce à un télescope pour l’une d’entre elle et l’autre un fusil de longue distance.  

Tout à coup, l’une d’elle se redressa aux aguets. Elle avait entendu du bruit et cela venait des escaliers et surtout ça se rapprochait.  

 

Mélina tira son frère lui dit de prendre la longue vue, et le garçon se glissa par le conduit d’aération qui se trouvait de l’autre côté de l’embouchure de la cage d’escalier. Dans son action sans s’en rendre compte la jeune fille fit tomber un de ses bonbons. Elle poussa son frère sur le conduit, tandis qu’elle alla se placer au-dessus de la borne d’accès au toit, elle s’allongea et se dissimula sous une cagoule au cas ou elle devrait s’enfuire rapidement.  

En effet le conduit d’aération était pas assez profond pour deux, et le plus important à ces yeux au cas ou ce soit ses poursuiveurs était de mettre à l’abri son frère.  

Bien qu’ils soient jumeaux, quand il s’agissait de quelque chose comme la sécurité physique, c’était Mélina qui avait le dernier mot, en revanche pour tous les reste et surtout attenant aux relations avec les autres c’était Gabriel son guide. Elle resta allongée là, en espérant que les deux individus qui venaient d’arriver sur le toit ne la verraient pas. Elle tenait contre elle son fusil mais elle n’avait pas mis de balles dedans. Elle remonta doucement sa jambe et récupéra son arme personnelle. C’était la première fois qu’elle le prenait dans la main dans la perspective de se protéger, cependant son cœur était étrangement calme compte tenu de la situation.  

 

Quand elle reconnut Saeba en compagnie d’une gamine, son cœur fit un raté, et l’espace d’une seconde le nettoyeur crut sentir une présence. Il fronça les sourcils et mettant sa protégée derrière son dos, il sortit son arme.  

 

Mélina n’utiliserait jamais l’arme sur eux. Il faudrait donc qu’elle trouve une diversion.  

 

L’arrivée d’un gros chien de type Saint-Bernard qui se dirigea vers Kerry qui recula contre la barrière, était une bonne diversion. La petite protégée sentit la panique venir en elle. Ryo déconcentré prit la petite fille dans ses bras :  

 

- C’est rien ça va aller.  

- Ok.  

- Tu as eu une mésaventure avec un chien ?  

- Moi non, mais Ley oui.  

- Tu n’as plus peur de dire son nom ?  

 

Kerry dit songeuse :  

 

- J’ai l’impression qu’elle n’est pas loin.  

- Ah bon ? Tu penses ça pourquoi ?  

- Je sais pas.  

 

Un homme vint chercher le chien, mais ce dernier se tourna vers l’endroit ou Mélina se trouvait et commença à aboyer. Cette dernière qui n’aimait pas plus que l’autre gamine les chiens sentait déjà la peur lui tenailler le cœur.  

Heureusement elle avait plus d’un tour dans son sac, alors que le propriétaire avançait. La jeune fille glissa sur le petit toit pour se trouver de l’autre côté, le chien alla vers elle. Elle avait laissé son fusil à longue porté et rangé son arme dans son dos. De toute façon, il y trouverait aucune emprunte. Comme toujours Mélina, dans les cas d’extrême nécessité arrivait à surpasser ses angoisses, aussi elle lança une corde dans le vide, c’était risqué mais, la seule solution pour atteindre la cage d’escalier qui était à découvert…  

 

Elle se laissa glisser le long de la corde en faisant semblant d’ignorer son vertige. Elle savait que c’était risqué, mais d’un autre côté la présence de ce type de l’immeuble empêcherait le nettoyeur de lui tirer dessus. C’est avec efficacité qu’elle disparut sur le long de l’immeuble, Ryo déposa Kerry qui protesta et regarda ou était passé la personne, mais elle avait disparue.  

 

En réalité, Mélina était passé dans la cage d’escalier trois étages en dessous, elle laissa la corde accrochée. Et se glissa dans la ventilation avec une agilité de gymnaste. Elle tira la plaque vers elle, pour se dissimuler. Elle savait que son frère ne sortirait pas si elle ne venait pas le chercher. Elle s’allongea dans le conduit en espérant qu’aucun rat ne se balade dans le coin. Elle attendit.  

 

Le voisin demanda d’un air perplexe :  

 

- C’était quoi ça ?  

- Probablement un cambrioleur déclara Ryo. Mais on a dut le faire fuir, il ne reviendra pas ce soir.  

- Peut-être que je devrais appeler la police, dit-il consciencieux.  

- Aucun de nous l’avons vu, et on ne sait pas qui sait en plus il avait une cagoule.  

- Vous avez raison, je vais juste bien fermer chez moi.  

- Oui bonne idée.  

 

Une fois l’individu et son chien hors de vue, Ryo prit une cigarette et se mit à fumer. Kerry le regarda et lui demanda :  

 

- Tu es inquiet Papa ?  

- Ce type qui qu’il soit, est doué, je n’ai pas sentit sa présence à aucun moment. Si ce chien ne lui avait pas aboyé après…  

- Avec des « si » on refait le monde, c’est tonton qui me l’a dit.  

- Tu as raison.  

 

Ryo jeta loin sa cigarette et lui dit :  

 

- Attends-moi ici je vais voir ce qu’il nous a laissé là-haut.  

 

Ryo prit sa lampe torche et éclaira la scène. Il resta perplexe face à un truc trouvé par terre.  

 

Il le prit et le mit dans la poche de sa veste. Il monta ensuite sur le toit de la cage d’escalier et fit une découverte étonnante : un fusil à longue portée avec visée infrarouge pour pouvoir voir dans la nuit les déplacement, et un silencieux.  

 

C’était la même arme que Kerry avait déterminé. Comme sur le lieu du tir, il avait trouvé une douille, il allait pouvoir faire une vérification grâce aux stries. Il demanderait à Hideyuki de s’en occuper. Il redescendit, s’attarda quelques instant devant la bouche d’aération mais continua sa route.  

 

Dedans la bouche, Gabriel n’osait même plus respirer. Visiblement, le chien avait débusqué sa jumelle et elle avait dut prendre une tangente, il savait qu’il ne devait pas bouger, que sa sœur avait pensé avant tout à sa sécurité et donc que les chances d’être trouvé étaient très minces. Mais il n’osait même pas se demander comment elle leur avait fossé compagnie, la seule chose dont il pouvait être sûr c’était le fait qu’elle revienne coûte que coûte le chercher. Il ne devait surtout pas bouger, surtout avec ces cinglés qui veulent l’enlever pour faire pression sur sa sœur.  

 

Ryo détacha avec un peu de difficulté la corde et l’enroula, Kerry lui demanda :  

 

- Pourquoi tu fais ça ?  

- Comme ça, on est sur. Qu’il ne refera son petit truc qu’une seule fois. Allez ma puce, on y va. On rentre à la maison, on commandera un plat.  

- D’accord !  

 

Ryo et Kerry descendirent les escaliers, arrivés sur le palier ou Mélina s’était installé dans le conduit, il s’immobilisa et observa, mais rien.  

 

Ils reprirent la voiture et retournèrent à l’appartement.  

 

Pendant ce temps-là, Mélina s’extirpa de sa cachette et monta chercher son frère. Elle lui demanda comme il allait, il la rassura. Elle voulut récupérer son fusil mais il avait été récupéré. Elle fit une grimace mais ne fut pas plus que ça tourmentée.  

 

Un peu plus tard, alors que Ryo et Kerry mangeaient une pizza quatre fromages et une royale. Mélina et Gabriel étaient installés à une table de restaurant, au deuxième étage qui était fermé au reste du public.  

Ce n’était pas par caprice, c’était juste pour éviter que des gens armés ne débarquent et s’en prennent à son frère. De plus, ça éviterait qu’on les reconnaisse…  

 

 


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