Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prose

 

Auteur: thalia

Status: Complète

Série: City Hunter

 

Total: 49 chapitres

Publiée: 12-01-09

Mise à jour: 07-06-21

 

Commentaires: 110 reviews

» Ecrire une review

 

ActionRomance

 

Résumé: Bon me revoilà après une très longue absence sur le site et aussi en écriture alors ne soyez pas trop méchants :) Je me lance sur une fic alternative sur ce que j'aurais voulu qu'il se passe à la fin de la série. Différente de ma 1ère : "Et si on arrêtait le temps" (un peu de pub pour ceux qui ne l'ont pas lu:) je vais essayer de faire dans l'action. Bonne lecture et dites moi ce que vous en pensez :)

 

Disclaimer: Les personnages de "Le retour de City Hunter" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Astuces & Conseils

Pourquoi ne puis-je pas accéder aux fanfictions NC-17?

 

Les fanfictions classées NC-17 comportent des scènes st ...

Pour en lire plus ...

 

 

   Fanfiction :: Le retour de City Hunter

 

Chapitre 27 :: Sous nos yeux

Publiée: 02-01-21 - Mise à jour: 02-01-21

Commentaires: La suite :) Merci Angel pour ta review ;)

 


Chapitre: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48


 

Quoi qu’elle ait pu en penser, cette situation était folle. Voilà qu’elle était en train d’arpenter les rues de Shinjuku, peu vêtue et de mœurs légères. Quiconque l’aurait croisé, ne l’aurait pas reconnue. Il faut dire que Miki n’y était pas allée de main morte et que même elle n’aurait pas osée. Maquillage outrancier, jupe plus que courte et perruque rousse très longue. Pourquoi avait-elle accepté déjà ? Ah oui, Miki était enceinte jusqu’aux yeux, Kazue était indispensable à la clinique et Kasumi avait disparu. Faire faire ce travail à une des policière sous ses ordres aurait pu être envisageable mais finalement ça lui donnait aussi une bonne raison de ne pas le confronter.  

Ainsi, voilà comment la grande commissaire Nogami, jouait les putes…pardon les prostituées dans le quartier pour comprendre comment la poussière d’ange était répandue sous leurs yeux sans qu’ils n’aient pu s’en douter.  

Cela faisait maintenant plus d’une heure qu’elle marchait et qu’elle avait envoyé balader plus d’un client potentiel mais rien aux alentours ressemblant de près ou de loin à un dealer ou un mercenaire. Il y avait bien quelques yakuzas qui trainaient par là mais plus pour de la surveillance que du trafic. Elle commençait à désespérer et à avoir froid.  

S’appuyant contre le mur d’une plus petite ruelle, Saeko ferma les yeux un instant, repensant à la demande en mariage de Kentaro. Elle ne s’y était tellement pas attendue, qu’elle avait fuis l’appartement juste après s’être habillée à la va vite. Depuis, elle ne répondait même plus à ses appels, ne sachant que lui dire. En fait, elle était morte de peur mais n’osait pas se l’avouer. Il avait fini par lui envoyer un message en lui disant qu’il saurait l’attendre et que quand elle serait prête, il serait là. Elle avait été tellement touchée qu’elle avait failli craquer et l’appeler mais c’est le coup de fil de Kazue qui l’avait préoccupé prioritairement.  

Maintenant, elle était dans ces rues sombres à attendre que du PCP tombe du ciel.  

Elle lissa sa jupe puis, elle repartit dans le sens inverse, espérant que la chance aller lui sourire avant de mourir congelée.  

 

Cet fin de journée était plus calme, à croire que les forces en face avaient, en effet, choisit une autre stratégie, plus insidieuse et surement plus meurtrière à long terme. Des batailles entre yakuzas étaient toujours présentes et des règlements de comptes aussi mais moins fortes et moins nombreuses.  

D’ailleurs Erika en avait fait les frais et tous attendaient de ses nouvelles avec impatience. La travesti avait eu de la chance dans son malheur en se protégeant dans la baignoire et s’était sortie vivante de l’explosion de son cabaret mais elle était dans le coma à l’hôpital depuis et ne semblait pas vouloir se réveiller malgré des constantes encourageantes.  

Kazue faisait le lien avec tout le groupe en appelant l’hôpital tous les jours.  

 

La policière allait abandonner quand elle aperçut l’une des filles être abordée par un homme au style coréen. Regardant ce qui se jouer devant ses yeux, Saeko comprit le manège.  

Ils s’en prenaient à des filles déjà camées ou surement consommatrices et leurs donnaient un petit échantillon pour les appâter. Une fois accro, ils devaient revenir les fournir plus largement. Elle comprit alors pourquoi personne ne s’était intéressé à elle. Un nouveau visage et une allure trop saine, ils n’allaient pas venir la voir de suite. Mais cette infiltration lui avait permis de voir un des hommes qui distribuait et de comprendre comment ils faisaient. Elle décida de quitter les lieux et de se rendre à la clinique en espérant que la fille d’Ayako soit enfin réveillée.  

 

 

 

 

Ne pas connaitre la ville ou le quartier n’était pas vraiment un handicap pour lui. Trouver des informations ou les bonnes personnes pour les obtenir, ça faisait partie de son métier depuis toujours. Etre mercenaire coulait dans ses veines et se confronter à des conflits aussi.  

Alors qu’il attendait sur le port, ses yeux furent attirés par des mouvements qu’il jugea suspects. Un cargo d’origine coréenne accosta et il remarqua le peu de contrôle effectué. Encore de la contrebande, se dit-il en allumant une cigarette. Mais le fait qu’il vienne de Corée, fut pour lui une étrange coïncidence et il préféra continuer son observation lointaine.  

Miki lui avait expliqué pourquoi les coréens voulaient prendre le pouvoir au Japon et surtout le symbole que représentait Shinjuku. Cela l’avait rire de voir que la réputation d’un seul homme pouvait entrainer autant de négatif pour une seule ville ou un seul pays. Bien entendu avant d’avoir répondu favorablement à sa belle-sœur, il s’était renseigné de son côté sur la vie de son frère et il avait fait le lien avec le fameux City Hunter. Même si lui ne vivait pas à Tôkyô, le tueur n°1 du Japon, ne lui était pas inconnu. La réputation de Ryô n’était plus à faire même si la rumeur actuelle le disait finit car trop vieux. En arrivant ici, il avait eu toute l’histoire et la rumeur était bien loin de la réalité. Kenshiro espéra alors avoir la chance de le rencontrer en personne une fois cette histoire finie.  

 

Plusieurs hommes déchargeaient des caisses en bois du cargo. Le mercenaire prit quelques photos et sorti son téléphone portable pour passer un appel. Quelques minutes plus tard, il vit plusieurs hommes s’infiltrer à bord du navire et il attendit.  

A la tombée de la nuit, il était entouré de quatre hommes et une femme.  

 

-Alors ?  

-Pour de la contrebande, tu repasseras, dit la femme en attrapant sa cigarette pour finir de la fumer.  

-On est plus sur un beau trafic de drogue et pas qu’un peu, enchaina un des hommes qui fixait son téléphone portable. J’ai mis quelques micros et émetteurs, au cas où.  

-Tu as bien fait, lui répondit Kenshiro. On doit être pile au bon endroit du trafic entre la milice sud-américaine et le clan coréen. Pas très malins ces mafieux, en tout cas.  

-Non, on a un niveau au-dessus et en plus, ils ne doivent pas d’attendre à avoir de la résistance en face quand on voit que les forces de l’ordre ne se sont même pas déplacées. Ils ont graissé quelques pattes, à mon avis, assez bien placées.  

 

Le petit groupe partit du port et se dirigea vers la clinique où Kenshiro leur expliqua ce qu’il y avait à savoir. Le mercenaire se trouva nez à nez avec la commissaire qui le regarda avec de grands yeux ronds.  

 

-On se connait ? lui demanda-t-elle sur la réserve.  

-Je ne pense pas avoir eu cet honneur, répondit-il, la dévorant du regard.  

 

Saeko n’avait pas pris le temps de se changer et elle se trouva stupide dans sa tenue de fille de joie.  

 

-Commissaire Nogami, lui dit-elle de façon autoritaire.  

-Kenshiro Ijuin.  

-Ijuin ? Vous êtes…  

-Le frère d’Hayato.  

 

Saeko resta stupéfaite un instant puis regarda les autres membres du groupe. Des mercenaires au vu de leur allure. Ainsi, Falcon avait demandé un coup de main à son frère pour les aider pendant son absence.  

 

-Saeko ! Je vois que je n’ai pas à faire les présentations…  

 

La voix de Miki la sortie de ses réflexions.  

 

-Miki…Oui, ton beau-frère s’est présenté. Je ne savais pas qu’Umi avait de la famille…  

-Longue histoire mais j’ai demandé à Kenshiro un coup de main. D’ailleurs, tu n’es plus tout seul ?  

 

Kenshiro se contenta de hocher la tête puis il raconta ses découvertes au port. La policière buvait littéralement ses paroles et elle expliqua à son tour ce qu’elle avait vu.  

 

-Je comprends mieux la tenue, se moqua le mercenaire tout en laissant couler son regard sur elle.  

-L’ainé n’a rien avoir avec le cadet on dirait, lança Saeko à Miki.  

-Rien, en effet…  

-Je suis venue voir la fille d’Ayako, s’est-elle réveillée ? changea de sujet la commissaire tout en prenant le chemin du bâtiment central.  

-Il y a une heure, lui répondit l’ancienne mercenaire qui lui emboita le pas avant de se retourner vers le groupe.  

-La suite ?  

 

Kenshiro se contenta d’un sourire et ce fut la seule femme du groupe qui lui répondit.  

 

-On gère.  

 

 

 

 

Kasumi avait enfilé sa tenue moulante et elle se tenait dans un angle sombre sans se faire remarquer. Apres être allé trouver sa grand-mère, elle avait décidé de se rapprocher du casino clandestin des Bonged car plusieurs voleurs lui avait dit avoir vu des mouvements différents dans le quartier.  

A présent, elle prenait le plus d’informations possibles et elle regardait les allées et venues dans le casino.  

Sa grand-mère lui avait expliqué que les coréens avaient des habitudes différentes des japonais et elle ne se focalisait que sur ce qui était vraiment inhabituel.  

Déjà, elle avait repéré d’où sortait l’argent blanchit et par où arrivaient les mafieux. Avec le look si différent des yakuzas bien de chez elle, elle arriva à identifier les coréens sans souci, pouvant ainsi aussi voir quel clan japonais s’était laisser acheter. En l’espace de trois heures, elle avait réussi à cumuler tellement d’informations, qu’elle était obligeait de se les rappeler dans sa tête pour ne pas en oublier en route.  

Hésitante, elle décida de sortir de sa planque pour rentrer dans le casino en lui-même et voir ce qui s’y passait à l’intérieur.  

Le risque était grand et même si elle avait dit où elle allait, elle était seule au milieu de leurs ennemis. Heureusement pour elle, elle était très douée comme voleuse et elle ne se faisait jamais repérer quand elle usait de son talent. Par conséquent, elle était assez sure d’elle et de ses chances de passer inaperçue.  

 

Le bâtiment était grand et mal agencé. Au rez-de-chaussée, la salle principale comprenait l’entrée et la salle de jeu. Au premier étage se trouvait la salle des coffres et la salle de vidéo surveillance. Le troisième, lui, était plus nébuleux et bien sûr c’était là que la jeune femme avait décidé d’aller.  

Dans le couloir à peine éclairé, elle nota mentalement la présence de seulement trois portes et d’un escalier de secours en plus de l’ascenseur. Peu de lieu où se cacher et surtout des caméras de vidéosurveillance à chaque angle. Kasumi soupira. Ne pas se faire remarquer relevait de l’exploit. Elle allait abandonner quand elle vit la porte de l’ascenseur s’ouvrir sur un chariot de ménage et une femme de sa corpulence.  

 

-Bingo.  

 

Elle l’observa quelques minutes et vit qu’elle rentrait dans la première pièce à gauche de sa planque. Ni une ni deux, la voleuse s’y engouffra avant la fermeture et elle assomma la pauvre femme pour lui prendre ses affaires.  

La pièce où elles se trouvaient, était le lieu de stockage de la femme de ménage et la voleuse se demanda si elle avait l’habitude de faire le ménage dans les autres pièces ou si elle ne venait ici que pour ranger le chariot. Pourtant elle prit quand même sur elle et elle ressortit du lieu avec le chariot pour s’engager vers les autres portes et voir ce qu’elles cachaient.  

Ce ne fut que quand elle essaya de tourner la première poignée qu’elle comprit qu’elle était dans l’erreur. Mais la voix qui l’interpela, l’empêcha de retourner se cacher.  

 

-Que faites-vous ici ?  

-Et merde !  

 

 

 

 

 

-Si je comprends bien, vous étiez avec une amie quand un homme vous a accosté pour vous vendre de la drogue ?  

 

La voix de Saeko montrait de l’agacement. Elle avait l’impression que la jeune fille en face d’elle ne lui disait pas la vérité. Mais Ayako, qui avait insisté pour rester pendant la déposition de sa fille, avait tendance à répondre à sa place.  

 

-Pourquoi doutes-tu des dires de ma fille, Saeko ? Si elle te dit que ça s’est passé comme cela c’est que ça s’est passé comme ça !  

-Je ne doute pas mais j’ai besoin de savoir comment la drogue circule en ville et je n’ai pas été témoin de cela. Bon, ok, il vous a proposé de la drogue mais après pourquoi vous tirer dessus ? A quoi ressemblait-il ?  

-Je suis fatiguée Okasan…bailla Aïko.  

-Saeko, nous reprendrons plus tard.  

 

La commissaire partit de la chambre en acquiesçant mais avec une barre de contrariété sur le front. Quelque chose ne collait pas avec le récit de cette gamine et elle se demandait pourquoi mentir alors qu’elle avait failli mourir.  

 

Arrivant dans le couloir, elle trouva Kenshiro appuyé près de la porte.  

 

-Alors ?  

-Rien de concret.  

-On a une piste grâce aux micros posés sur le cargo. On va l’exploiter avant de vous en faire part mais creusez plus sur les coréens que sur les américains à mon avis. Ils ont fournis la drogue mais ils ne sont plus ici.  

 

Saeko le remercia et repartit de la clinique, fatiguée et contrariée. Une fois dans sa voiture, elle hésita puis composa le numéro de sa sœur.  

 

-Reika ? J’ai besoin d’un coup de main.  

-Je t’écoute.  

-Ton mari peut jouer avec ses relations ? J’ai besoin d’infos sur le clan Bonged et rapidement.  

-Ok, je vois avec lui…Saeko, des nouvelles de Ryô ?  

-Non…  

-Ok, je vais aussi voir s’il peut se renseigner de ce côté-là.  

-Merci.  

-Saeko, j’ai eu papa, il est inquiet pour toi.  

-Reika…  

-Non, grande Sœur, je ne vais pas me taire, je comprends que la situation est difficile mais même loin de toi, je suis là pour t’aider…  

-Merci, je te promets de t’appeler pour en parler, je te laisse, je dois encore bosser ce soir.  

 

La policière prit quelques minutes après l’appel et fixa son téléphone, indécise.  

Elle fit défiler les contacts et s’arrêta sur le prénom de Kentaro. Pensive, elle hésitait. Finalement, elle jeta l’appareil sur le siège passager et elle démarra en trombe sa voiture.  

 

 

 

 

Kazue rentra dans la chambre de sa patiente et la trouva en grande conversation téléphonique. Ne voulant pas la déranger, elle fit demi-tour avant de laisser entrecroiser la porte après avoir entendu Aïko dire à son interlocuteur, qu’elle n’avait rien raconté à la police. Ce qui l’interpela.  

La jeune fille parlait doucement en expliquant qu’elle comprenait la situation et qu’elle ne lui en voulait pas. Qu’elle savait que le coup de feu était parti sans intention de lui faire du mal car il l’aimait et qu’il ne pouvait pas la blesser intentionnellement.  

Kazue referma la porte et partit dans son bureau pour appeler Saeko. Devait-elle aussi informer Ayako pour sa fille ? Elle ne savait plus. Mais, il était évident que la jeune fille lui cachait des choses importantes et qu’elle devait en être informée.  

La doctoresse raccrocha après avoir laissé un message à la commissaire puis elle appela la chef de clan.  

 

-Je suis en route, j’arrive à la clinique !  

 

La voix d’Ayako était contrariée, Kazue soupira. En plus de toute cette histoire, rajouter des problèmes de famille, n’allait pas leur simplifier la vie.  

S’asseyant quelques minutes à son bureau, elle posa sa main sur son ventre et le caressa doucement. Ces derniers jours étaient passés tellement vite, qu’elle n’avait pas pensé une seule fois à elle et au bébé. Mick lui manquait énormément et elle dû prendre sur elle pour ne pas se mettre à pleurer. Elle avait l’impression qu’ils étaient revenus d’Afrique depuis un siècle et surtout que son mari était parti en Amérique du Sud depuis aussi longtemps. Elle se sentait vidée de ses forces et elle n’avait qu’une envie, se glisser dans sa couette et dormir jusqu’à la fin de cette histoire.  

Passant la main dans ses cheveux, elle ferma les yeux un instant et se rappela de leur dernier jour en Afrique.  

 

La chaleur était étouffante mais ce n’est pas ce qui éprouvait le plus la doctoresse. Face à elle toute l’équipe bénévole de soignants la saluait et de nombreux enfants en pleurs se tenaient à ses jambes. Elle leur avait annoncé leur départ seulement une semaine auparavant et ils avaient improvisé cette fête de départ. Maintenant, face à tous ces visages, la japonaise hésitait. Partir pour continuer sa vie et construire autre chose, était exaltant mais aussi angoissant. Et revenir à Tôkyô la ravissait autant qu’elle appréhendait de revenir sur les traces de son ancienne vie. De vieux souvenirs étaient réapparus plus forts cette dernière semaine et elle se demandait comment elle allait affronter ces flashs en direct.  

Alors que les larmes débordaient de ses yeux, elle sentit une main protectrice sur son épaule et elle se tourna vers son époux qui lui souriait. Il paraissait si serein qu’il l’apaisa instantanément.  

 

-Merci, lui murmura-t-elle en se lovant contre lui.  

 

L’américain l’embrassa sur le haut de la tête et il l’enlaça tendrement.  

 

 

Kazue essuya la seule larme qui coula sur sa joue et elle sourit à ce souvenir. Même loin, Mick avait le don de l’apaiser. Sa main resta encore quelques instants sur son ventre et elle respira fortement avant de se relever et de quitter son bureau en entendant des pas appuyés dans le couloir. 

 


Chapitre: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48


 

 

 

 

 

   Angelus City © 2001/2005

 

Angelus City || City Hunter || City Hunter Media City || Cat's Eye || Family Compo || Komorebi no moto de