Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prose

 

Author: Mercury80

Status: Completed

Series: City Hunter

 

Total: 49 chapters

Published: 02-10-20

Last update: 22-11-20

 

Comments: 32 reviews

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DrameRomance

 

Summary: "Un seul être vous manque et tout est dépeuplé..." Un an après la disparition de la lumière de sa vie, comment Ryo, et la bande, a-t-il repris le cours de sa vie ?

 

Disclaimer: Les personnages de "Message in a bottle" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Message in a bottle

 

Chapter 16 :: Chapitre 16

Published: 17-10-20 - Last update: 17-10-20

Comments: Bonjour, voici la suite de l'histoire. Bonne lecture et merci pour vos commentaires^^

 


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Chapitre 16  

 

Un léger gémissement annonça à Ryo le réveil de sa protégée. Il tourna la tête brièvement et la vit ouvrir les yeux, regardant d’un œil hagard les alentours.  

 

- Nous sommes en route pour le Cat’s., lui apprit-il, sans parler trop fort.  

 

Au froncement de sourcils et aux doigts qui se portèrent à ses tempes, il se douta que le mal de crâne était non loin, certainement accompagné d’un bourdonnement désagréable dans les oreilles.  

 

- On ne rentre pas à la maison ?, murmura Sam, reprenant doucement ses esprits.  

- Pas tout de suite. On doit tenter de nouveau l’hypnose et Layla est au café., lui expliqua-t-il.  

- D’accord. Je suppose que Mick l’a déposée là-bas pour la protéger., suggéra-t-elle.  

- Oui avec sa femme et son fils. Le café est un endroit très sûr., lui affirma-t-il.  

- Ryo, l’hypnose ne donnera certainement pas plus de résultats que la dernière fois., pipa-t-elle, baissant les yeux.  

- Je pense que si. Fais-moi confiance., lui dit-il.  

 

Elle ne dit rien et se plongea dans la contemplation des lumières de la ville jusqu’à ce qu’il se gare devant le café. Ils descendirent tous deux de voiture mais, juste avant d’entrer dans le café, Sam l’arrêta.  

 

- Tu dois te demander si je t’ai menti., commença-t-elle.  

- A quel sujet ?, l’interrogea-t-il.  

- Sur le fait que je parle ou non japonais. Après ce que Tanaka a dit, qu’Hajime lui a affirmé que je parlais la langue., explicita-t-elle.  

- Je ne parlais pas un mot de japonais avant d’arriver ici, à part les quelques mots usuels qui se promènent et qui me font autant parler russe que japonais. J’ai appris avec toi les quelques phrases que je sais dire., lui affirma-t-elle, anxieuse.  

 

Il leva la main et caressa sa joue doucement, un sourire rassurant aux lèvres.  

 

- Je sais. Je n’en doute pas. J’ai demandé à Saeko de retrouver Hajime pour qu’il nous explique ce qu’il a dit à Tanaka et surtout pourquoi., lui expliqua-t-il.  

- Ne t’inquiète pas de la confiance que je te porte.  

- Merci., souffla-t-elle.  

 

Il lui ouvrit la porte et la laissa passer devant lui. Kazue et Miki étaient assises au comptoir, discutant tranquillement autour d’une tasse de café. La lumière était éteinte dans le café sauf au dessus du bar, donnant une ambiance assez intimiste aux lieux. Du regard, l’américaine scruta les lieux et entendit le léger soupir émanant des banquettes au fond de la salle, s’y dirigeant. Elle trouva Layla profondément endormie, une couverture posée sur elle, des chaises positionnées pour l’empêcher de tomber.  

 

- Vous venez récupérer la petite ?, demanda Miki, se levant de son tabouret.  

- Plus tard. J’aurais à nouveau besoin de tes services. Je voudrais qu’on retente l’hypnose sur Sam., l’informa le nettoyeur.  

- Tu penses que ça marchera ? La dernière fois, elle n’a pas su lâcher prise., lui rappela-t-elle.  

- Il faut qu’on réessaie mais en ajustant les paramètres., expliqua-t-il.  

- Comment ?  

- Un plan à trois ?, lâcha Ryo, tout sourire.  

- Tu n’es quand même pas en train de me proposer…, s’énerva la barmaid, alors que Kazue dégainait une énorme massue.  

- Toi, moi et Sam…, confirma-t-il, se faisant écrabouiller sans sommation.  

- Ryo !, s’inquiéta l’américaine en les voyant faire.  

 

Elle accourut, souleva l’engin massif sans effort et aida son garde du corps à se relever sous le regard médusé des deux autres femmes.  

 

- Tu sais soulever un poids pareil ?, s’étonna-t-il.  

- Ce n’est pas de la gelée que j’ai dans les bras., s’offusqua-t-elle.  

- Je ne soulève pas des haltères en mousse, idiot !., lui asséna-t-elle, furieuse.  

- Ne te vexe pas. Après tout, on en connaît quelques-unes ici capables de soulever de tels poids., fit Ryo, regardant ses deux amies.  

- Oui, c’est vrai mais on n’a pas égalé la championne., pipa Miki, un bref éclair de tristesse passant dans ses yeux.  

 

Sam vit le même éclair chez Kazue et Ryo et en déduisit qu’elle avait évoqué la disparue.  

 

- Si on tentait cette séance d’hypnose ? J’avoue que je suis fatiguée, je voudrais bien aller me coucher., lâcha l’américaine pour changer le cours des pensées.  

- Oui, allons-y., acquiesça Ryo.  

 

Miki les emmena dans la pièce derrière le café et Ryo s’installa nonchalamment sur le divan, invitant sa cliente entre ses jambes. Sam hésita, gênée, prête à partir.  

 

- Tu as besoin d’un endroit où tu te sentes en sécurité. Tu n’as pas ses souvenirs alors je vais rester près de toi. Tu n’auras nul part où te réfugier car tu seras tout le temps dans ton refuge entre mes bras., lui expliqua-t-il.  

- Comment peux-tu être sûr que ça va marcher, que tu as cet effet-là sur moi ?, lui demanda-t-elle, anxieuse.  

 

Elle ne voulait pas se trouver trop proche de lui de peur de ne plus savoir se passer des sensations qui ne manqueraient pas de naître. Il faudrait vivre sans après et elle vivait déjà sans beaucoup de choses.  

 

- Je n’en suis pas sûr., affirma-t-il, se refusant à évoquer les moments nocturnes passés à la veiller.  

- Mais je pense que la confiance que l’on a l’un en l’autre peut suffire., ajouta-t-il.  

- Je ne sais pas si c’est une bonne idée., pipa-t-elle.  

- Si tu veux en finir avec le danger, il faut que l’on sache ce que tu as entendu., lui opposa-t-il.  

 

Elle n’osa lui dire qu’elle avait l’impression de troquer un danger pour un autre et se contenta d’acquiescer. Elle se plaça donc entre ses jambes et se laissa attirer contre lui à moitié allongée entre ses bras, sentant sa chaleur se répandre dans son dos pendant qu’une de ses mains se posait sur son ventre et l’autre lui caressait le cheveux.  

 

- On.. On est obligés d’être comme cela ?, bredouilla-t-elle, tendue.  

- Ferme les yeux et respire. Fais abstraction de tout., lui murmura-t-il à l’oreille.  

 

C’était intime comme position, très intime même et il avait du mal à contrôler toutes les sensations qui voyageaient dans son corps. Il allait peut-être plus loin que nécessaire mais il voulait qu’elle le sente autour d’elle quand elle serait en état de semi-conscience. La sentant tendue contre lui, il laissa son pouce aller et venir sur son abdomen doucement, sans un mot.  

 

Comme si elle respectait l’intimité du moment, Miki s’était retournée et allumait des bougies. Elle avait compris l’idée de Ryo de créer une sorte de bulle douce et protectrice, voire intime pour la faire se sentir en sécurité. Quand elle se retourna et vit Sam allongée les yeux fermés dans les bras de son ami, sa bouche collée contre son oreille lui parlant à voix basse tout en caressant ses cheveux, sa main en travers de son corps, la barmaid eut un mouvement de surprise et vit un instant les traits de son amie disparue se calquer sur ceux de l’américaine. Elle n’avait jamais pu imaginer Ryo avec une autre que Kaori, jamais jusqu’à maintenant où l’évidence semblait s’imposer. Si Sam se détendait visiblement, s’abandonnait doucement entre ses bras, Ryo semblait serein, apaisé… Elle aurait presque dit à sa place si, alors qu’il relevait le visage vers elle, elle n’avait vu le flash de culpabilité traverser ses yeux gris nuit.  

 

- On peut commencer, je pense., l’informa-t-il à voix basse, sortant Sam de sa léthargie.  

 

Leurs regards se croisèrent, la jeune femme encore en proie au doute, puis elle acquiesça, lui confiant le rôle de gardien de ses rêves éveillés.  

 

- Bien. Sam, tu vas te concentrer sur le soir où tu as entendu la conversation du clan du Lotus noir. Rappelle-toi que tu ne crains rien. Quand tu te sens en danger, reviens dans ta bulle de sécurité. Tu la visualises ? Tu la sens t’entourer et te protéger ?, lui demanda Miki, modulant sa voix.  

- Oui., souffla la jeune femme, fermant les yeux.  

- Alors revenons en arrière doucement. Tu es arrivée à ce soir-là ?, l’interrogea-t-elle.  

- Oui.  

- Reviens un peu avant. Que fais-tu ?  

 

Sam se projeta au soir en question avant la rencontre avec Nobuto Tanaka. Elle se retrouva dans la cuisine préparant le dessert.  

 

- Le sucre est salé., lâcha-t-elle, faisant froncer les sourcils des deux autres personnes présentes.  

- Explique-moi., l’incita Miki.  

- J’ai renversé du sucre sur le plan de travail par mégarde. J’adore le sucre, sentir les grains glisser sur ma langue puis fondre et laisser cette saveur douce envahir ma bouche. J’ai pris quelques grains du bout du doigt et les ai sucés mais ce n’est pas du sucre, c’est du sel., expliqua-t-elle, mimant les gestes.  

 

La barmaid observa avec un sourire amusé son ami fixer le doigt coincé entre les lèvres de la blonde entre ses bras et déglutir tout en détournant le regard. Ryo dut faire un effort pour recentrer ses idées sur des choses moins tendancieuses. Il devait garder l’ambiance intime sans devenir érotique, ce qui risquerait de la paniquer.  

 

- C’est le quatrième incident de la journée mais pas de la semaine et je commence à m’inquiéter., avoua Sam, les sourcils froncés.  

- Je crois que quelqu’un veut saboter mon travail et je vais devoir me montrer prudente. J’ai un peu peur aussi pour Layla. J’ai retrouvé un couteau dans son parc tout à l’heure et je préfère penser que c’est une imprudence plutôt qu’une manœuvre volontaire. Le contraire me terrifie. On ne s’attaque pas à une enfant sans défense. On ne peut pas lui faire du mal à elle. Elle a déjà trop souffert. Elle a trop perdu., commença-t-elle à gémir en s’agitant.  

- Sam, la bulle, retourne dans ta bulle., lui ordonna Miki alors que Ryo la serrait dans ses bras en lui murmurant qu’elle était en sécurité.  

 

Il lui fallut deux minutes pour se calmer et retrouver une respiration lente mais régulière comme si elle dormait. Ryo et Miki se consultèrent et il lui donna le feu vert pour continuer.  

 

- Layla dort et est en sécurité, Sam. On va avancer un peu. Tu te rends dans la salle du restaurant. Pourquoi ?, lui demanda la barmaid.  

- Hajime m’a dit que le client de la table onze voulait me parler. Je lui ai demandé de venir avec moi mais il ne veut pas. Il veut que je sois seule à recevoir ses compliments. Il m’assure que l’un des hommes traduira si nécessaire. Alors j’y vais., expliqua-t-elle.  

- Que vois-tu ?, l’interrogea-t-elle.  

 

Un léger sourire fendit le visage de l’américaine.  

 

- Un ballon rouge comme celui que Layla a perdu quelques jours auparavant…, murmura-t-elle.  

- Ca te fait penser à quelque chose ?, approfondit Miki, sérieuse.  

- A l’homme qui nous a sauvé la vie en nous évitant d’être écrasées., expliqua-t-elle.  

- Que représente-t-il ?, l’interrogea la barmaid, plus par curiosité que par besoin.  

 

Miki ignora le regard désapprobateur de son ami.  

 

- Je ne sais pas mais, pendant quelques minutes, je me suis sentie… bien, comme si une sensation familière remontait à la surface. Arigato Ryo. Saionara., murmura-t-elle, ses sourcils se fronçant.  

- Je suis là., murmura-t-il à son oreille, l’apaisant.  

- Tu me manques., soupira-t-elle, les yeux fermés, en japonais.  

- Je suis là., répéta-t-il.  

 

Il ne vit pas le regard surpris de Miki face aux quelques mots japonais que Sam venait de prononcer.  

 

- Je… tu es dans la salle, tu as vu ce ballon rouge. Que se passe-t-il après ?, se reprit-elle.  

- Un des serveurs me parle mais en japonais. Je ne comprends rien et j’avance vers la table onze aussi discrètement que me l’a appris Hajime. En attendant qu’ils aient fini leur conversation, j’attends à un mètre derrière le chef de table. J’ai l’impression que ça dure une vie et le ton qu’ils emploient me met mal à l’aise., avoua-t-elle, s’agitant.  

- Tu es en sécurité., lui rappela Ryo, doucement.  

- Tu entends les paroles ?, l’interrogea Miki.  

- Je les entends mais ne les comprends pas. Je suis à deux doigts de partir quand il se retourne enfin et il n’a pas l’air content de me voir. A voir le regard furieux qu’il adresse à ses collaborateurs, il n’est pas content d’eux non plus d’ailleurs., pipa l’américaine.  

- Sam, tu vas revenir un peu en arrière, au moment où tu t’es arrêtée près de la table. Tu entends la conversation ?, lui demanda la barmaid.  

- Oui., souffla-t-elle, se tendant.  

 

Miki fit une courte pause. C’était quitte ou double. La séance pouvait s’achever là avant les révélations avec le risque de devoir sortir Sam en urgence de l’hypnose ou elle pouvait aller au bout, retranscrire la conversation et la faire ressortir en douceur. C’était le moment le plus risqué.  

 

- Rappelle-toi, tu es en sécurité. Prends ton temps. Oublie la tension, les sensations. Quand tu seras prête, dis-nous juste ce que tu entends sans réfléchir., lui indiqua Miki.  

 

Ils durent attendre un moment avant que Sam commence à réciter des paroles en japonais. Elle les murmurait, butait sur les mots, se reprenait. Par moments, elle s’emportait et Ryo la calmait par des gestes ou des mots. Ca lui prit plus d’une demi-heure pour boucler l’exercice et, quand elle eut enfin fini, Sam parut épuisée.  

 

- Ils me suivent., fit-elle soudain.  

- Je ne sais pas pourquoi mais je suis suivie. Je rentre dans l’ascenseur. Layla dort contre moi et j’appuie sur le bouton pour refermer les portes plus vite. J’entends des pas arriver en courant et deux mains tentent de rouvrir les portes. Je serre Layla contre moi, c’est tout ce que je peux faire pour la protéger. J’ai peur., dit-elle d’une voix tremblante.  

- C’est fini, Sam. Tu es en sécurité., lui rappela Ryo, la serrant un peu plus contre lui.  

- Calme-toi. Tout va bien. Miki…, l’appela-t-il pour faire avancer la situation.  

- Tu ne veux pas que j’essaie de plonger dans ses souvenirs ?, lui demanda-t-elle.  

 

Ryo observa Sam, ses sourcils froncés par la tension de la situation, son corps qu’il sentait trembler contre le sien. L’offre était tentante mais ce n’était pas le moment et il n’avait pas son accord.  

 

- Non, je lui proposerai mais pas ce soir. Sors-la de l’hypnose mais fais-la dormir. Elle a besoin de repos., lui demanda-t-il.  

- Sam, tu vas te réveiller maintenant. Rejoins ta bulle et, dès que tu te sentiras bien, reviens vers ma voix. Tu peux dormir si tu le veux., lui ordonna Miki, un peu déçue.  

 

Elle aurait peut-être pu aider sa nouvelle amie à regagner des souvenirs enfouis mais Ryo avait ses raisons et elle les respecterait. Le nettoyeur sentit le corps de sa protégée frémir un coup, vit ses yeux papillonner avant qu’elle se recale contre lui et s’endorme profondément. Miki les laissa un peu seuls et, quelques minutes après, il se leva avec plus ou moins de difficultés, cala Sam dans le divan et rejoignit les autres dans le café.  

 

- Tout le monde est là. Tant mieux., lâcha Ryo.  

- L’hypnose a été concluante., leur apprit-il.  

- Sam a entendu une conversation intéressante, une conversation qu’elle n’a pas comprise mais qui met Tanaka dans l’embarras.  

 

Il prit place à l’un des tabourets et accepta le café que lui tendit Miki.  

 

- Il s’est allié avec un gang américain appuyé par une organisation colombienne et doit recevoir un chargement conséquent de drogue par bateau mercredi prochain. Sam a entendu des noms. Elle a le lieu et l’heure du débarquement., leur apprit-il, notant les informations sur un papier pour Saeko.  

- Tu m’étonnes que le vieux veut se débarrasser d’elle., pipa Mick.  

- Oui. Tiens, inspectrice de mon cœur. Je pense que ça t’intéressera., fit Ryo, lui tendant la feuille.  

 

Elle la prit et la rangea dans son sac à main.  

 

- Le patron de Sam est parti pour le week-end. Il ne reviendra que lundi., l’informa-t-elle, cherchant du regard Sam.  

- Elle dort., répondit Ryo à sa question silencieuse.  

- Tu es sûr qu’elle ne parlait pas japonais quand elle est arrivée ?, lui redemanda-t-elle, suspicieuse.  

- A part merci et au revoir, pas un mot., lui assura-t-il.  

- Je vais rentrer maintenant. La soirée a été longue. Merci d’être intervenus à l’hôtel et merci Miki pour la séance imprévue d’hypnose.  

- De rien. Heureuse que ça ait marché cette fois., soupira-t-elle, soulagée.  

 

Ryo alla chercher Sam et, après avoir hésité un instant, ne la réveilla pas et la prit à bras. Il revint dans le café et jeta un œil vers Layla.  

 

- Je vais la prendre. Je la monterai à l’appartement., lui proposa Mick.  

 

Un quart d’heure plus tard, Sam et Layla étaient couchées.  

 

- Sacrée soirée…, pipa l’américain.  

- Tu peux le dire mais, au moins, on sait ce qui se trame., soupira Ryo, jetant un regard vers l’étage.  

- Je suis vanné. Je vais te laisser. Si tu as besoin d’aide, n’hésite pas., lui rappela son ami.  

- Merci Mick.  

 

Après le départ de son compère, Ryo monta à l’étage et se rendit dans la chambre d’amis. Face au sommeil profond des deux occupantes, il les laissa et alla se coucher à son tour. La journée du lendemain devrait leur apporter un peu de détente bienvenue. 

 


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