Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prose

 

Auteur: Mercury80

Status: En cours

Série: City Hunter

 

Total: 77 chapitres

Publiée: 14-04-21

Mise à jour: 17-04-24

 

Commentaires: 31 reviews

» Ecrire une review

 

GeneralHumour

 

Résumé: Que se passe-t-il quand le générique de fin apparaît après la fin d'une mission ? Entrons dans ces moments cachés

 

Disclaimer: Les personnages de "Après le clap de fin" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Astuces & Conseils

Est-ce que je peux faire corriger ma fanfiction?

 

Oui, il suffit de choisir un Beta Reader. Un Beta Reader est une personne qui accepte de lire et corriger les fics d'autres auteurs. Il suffit de contacter la personne par email pour qu'elle corrige votre travail. N'oubliez pas d'indiquer le nom de votre beta reader quand vous posterez votre fic sur HFC. Merci.

 

 

   Fanfiction :: Après le clap de fin

 

Chapitre 9 :: Chapitre 9

Publiée: 09-06-21 - Mise à jour: 09-06-21

Commentaires: Bonjour, voici le neuvième épisode. Bonne lecture et merci pour vos commentaires^^

 


Chapitre: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75


 

Chapitre 9 : Episode 9 : La reine du jeu parie sur l’amour.  

 

- Allez, Kaori, sois sympa !!!!!!!, gémit Ryo.  

 

Sa rouquine partenaire croise les bras, le regarde très énervée et tape du pied.  

 

- Non, Ryo. Je n’ai pas que ça à faire. On a déjà joué toute la soirée hier. Je n’aurais même jamais imaginé que tu avais une telle connaissance, diverse et variée., lui répond-elle.  

- Mais j’ai énormément de connaissances diverses et variées., lui suggère-t-il avec un sourire suggestif qui lui tire quelques couleurs aux pommettes.  

- Allez, sois gentille, encore une fois…, plaide-t-il.  

- La dernière ?, propose-t-il, lui jetant un regard implorant.  

 

Elle l’observe, tergiverse, pense à tout ce qu’elle a à faire puis pousse un long soupir.  

 

- Je perds certainement plus de temps à m’opposer à toi qu’à t’accorder ce que tu veux…, finit-elle par concéder.  

- Ok mais c’est la dernière fois., le prévient-elle.  

- Oui, promis, ce sera la dernière fois pour ce matin…, acquiesce-t-il, plongeant la main dans sa poche.  

- Tiens, tu auras besoin de cela., lui affirme-t-il avant de s’asseoir de l’autre côté de la table de séjour.  

- Vas-y, lâche tout., lui dit-il.  

- Franchement, tu ne m’en épargneras aucune., soupire-t-elle de nouveau, prenant place face à lui.  

 

Un instant, elle l’admire alors qu’il a fermé les yeux et prend un air concentré. Il est si sexy quand il a cet air-là plutôt que son air dégénéré…  

 

- Arrête de rêver, Kaori., la rabroue-t-il, imaginant son rougissement alors qu’il vient de la surprendre en train de le mater.  

 

Il en ressent une certaine fierté même, c’est pourquoi il l’a laissée faire quelques secondes avant de lui faire comprendre qu’il savait ce qu’il se passait.  

 

- Je ne rêve pas… Je ménage l’effet de surprise., grommelle-t-elle, gênée.  

 

Il esquisse un sourire amusé qui fait bondir son cœur et elle se reprend et glisse la main sous le plateau de la table.  

 

- N’en profite pas pour me faire des cochonneries., lui lance-t-il.  

- Tout le monde n’est pas aussi pervers que toi !, se fâche-t-elle, bondissant sur ses pieds.  

- Puisque c’est comme ça, démerde-toi tout seul., lui signifie-t-elle, lançant les pièces en l’air.  

- Treize… quinze… vingt… vingt-cinq pièces !, s’écrie-t-il, bondissant du banc.  

- Ah bah non ! Il y en avait vingt-sept ! Kaori, où sont mes deux pièces manquantes ?, lance-t-il, se jetant sous la table et tout autour pour ramasser les vingt-cinq pièces au sol.  

- Kaori ! Rends-moi mes pièces !, crie-t-il.  

- Mais t’as pas bientôt fini ton boucan ! Je ne les ai pas tes pièces, moi ! Comme si j’allais vouloir garder des trucs qui ont traîné dans tes poches à côté de je-ne-sais-quoi !, rugit-elle, excédée.  

- Regarde, elles sont là sur la poitrine du mannequin en première page de ton magazine… que je t’ai déjà demandé de ne pas laisser traîner !, lui fait-elle remarquer, lui balançant ledit magazine à la tête.  

 

Ryo ramasse la revue et tombe en pâmoison devant la jeune femme dévêtue aux charmes tout à fait exquis.  

 

- Tu vises bien quand même… pile poil sur les tétons de la demoiselle…, lui fait-il remarquer alors que les pièces commencent à glisser, la bave sur le papier glacé ne les tenant pas en place plus longtemps.  

- Je… Je… Argh, tu m’énerves. Je vais à la gare., annonce-t-elle, partant au pas de charge vers la porte, les joues en feu.  

- Bon, je dois encore me perfectionner aux jeux de hasard. Tanya l’a dit, ce n’est que du travail., s’encourage-t-il.  

- Mais comme dans tout moment de réflexion intensive, il faut savoir se ménager quelques activités récréatives !  

 

D’un pas léger, il sort à son tour de l’appartement et se dirige vers le parc, bien décidé à communier avec la nature… féminine.  

 

- Dites, Mademoiselle, vous voulez bien m’aider, s’il vous plaît ?, demande-t-il à la première miss mokkori qu’il croise.  

- En quoi ?, lui retourne-t-elle, adressant un regard circonspect à l’inconnu.  

- Je mène une petite expérience. Pourriez-vous lancer cette pièce, s’il vous plaît ? Je devrais vous dire quel côté apparaît., lui explique-t-il très sérieusement.  

- Oh… si ce n’est que cela, je veux bien., acquiesce-t-elle, lui offrant un sourire rassuré.  

- Ce n’est que cela. Tenez, je fournis la pièce. Vous pouvez même vérifier qu’il y a bien deux faces différentes., lui précise-t-il, la lui tendant, s’en faire attention qu’il s’agissait une des deux pièces qui avait atterri sur le magazine.  

- C’est vrai. Oh… elle est un peu… poisseuse…, grimace la jeune femme.  

- Ma petite sœur a joué avec., s’excuse-t-il.  

- On y va ?, suggère-t-il, louchant sur le décolleté de la demoiselle dans le même temps.  

 

La pièce monte dans les airs en même temps que le mokkori excité par les rondeurs voluptueuses et retombe sur le bras du nettoyeur dont les mains n’ont pu s’empêcher d’empaumer la poitrine devant lui.  

 

- Ahhhh !, hurle-t-elle avant de lui mettre une gifle et de s’enfuir en courant.  

- Je crois que c’était face…, fait-il, se frottant la joue et ramassant la pièce.  

- Oh mais ce côté pile est fort intéressant…, s’exclame-t-il, courant derrière une autre demoiselle.  

 

Pendant près de deux heures, il court et parcourt les allées du parc, se prenant veste sur veste. Se décidant à poursuivre son chemin, il s’apprête à sortir du jardin public lorsqu’ils croisent un groupe de jeunes femmes tout aussi mokkori les unes que les autres.  

 

- Mesdemoiselles, je suis sûr que votre beauté vous occasionne beaucoup de tracas., commence-t-il, s’immisçant dans le groupe, séducteur.  

 

Les jeunes femmes gloussent à la vile flatterie et il se sent pousser des ailes.  

 

- Laissez-moi être votre humble chevalier servant, le gardien de vos merveilleux corps, le seigneur de vos cœurs…, commence-t-il, leur adressant un regard de velours.  

- Dans deux minutes, il vous sort une rengaine du type : je suis l’as de trèfle qui tombe à pique pour prendre ton cœur…, entend-il derrière lui.  

 

Cette voix… il sent tous ses poils se hérisser sur son corps, pressentant la divine punition qui risque de s’abattre sur lui très prochainement s’il ne la joue pas très finement.  

 

- Il ne vous a pas encore proposé de jouer à un petit jeu ? C’est son truc du moment., demande Kaori, fronçant les sourcils.  

- Non. Il voulait nous servir de garde du corps., répond l’une des jeunes femmes, intriguée.  

- Ah bah ça pour garder les corps, il les garde. Il les regarde même, de très près, de très très près., gronde la rouquine, voyant son partenaire prendre un air pervers.  

 

Les cris ne tardent pas à fuser alors que les mains se font baladeuses et soulèvent les jupettes des demoiselles. La réaction ne se fait par attendre et le pauvre hère se retrouve encastré sous une massue cent tonnes, dispersant le groupe de donzelles aussi vite. Sans ménagement, la rouquine attrape son partenaire et le traîne hors du parc.  

 

- Tu as oublié une couleur tout à l’heure…, entend-elle soudain.  

- Quoi ?, lâche-t-elle, surprise.  

- Tu as oublié une couleur tout à l’heure., répète Ryo.  

- Quand tu as dit « je suis l’as de trèfle qui tombe à pique pour prendre ton cœur », il manquait les carreaux, Kao. Remarque, ça serait pas mal : je suis l’as de trèfle qui tombe à pique pour prendre ton cœur, Kao., muse-t-il, se grattant le menton.  

 

Il ne le voit pas mais au silence de sa partenaire, la tension qui l’entoure soudain, il imagine bien la rougeur de ses joues.  

 

- C’est bon, tu peux me lâcher, tu sais., lui fait savoir Ryo, les bras croisés alors qu’elle le tient par le col de sa veste.  

 

Elle s’empresse de s’exécuter et le lâche sans ménagement. Sans empressement, Ryo se relève.  

 

- Enfin, je, pas moi, bien sûr. Je ne peux pas prendre le cœur de mon pote. Je ne donne pas dans les hommes., ajoute-t-il, tapotant son épaule.  

- Et voilà, dans quoi je donne, moi !, se fâche Kaori, le tapotant de sa massue un gigatonne.  

 

Ryo s’enfonce dans le trottoir et met quelques minutes à se relever avant de se tourner pour partir de l’autre côté.  

 

- Tu penses aller où comme ça ?, le rabroue-t-elle vertement.  

- Travailler., lui répond-il.  

- Tra… travailler ? Ah ah ah ! Elle est bonne celle-là., s’esclaffe-t-elle, hurlant de rire.  

- Je ne vois pas ce qu’il y a de drôle…, grommelle-t-il.  

- Faire le tour de mes indics, c’est aussi travailler., lui fait-il remarquer, un peu vexé.  

- Ouais, je demande à voir parce que, te connaissant, ça va encore finir par courser les filles., réplique-t-elle d’un ton mordant.  

- On croirait presque que tu es jalouse mais il n’y a pas de raison., lui susurre-t-il.  

- Ah ça y est, j’ai compris !, s’exclame-t-elle, malicieuse.  

 

Ryo la regarde sans comprendre et finit par hausser les épaules.  

 

- C’est un autre jeu., explicite-t-elle.  

- Ah oui ? Et lequel ?, lui demande-t-il.  

- Tu ne devines pas ?, réplique-t-elle, plissant les yeux.  

- Eclaire ma lanterne, je t’en prie., l’invite-t-il, amusé.  

- Poker., déclare-t-elle simplement.  

 

Imagine-t-elle quelle perche elle vient de lui tendre ?, se demande-t-il, ne résistant pas à l’envie de la titiller un peu, de la pousser dans ses retranchements.  

 

- Poker… Bien vu. Mais… quelle sorte ?, lui demande-t-il, s’amusant de son étonnement.  

- Quelle sorte ? Quoi ? Je ne comprends pas., bafouille-t-elle.  

- Il y a plusieurs types de poker, Kaori., fait-il, avançant vers elle, prenant un air très sérieux.  

- Plusieurs types de…, murmure-t-elle, reculant d’un pas, intimidée.  

- Oui. Il y a le poker normal mais tu peux envisager d’autres variantes. Moi, il y en a une que j’affectionne plus particulièrement., lui avoue-t-il, la fixant alors que ses joues rosissent et qu’elle humecte ses lèvres du bout de la langue.  

- La… Laquelle ?, l’interroge-t-elle machinalement.  

- Le strip-poker…, lui confie-t-il.  

- Tu voudrais peut-être y jouer avec moi ?, lui demande-t-il, prenant sa face de pervers et approchant les mains pour les poser sur son corps.  

 

Revenant à la réalité, la colère flambe dans ses prunelles et elle l’écrabouille sous une nouvelle massue estampillée « meilleur joueur de poker menteur ! » avant de s’en aller, fâchée et encore un peu retournée.  

 

Il est près de dix-huit heures lorsqu’elle le voit rentrer et s’asseoir dans le canapé. Elle est sûre que dans moins de deux minutes, il sera vautré dedans, le nez dans ses magazines dégoûtants. Et pourtant, lorsqu’elle vient mettre la table, il est toujours assis, des cartes disposées devant lui sur la table basse. Concentré, il retourne les cartes une à une en fronçant les sourcils. Elle retrouve ce sentiment en elle, ce petit fourmillement à l’estomac assez agréable et qu’elle aimerait ressentir tellement plus souvent.  

 

- Tu recommences comme hier soir ?, l’interroge-t-elle.  

- Je dois y arriver., murmure-t-il, restant concentré.  

- As de cœur., annonce-t-il, retournant la carte qui est le sept de trèfle.  

- Tu devrais essayer avec des dessins plus à ta portée., le taquine-t-elle, désignant le magazine derrière lui.  

- Pas bête. Je devrais trouver ça dans un magasin spécialisé. Tu m’accompagnes ?, lui propose-t-il, narquois.  

 

Elle se met à rougir une nouvelle fois à l’évocation de ce lieu mais il n’en profite pas pour enfoncer le clou et se remet sur son jeu. Tout en se calmant, elle continue à l’observer.  

 

- Pourquoi c’est si important pour toi, Ryo ?, le questionne-t-elle, curieuse.  

- C’est un bon entraînement et ça peut avoir ses bons côtés., répond-il.  

- Parce que tu penses aussi proposer des duels à base de jeux de carte ?, muse-t-elle, repensant aux deux familles qui ont décidé autour d’une table de poker du sort d’un quartier de Shinjuku.  

 

Un corbeau passe en croassant derrière Ryo. Elle a de ces idées parfois… surprenantes.  

 

- Non, pas vraiment mais, si je peux gagner à tous les coups, alors je pourrais récupérer plein d’argent., lui explique-t-il.  

- Et travailler moins, c’est cela ?, ajoute-t-elle d’un ton pincé.  

- Non, pardi ! Dépenser encore plus ! A moi, l’alcool qui coule à flots, les filles qui pressent leurs jolis corps contre moi avec et sans habits, les restaurants, les love hot…  

 

Son envolée lyrique finit étouffée sous une énorme massue « sombre crétin » et le silence est de mise jusqu’au repas, pris dans un silence relatif lui aussi.  

 

- Tu ne sors pas ce soir ?, l’interroge-t-elle, le voyant s’asseoir à ses côtés dans le divan un peu plus tard.  

- Je te dérange ? Tu attends quelqu’un peut-être ?, lui retourne-t-il, impassible.  

- Non, du tout., répond-elle.  

 

Elle tente de rester impassible alors que sa présence la met en joie. Elle le regarde du coin de l’œil sortir son arme et ouvrir le barillet.  

 

- Tu vas nettoyer ton arme ?, le questionne-t-elle, histoire de faire la conversation.  

- Non, je vais tenter un autre jeu., lui répond-il, impassible, déposant cinq balles extraites du barillet sur la table basse.  

- Ca s’appelle la roulette., ajoute-t-il.  

- Quoi ?! Arrête, ce n’est pas drôle, Ryo ! Ca va trop loin cette histoire de jeu !, s’insurge-t-elle, inquiète.  

 

Il lui lance un regard intense avant d’éclater de rire en lui montrant la sixième balle coincée dans sa main.  

 

- Tu devrais voir ta tête ! C’est trop drôle !, lui lance-t-il, plié de rire.  

- C’est pas drôle !, maugrée-t-elle, lui lançant un coussin dans la figure.  

- Ah si ! Tu devrais voir ta tête. On croirait presque que tu t’inquiètes pour moi., lâche-t-il, ironique.  

- Faudrait être folle de s’inquiéter pour un type comme toi ! Tu n’en vaux pas la peine !, ronchonne-t-elle, feignant l’agacement.  

- Tu ne t’inquiéterais pas pour moi ? Oh comme je suis déçu…, soupire-t-il exagérément.  

 

Boudeuse, Kaori se tourne vers l’écran et se force à rester focalisée dessus même si elle a très envie de le voir œuvrer à ses côtés, de pouvoir observer son visage concentré à ces moments-là. Cesse d’être une midinette, Kaori, s’invective-t-elle.  

 

- Kaori, je crois que je vais gagner cette fois-ci., lui dit-il, lui tendant une pièce de monnaie bien brillante.  

 

Elle est à deux doigts de râler qu’elle ne veut plus jouer lorsqu’elle croise son regard. Il n’est ni moqueur ni séducteur, juste amical, chaleureux et elle ne peut résister à l’envie de lui faire plaisir.  

 

- Qu’est-ce que tu gagnes si tu trouves, Ryo ?, le taquine-t-elle.  

- Disons que, si c’est face…, commence-t-il, la voyant lancer la pièce en l’air, on s’embrasse…  

- Et… Si c’est pile ?, bafouille-t-elle, rougissante.  

- Je t’enf…, propose-t-il.  

 

Il n’a même pas le temps de finir qu’il se retrouve écrasé sous une nouvelle massue, des pas s’éloignant de là, rageurs.  

 

- C’était juste pour la rime…, soupire-t-il, s’extrayant de sa prison.  

- Ah ben on ne saura jamais le résultat., grommelle-t-il, trouvant la pièce coincée sur la tranche dans une fente dans le parquet.  

 

Il la ramasse, l’observe un moment avant de la ranger dans sa poche, se disant que sa pièce double-face pourra toujours servir un autre jour…  

 

- Bon, je pense qu’il serait plus utile pour moi d’apprendre à prédire les coups de massue plutôt que les cartes ou résultat du lancer de pièce… C’est quand même beaucoup plus récurrent., murmure-t-il, jetant un regard vers l’étage. 

 


Chapitre: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75


 

 

 

 

 

   Angelus City © 2001/2005

 

Angelus City || City Hunter || City Hunter Media City || Cat's Eye || Family Compo || Komorebi no moto de