Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prose

 

Auteur: Mercury80

Status: En cours

Série: City Hunter

 

Total: 77 chapitres

Publiée: 14-04-21

Mise à jour: 17-04-24

 

Commentaires: 31 reviews

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GeneralHumour

 

Résumé: Que se passe-t-il quand le générique de fin apparaît après la fin d'une mission ? Entrons dans ces moments cachés

 

Disclaimer: Les personnages de "Après le clap de fin" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Astuces & Conseils

Comment changer son pseudo?

 

Je n'autorise pas les gens à changer leur pseudo en ligne, mais je peux le faire si vous me contacter en me donnant votre ancien pseudo et votre mot de passe (question de securité) et ce quelque soit les changements (mettre une majuscule au début du pseudo, changer l'orthographe,...) Cela ne me prendra que quelques secondes.

 

 

   Fanfiction :: Après le clap de fin

 

Chapitre 14 :: Chapitre 14

Publiée: 04-08-21 - Mise à jour: 04-08-21

Commentaires: Bonjour, voici l'épisode suivant de la série. Certains l'auront peut-être déjà lu la semaine dernière suite à mon erreur d'import. Il s'agit de l'épisode avec Nagisa. Bonne lecture et merci pour vos commentaires^^

 


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Chapitre 14 : Episode 14 : Baiser langoureux pour l’idole de la chanson  

 

- Nous interrompons notre programme pour diffuser un flash spécial : les fans pourront désormais profiter de leur spectacle en toute tranquillité…  

 

Ryo et Kaori regardent l’écran sans y croire avant de se lancer un regard noir et de le détourner tout aussi rapidement.  

 

- Jalouse !  

- Pervers !  

 

Flash-back : une heure et quinze minutes plus tôt…  

 

- Encore un ! Oh, c’est génial ! Mathilda avait raison. Elles ne se rendent compte de rien pendant un concert. J’en suis à combien., se demande Ryo à voix haute, sortant de ses poches tout un lot de soutiens-gorges et petites culottes chipées pendant le concert.  

- Douze, treize, quatorze… Allez encore six et j’aurai mon lot pour la soirée. Cette odeur… J’adore…, fait-il, humant sans discrétion.  

 

Il ne risque vraiment rien après tout. Les jeunes femmes sont obnubilées par le mâle qui se déhanche sur scène et hurlent à qui mieux mieux pour attirer son attention, chose qu’il trouve tout à fait inutile car il semble bien illusoire que le chanteur distingue qui que ce soit dans cette foule déchaînée… mais bon il ne s’en plaindra pas non plus… Il avance donc dans les rangs et subtilise encore cinq sous-vêtements avant de sélectionner scrupuleusement sa dernière proie. Ses yeux errent de buste en buste et s’arrêtent sur celui qui lui semble parfaitement à son goût. Ni trop gros, ni trop petits, deux formes arrondies portées haut qui se tiennent bien malgré l’agitation laissent apparaître deux petits boutons très prometteurs.  

 

- Sont-ils aussi fiers sans parure ?, s’interroge-t-il, se frottant par avance les mains.  

- On va vite le savoir. Peut-être que je lui laisserai mon numéro… Non, mauvaise idée, elle risquerait de tomber sur Kaori., se reprend-il.  

- Bonjour les dégâts si elle chope l’appel. J’imagine même pas la réaction si elle m’attrapait ici., se dit-il, un frisson le traversant.  

 

En fait, il l’imagine très bien. Il rentre le cou en pensant à la massue qu’elle ne manquerait pas d’abattre sur son crâne après une probable course-poursuite. Il sait qu’il court vite mais il a été surpris par la vitesse à laquelle elle est capable de le poursuivre dans ces cas-là… malgré le poids indécent qu’elle porte…  

 

- C’est pas juste…, chouine-t-il.  

- Comment elle fait ? Un mars et ça repart ? Elle mange un lion ? Le double effet kiss cool ? Je pourrais dire que la jalousie lui donne des ailes mais ça impliquerait que… Naaaaaaan… C’est Kaori, elle est naturellement irascible et violente., muse-t-il, approchant de sa proie.  

- Parce que moi, il faut pas me secouer, c’est bien que la pulpe reste en bas., lâche-t-il fièrement, un coucou se levant à l’approche des deux rondeurs charmeuses.  

 

Il s’arrête juste devant et, avant de passer à l’attaque, il passe une première main sur la cuisse féminine, la trouvant musclée mais galbée. N’entendant aucune protestation, il remonte et glisse les doigts sous le tee-shirt tendu, trouvant un ventre plat sous la peau duquel il sent les muscles finement dessinées.  

 

- Joli…, soupire-t-il, son mokkori se rafermissant.  

 

Sachant qu’il ne faut point trop tenter le diable dans ces cas-là, il ne tarde pas à passer à l’action et dégrafe prestement le soutien-gorge de ces doigts de magicien et ne bouge même pas pour observer sa prise. Il examine précieusement la pièce de lingerie, touche les fines décorations avant de la porter à son nez et de la humer.  

 

- Senteur fraîche et légère, un peu sucrée… Délicieusement féminin sans outrance… J’adore…, commente-t-il avant de froncer légèrement les sourcils.  

- Etrange… J’ai l’impression d’en avoir déjà vu un comme cela… et cette odeur… Mon odorat doit être un peu perturbé par toutes ces hormones en effervescence., élude-t-il.  

- Alors soutien-gorge magique ou petites merveilles de la nature ?, se remémore-t-il.  

 

Il relève le regard et observe la poitrine qui se tient toujours fièrement dressée. Grande est l’envie de glisser de nouveau les mains sous ce tee-shirt blanc qui laisse maintenant clairement apparaître les deux petites pointes, lui donnant envie de les triturer et de les téter goulûment. Il se demande quelle taille elles peuvent atteindre sous l’influence de l’excitation, si ce corps recèle d’autres merveilles érotiques et à quel point il apprécierait d’explorer ces creux et vallées pendant toute une nuit… Oh oui, il y faudrait au moins la nuit, pas juste une heure ou deux…  

 

Son envie d’exploration est anéantie lorsque deux bras se croisent sous la poitrine même si le spectacle est encore plus attrayant, les deux collines semblant encore plus le narguer. Mais soudain une aura de colère se répand dans l’air et il sent un long frisson le parcourir. Se pourrait-il ? Non, pas ici… Il tourne la tête dans tous les sens, cherchant l’origine de cette colère qui l’entoure, l’enrobe, le ceint de toutes parts.  

 

- Je crois qu’il est temps que je détale…, murmure-t-il, opérant une retraite stratégique.  

 

Il recule prudemment vers la sortie la plus proche, l’aura ne le lâchant pas.  

 

- Ryo ! Espèce de sale cloporte !, entend-il hurler malgré les hurlements hystériques des fans pour leur idole.  

- Oh putain… j’y crois pas…, lâche-t-il, reconnaissant la voix de sa chère partenaire.  

 

Il ne la distingue pas dans cette foule mais elle est toute proche. Sans attendre son reste, il prend ses jambes à son cou et part en courant, débouchant dans les allées vides sous les gradins. Moins de trois secondes plus tard, il entend des pas derrière lui et les reconnaît pour être ceux de Kaori en mode furie démoniaque.  

 

- Ryo, je vais t’écraser, te réduire en miettes ! Je savais que c’était toi, espèce de sale pervers libidineux ! Tu n’as pas pu t’en empêcher, n’est-ce pas ? Viens un peu ici !, hurle-t-elle, courant derrière lui, massue en main.  

 

Il court plus vite, l’entendant se rapprocher. Il ne veut même pas savoir le poids infâme de l’engin de mort qu’elle porte et qui ne l’empêche pas de gagner du terrain.  

 

- Va falloir que j’arrête la clope si elle continue ses conneries…, souffle-t-il.  

- Je vais te massacrer, Ryo ! Tu ne m’échapperas pas !, crie-t-elle à nouveau.  

 

Ses paroles ne passent pas inaperçues et attirent le regard de deux gardes postés non loin et qui se mettent à les pourchasser.  

 

- Arrêtez-vous ! Le port d’armes est interdit dans l’enceinte du palais !, ordonnent-ils.  

- T’as entendu, Kaori ? Tu es en infraction !, lance-t-il, goguenard.  

- M’en fous ! Je m’arrêterai quand je t’aurai exterminé, sale vermine !, répond-elle, furieuse.  

 

Il l’a trop bien éduquée, sa partenaire. Si même elle ne se met plus à suivre les règles quand ça l’arrange, comment il va faire ?  

 

Sans le vouloir, malgré le concert battant son plein, ils attirent la foule des quelques personnes qui déambulent en quête des toilettes, d’une boisson, d’un peu d’air frais, et des gardes et, lorsqu’ils débouchent sur l’esplanade devant la salle de concert, les caméras des journalistes.  

 

- Je vais t’apprendre à profiter des fans et leur subtiliser des sous-vêtements, espèce de pervers immonde !, crie Kaori, le rattrapant enfin.  

- Mais… mais… non ! Ce n’est pas ce que tu crois ! Je… Je travaille pour l’organisateur du concert ! On teste les points faibles de la sécurité !, ment-il, espérant obtenir sa clémence.  

- Pourquoi tu fuis alors ?, lui fait-elle, s’arrêtant.  

 

Il est bien obligé de l’imiter, fuir de nouveau revenant à avouer sa culpabilité. Il sait qu’il a encore une chance de s’en tirer : c’est Kaori après tout…  

 

- Tu m’as fait peur…, se défend-il.  

- Peur ? Moi ?, ricane-t-elle.  

- Oui, tu as tendance à punir un peu vite…, lui fait-il remarquer, mentant éhontément.  

- Vraiment ? Donc tu es là pour assurer la sécurité ?, reprend-elle, levant un sourcil.  

- Oui., affirme-t-il.  

- Bien… Bien bien…, lâche-t-elle, impassible.  

 

Intérieurement, il souffle de s’en tirer ainsi mais ne l’affiche pas pour ne pas se trahir.  

 

- C’est quand même étrange…, continue-t-elle.  

- Etrange ? Je ne vois pas en quoi…, remarque-t-il, jouant son rôle.  

- Pourquoi les organisateurs auraient engagé deux personnes pour faire le même boulot ? Surtout la même équipe ? Et pourquoi tu ne m’en as pas parlé ?, l’interroge-t-elle, fronçant les sourcils.  

 

Il ne peut s’empêcher de déglutir.  

 

- Je… Je ne sais pas. Ils n’ont pas fait le lien peut-être… Et toi, pourquoi tu ne m’en as pas parlé ?, lui retourne-t-il, se montrant vexé.  

 

Il pense fièrement qu’elle se sentira tellement coupable qu’elle lâchera l’affaire mais elle n’en montre rien et ça le perturbe un peu.  

 

- J’ai demandé en première., lui fait-elle remarquer.  

- Et moi, en deuxième !, lui retourne-t-il, pointant du doigt vers elle, entraînant par mégarde un soutien-gorge qui sort de sa poche.  

- Espèce de sale cloporte ! Tu n’as pas du tout été embauché pour la sécurité ! Tu es le pervers des salles de concert !, hurle-t-elle, sortant de nouveau sa massue et l’abattant sur son crâne avant que les gardes n’aient pu intervenir.  

- Bravo !, entend-elle derrière.  

 

La foule se met à applaudir, les flashs crépitent et les gardes qui venaient l’enguirlander viennent la saluer.  

 

- Merci, jeune homme pour votre intervention. Nous allons appeler la police pour l’arrêter. Tout le monde sera soulagé de ne plus savoir ce malade en liberté., lui fait savoir le chef de la sécurité, lui serrant la main.  

 

Fin du flash-back, retour une heure et quinze minutes plus tard.  

 

- N’empêche que sans mon intervention, tu serais chez les flics et même ta Saeko n’y aurait pas pu grand-chose., lui fait-elle remarquer d’un ton acerbe.  

- Ca… Jouer les faibles femmes, ça a dû être un rôle de composition pour toi., ironise-t-il.  

 

Il ne peut s’empêcher malgré tout d’être fier parce qu’elle a dû remballer la remarque acide sur sa condition féminine probablement au mot « police ». Malgré tous ses griefs contre lui, elle n’a pas pu le laisser tomber entre leurs mains. Elle a soudain porté la main à son front, titubé en éloignant les personnes de la massue plantée là et s’est effondrée lourdement dans un gémissement.  

 

- L’autre qui pensait que tu avais fait un trop gros effort. S’il savait que tu me martyrisais comme ça souvent…, ricane-t-il.  

 

Entendant la suite du flash info, ils se tournent vers l’écran, soulagés de voir que les images sont suffisamment floues pour ne pas pouvoir les reconnaître.  

 

- Grâce à l’intervention musclé d’un jeune homme de l’assistance, le pervers des salles de concert qui faisait frémir d’horreur toutes les jeunes femmes depuis quinze jours a été anéanti. Nous n’avons d’ailleurs retrouvé aucune trace de son corps., commente la journaliste.  

- Je suis une femme ! Il n’y en a pas un pour le remarquer !, se fâche la rouquine.  

- Encore heureux qu’ils n’aient trouvé aucune trace de mon corps. C’est que j’ai encore du monde à contenter moi., lâche simultanément Ryo.  

- A commencer par la propriétaire de cette jolie chose…, fait-il pour lui-même, sortant la dernière pièce de lingerie volée et l’admirant.  

- Espèce de sale pervers !, hurle Kaori, brandissant une nouvelle massue.  

 

Elle l’assomme sans autre forme de procès avant d’attraper son soutien-gorge.  

 

- Confisqué !, lui annonce-t-elle avant de s’en aller.  

- C’est pas juste… C’est à moi…, chouine Ryo sous son piège de bois.  

- Plus maintenant !, lui lance-t-elle, disparaissant de sa vue.  

- Finalement, je vais m’en tenir aux cabarets et aux bars… Elle m’attrape moins quand je rentre plus tard…, soupire-t-il, fourrant les mains dans ses poches.  

- Oh mais c’est vrai que j’avais encore dix-neuf autres prises…, s’extasie-t-il, sortant les autres sous-vêtements de ses poches.  

- Mes petits chéris…, lâche-t-il, filant dans sa chambre avant de se faire harponner par la furie à la massue et s’y enfermant à double-tour.  

- Vous compenserez un peu la perte de votre copain perdu… Il faut avouer qu’il valait quand même sacrément le détour… Mais où est-ce que je l’ai déjà vu ?, s’interroge-t-il, ne trouvant la réponse à sa question… 

 


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