Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prose

 

Auteur: Mercury80

Status: En cours

Série: City Hunter

 

Total: 77 chapitres

Publiée: 14-04-21

Mise à jour: 17-04-24

 

Commentaires: 31 reviews

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GeneralHumour

 

Résumé: Que se passe-t-il quand le générique de fin apparaît après la fin d'une mission ? Entrons dans ces moments cachés

 

Disclaimer: Les personnages de "Après le clap de fin" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Après le clap de fin

 

Chapitre 23 :: Chapitre 23

Publiée: 06-10-21 - Mise à jour: 06-10-21

Commentaires: Bonjour, voici l'épisode suivant, celui où apparaît KAzue. Bonne lecture et merci pour vos commentaires^^

 


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Chapitre 23 : Episode 23 : une mariée tombée du ciel.  

 

Dans le séjour de l’appartement, les deux nettoyeurs restent pensifs après le départ de Kazue. Ryo fait face à la fenêtre, contemplant le ciel étoilé alors que Kaori est assise sur la table, lui tournant le dos, continuant à se demander si Kazue était vraiment amoureuse de lui. Elle l’était, c’était sûr et si elle revenait dans quelques temps, comment réagirait Ryo ? Etait-il vraiment sérieux en parlant de sa petite mariée et serait-il prêt à l’épouser ? Si ça arrivait, qu’adviendrait-il d’elle ? Elle se retrouverait seule. Il ne serait plus question qu’elle vive avec lui, avec eux…  

 

- Oh la la… Faites que ça n’arrive jamais…, soupire-t-elle, dépitée.  

 

Elle sait bien que, même s’il n’a pas été tout à fait lui-même pendant cette mission, Ryo trouvait la doctoresse fort à son goût et il faut avouer que Kazue est bien plus jolie et certainement plus douce qu’elle…  

 

- Si tu es fatiguée, tu devrais aller te coucher., lui fait soudain remarquer Ryo.  

- Hein ? Mais pourquoi tu dis ça ?, s’étonne-t-elle.  

- Parce qu’on dirait que tu bayes aux corneilles., se moque-t-il.  

- Je ne baye pas aux corneilles ! Je réfléchis !, se défend-elle.  

- Ah ? Je ne vois pas vraiment la différence., ironise-t-il.  

- Oh toi alors… Tu es insupportable., se fâche-t-elle.  

 

Elle part dans une diatribe salée à son endroit et il se retient de sourire en voyant que son plan de diversion à marcher. Il préfère nettement la voir furieuse que triste et il connaît bien les moyens d’y arriver. La preuve en est…  

 

- Je ne sais pas pourquoi je continue à bosser avec toi ! Ca aurait été mieux si tu étais resté sous les effets secondaires de l’anti-dote !, lui lance-t-elle.  

- Argh… Quelle horreur !, s’horrifie-t-il.  

- Tu ne te rends pas compte de ce que c’est de ne plus contrôler son corps ? J’ai fait du tricot, Kaori ! Du TRICOT ! C’est indigne de moi. Je suis un homme, un vrai, et pendant toute cette mission, j’ai été dépossédé de mes moyens…, se lamente-t-il après s’être énervé.  

- N’empêche que tu étais vachement sérieux et c’était super agréable…, muse sa partenaire, un doigt sur son menton.  

- Je suis sûre qu’on aurait doublé nos revenus avec cette nouvelle réputation…, ajoute-t-elle.  

- Femme vénale ! Tu ne penses donc qu’à ça ? L’argent ?, lui reproche-t-il.  

- Il faut bien que quelqu’un y pense puisque tu le dépenses !, lui retourne-t-elle.  

- Tu crois que ça m’amuse d’avoir un appel du banquier tous les mois ?, lui demande-t-elle.  

 

Il lui adresse un petit sourire narquois avant d’approcher d’elle et de passer un bras autour de ses épaules.  

 

- Eh bien, tu m’épates., fait-il, fier d’elle.  

 

Elle le regarde en clignant des yeux, ne comprenant pas où il veut en venir.  

 

- Vraiment ? Mais… en quoi ?, l’interroge-t-elle.  

- Tu as un homme dans ta vie qui t’appelle régulièrement ! J’espère que vous serez heureux ensemble !, la félicite-t-il.  

 

Avant qu’il n’ait eu le temps de réagir, elle appuie avec force sur sa tête et il se retrouve encastré dans la table en bois.  

 

- Crétin fini ! Idiot ! Saleté ! Goujat ! C’est de ta faute tout ça. J’ai déjà un homme dans ma vie et ça me suffit !, lâche-t-elle sans réfléchir.  

 

Le temps se fige dans l’appartement. Kaori réalise l’énormité qu’elle vient de sortir et s’en mord déjà les doigts alors que Ryo, la tête toujours encastrée dans la table, fronce les sourcils en se demandant comment il a pu rater une telle information. Elle cache donc si bien son jeu qu’il est passé à côté d’un petit-ami. Quand ? Comment ?… Où ? Ici ?, se demande-t-il, sentant la colère pointer son nez.  

 

Lentement, il s’extirpe de sa prison de bois et se tourne vers sa partenaire qui le regarde avec ses grands yeux noisette qui semblent lui manger le visage. Il la voit déglutir et se demande comment réagir. Sa colère est injustifiée après tout, elle a bien le droit de vivre mais elle aurait pu lui en parler au moins… non ?  

 

- Félicitations !, finit-il par s’écrier, brandissant deux serpentins dans lesquels il souffle joyeusement.  

- Tu me présenteras l’heureux élu bientôt. Le mariage est prévu pour quand ?, lui demande-t-il.  

- C’est plutôt à toi que je devrais poser la question, Ryo !, lui retourne-t-elle, la colère lui donnant l’audace de le braver.  

- Le mariage ? Quel mariage ?, l’interroge-t-il d’un air niais.  

- A ton avis ? Avec ta petite mariée, bien évidemment. Tu n’attends que cela, non, qu’elle revienne et que tu puisses conclure avec elle ?, lui lance-t-elle, fâchée.  

- Tu ne vas pas m’en vouloir à cause d’un coup du destin ? Je ne peux pas refuser d’accepter cette responsabilité !, gémit-il théâtralement.  

- Tu parles ! Tu vas juste te contenter de la nuit de noces ! Je te connais, Ryo !, lui asséne-t-elle.  

 

Il approche d’elle, le regard plissé, et la toise un moment, la mettant mal à l’aise.  

 

- Tu crois ? Après tout, je pensais aussi te connaître et j’apprends que tu as un petit-ami…, lui fait-il d’une voix neutre.  

 

Se pourrait-il qu’il soit jaloux ?, se demande Kaori, ses joues rosissant. Et si… Et s’il tenait à elle un peu plus que comme une simple partenaire ? Et si…  

 

- Mais tu as raison !, lâche-t-il, riant comme un benêt en se frottant les cheveux.  

- Moi me marier ? Beurk… la bonne blague ! Ne prendre qu’une femme alors qu’il y en a des millions à contenter, ce serait un crime contre l’humanité !, se moque-t-il, s’éloignant d’elle.  

- Attends ! Tu veux dire que tu ne te marieras jamais ?, s’étonne-t-elle, le retenant par l’épaule.  

 

Il se retourne et la fixe intensément avant d’approcher d’elle et de s’appuyer sur son épaule.  

 

- Pourquoi ? Tu aurais voulu que je me précipite dans l’église le jour de ton mariage en te demandant de ne pas commettre une telle folie et de t’enfuir avec moi ?, l’interroge-t-il, curieux.  

- Je… Je… non, bien sûr que non., bredouille-t-elle, baissant le regard.  

- Bien, tu peux rassurer ton fiancé parce que je ne le ferai pas. Je ne me marierai jamais, foi de Ryo Saeba !, lui lance-t-il, s’éloignant.  

- Si tu dois le voir ce soir, évite de le ramener à la maison. Principe d’équité., lui dit-il avec un clin d’oeil.  

 

Elle le regarde lisser sa veste, ranger son arme dans son holster et vérifier qu’il a tout avant de se diriger vers la porte.  

 

- Je ne vais tout de même pas t’empêcher de rentrer mais je sais que tu ne finiras pas dans mon lit…, pipe-t-elle à voix basse d’une voix tendre.  

 

Malgré tout, immobile près de la porte sous prétexte de fouiller ses poches, Ryo a tout entendu et ne peut empêcher un certain soulagement de l’envahir.  

 

- Oh… J’ai failli gaffer…, finit-il par lâcher, sortant de sa poche intérieure une pelote de laine.  

- Kaori, c’est cadeau., lui dit-il, la lui lançant.  

- Ca te tiendra peut-être chaud pour les longues nuits d’hiver en attendant ton homme., lui explique-t-il, lui lançant un clin d’oeil complice.  

 

Surprise, elle ne sait quoi répondre et le voit disparaître derrière la porte qui se referme. 

 


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