Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prose

 

Auteur: Mercury80

Status: En cours

Série: City Hunter

 

Total: 77 chapitres

Publiée: 14-04-21

Mise à jour: 17-04-24

 

Commentaires: 31 reviews

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GeneralHumour

 

Résumé: Que se passe-t-il quand le générique de fin apparaît après la fin d'une mission ? Entrons dans ces moments cachés

 

Disclaimer: Les personnages de "Après le clap de fin" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Astuces & Conseils

Quelques conseils pour écrire une bonne fanfiction

 

Quelques conseils de base à suivre pour les fanfictions: - Vérifier l'orthographe avant de poster vos histoires. C'est essentiel. Plus il y a de fautes d'orthographe, plus les lecteurs auront dû mal à apprécier pleinement la fanfic. Donc, relisez-vous. Cela vous donnera aussi l'occasion de rectifier les passages mal tournés par la même occasion. ...

Pour en lire plus ...

 

 

   Fanfiction :: Après le clap de fin

 

Chapitre 49 :: Chapitre 49

Publiée: 14-09-22 - Mise à jour: 14-09-22

Commentaires: Bonsoir, voici un nouvel épisode des claps de fins. Désolée pour la très longue absence. Cet épisode m'a donné du fil à retordre. Il s'agit de celui où le Renard d'Argent menace la vie de Kaori. Je cherchais une approche moins conventionnelle. J'espère que ça vous plaira. Bonne lecture et merci pour vos commentaires^^

 


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Chapitre 49 : Episodes 54 et 55 : Kaori est menacée.  

 

- Donc qu’est-ce que ça vous fait ?  

- Quoi qu’est-ce que ça me fait ? Qu’est-ce que ça pourrait bien me faire ?, bougonne Umibozu.  

- Eh bien, vous savez, vous avez rendu service à Ryô Saeba en hébergeant Kaori et vous avez aussi aidée cette dernière à se battre contre le Renard d’Argent. Qu’est-ce que ça vous fait ?, lui redemande la voix.  

 

Le géant marmonne indistinctement, bougonne, grommelle, fidèle à lui-même. Il a vu débouler la jeune rouquine dans son antre sans prévenir par une nuit pluvieuse. Quelle surprise de se retrouver comme valeur refuge pour une personne qui ne l’a côtoyé que quelques fois, surtout qu’avec sa carrure, il a plutôt tendance à repousser les gens.  

 

- Qu’est-ce que ça devrait me faire ? Ils sont venus briser ma paix., grommelle-t-il.  

- Pourtant, vous avez bien apprécié le petit-déjeuner que Kaori à préparer., fait remarquer la voix.  

 

Le géant se met à rougir et à grommeler de plus belle, se rappelant cet épisode. Juste avant, il avait réservé un accueil musclé à la jeune femme qui était venue le chercher en courant et avait prétexté faire sa musculation à l’aide de bazooka et revolver. Il n’était pas habitué à vivre avec quelqu’un. Il se demandait même comment Ryô pouvait accepter une présence supplémentaire chez lui.  

 

- Hmm… Oui, c’est vrai. On ne gaspille pas un bon repas., répond-il, tournant la tête dédaigneusement.  

- Donc Kaori cuisine bien ?, demande la voix.  

- Oui.  

- Et c’est une élève attentive ?, poursuit l’interrogatoire.  

- Oui. Elle est douée et très créative…, admet Umibozu, un sourire cynique aux lèvres.  

- On dirait que vous l’aimez bien, Kaori., suggère la voix.  

 

Le géant se met à rougir et fumer par tous les pores…  

 

- Je n’aime personne, moi., maugrée-t-il.  

- Ah alors vous n’êtes pas amoureux d’elle… Mais pourquoi vous acceptez de l’aider alors ?  

- Je n’ai pas eu le choix !, objecte le géant.  

- Moi, je pense que vous l’aimez bien, un peu comme une petite sœur ou une amie à protéger., continue la voix.  

- Hmpf., souffle le mercenaire.  

- Vous pensez que Ryô et Kaori sont en couple ?, demande la voix.  

- Ce ne sont pas des choses qui me regardent…, élude Umibozu.  

 

Il a vu et senti des choses. Il faudrait être aveugle pour ne pas le voir mais ce ne sont pas ses affaires.  

 

- Cependant, je n’apprécie pas qu’il se décharge de ses responsabilités sur moi., ajoute-t-il.  

 

Le mensonge cache la fierté qu’il a ressentie à voir que la confiance était réciproque entre Ryô et lui. Il avait déjà fait appel à ses services après tout mais le nettoyeur ne l’avait jamais vraiment fait en retour et là il lui confiait en quelque sorte ce qu’il avait de plus précieux.  

 

- Il faut dire que le Renard d’Argent semble l’avoir pas mal bousculé., objecte la voix.  

- Pfff… Cet idiot… il pensait vraiment s’attaquer au numéro un ?, ricane le géant.  

- Vous êtes jaloux ? Parce qu’il s’est attaqué à Ryô et pas à vous ?, pointe la voix.  

- Je ne suis pas jaloux. Cet idiot manquait de clairvoyance !, gronde Umibozu.  

- Et vous seriez prêt à prendre quelqu’un à vos côtés comme Ryô ?, l’interroge la voix.  

- Moi, je suis un solitaire. J’ai besoin de personne à mes côtés., fait le géant, se levant.  

- Mais…  

 

Sans plus un mot, Umibozu sort de la pièce et s’en va, laissant son interlocuteur seul.  

 

- Tu peux y aller. J’ai fini., fait-il à Reika qui attend derrière la porte, une oreille collée contre le panneau.  

- Qu’est-ce qu’il t’a demandé ?, l’interroge-t-elle, perplexe, n’ayant rien entendu.  

- Des idioties., grommelle-t-il, lançant un regard aux personnes qui attendent encore derrière avant de les laisser.  

 

Ryô a comme l’impression que ces « idioties » le concernent et il n’est pas sûr de vouloir savoir mais il faut croire qu’il n’aura pas vraiment le choix. En fait, il va le prendre le choix : il se lève et se dirige vers la sortie mais est arrêté par le géant qui a prévu le coup.  

 

- Eh eh, tu ne t’échapperas pas. On doit tous y passer., ricane-t-il.  

- Pour une fois, ça aura été moi le premier… Ils ont du bon sens., ajoute-t-il avec un grand sourire.  

- Si ça peut te faire plaisir…, grommelle Ryô, tournant les talons et regagnant sa place, ignorant Kaori assise juste à ses côtés.  

- Alors Reika, ce partenariat avec Ryô ?, l’interroge la voix.  

- Bref… Trop bref… J’aurais bien aimé que ça dure plus longtemps…, soupire la détective, déçue.  

- J’imagine. Vous avez quand même pu taquiner Kaori pendant un moment en lui faisant croire que vous étiez déjà l’assistante de Ryô…  

- C’est vrai…, ricane la brunette.  

- C’était hilarant de la voir tenter de masquer sa jalousie. J’adore l’embêter., admet Reika.  

 

Kaori s’était défendue en disant qu’elle était juste venue récupérer des affaires et était montée dire au revoir à Ryô, que puisqu’il n’était pas là, il n’y aurait même pas droit avant de repartir au pas de charge.  

 

- Vous semblez continuer à courir derrière Ryô. Vous pensez avoir une chance avec lui ?  

- Pas la moindre mais bon, qui ne tente rien n’a rien, non ? Et peut-être qu’à force de les bousculer un peu, l’un des deux va bouger., fit-elle.  

- C’est vrai quoi ! Kaori, elle a eu le courage d’aller affronter le Renard d’Argent. Elle a demandé de l’aide à l’Eléphant, dévalisé l’armurerie de Ryô mais elle s’est débrouillée toute seule le moment venu… alors pourquoi elle ne trouve pas la force de confronter Ryô ? Cet idiot ne la fuit même pas lorsqu’elle dégaine une massue…, pipe-t-elle, exaspérée.  

- Et pour quelqu’un qui ne veut pas s’attacher et qui avait la possibilité de retrouver sa solitude, eh ben on peut pas dire qu’elle aura mis longtemps à le faire abdiquer…, ajoute-t-elle.  

- C’est étrange… J’avoue que je pensais que vous seriez jalouse mais en fait, vous ne l’êtes pas., constate la voix.  

- Pas du tout ! Je m’amuse… et puis je les aime bien tous les deux., conclut-elle.  

- Je suppose qu’il n’y a pas grand-chose à dire de plus.  

- Je ne pense pas non plus. Je vais juste continuer à m’amuser…, lui annonce Reika, se levant et sortant.  

 

Elle referme la porte et se retrouve confrontée à deux paires d’yeux curieux et une troisième impassible.  

 

- C’était fun. Bonne soirée !, leur dit-elle, les saluant de la main avant de partir.  

- Mais attends !, l’interpelle Saeko avant que la porte s’ouvre.  

- Je crois que c’est à toi., fait Ryô, faisant un geste du menton.  

 

L’inspectrice fronce les sourcils puis soupire avant de pénétrer dans la pièce, laissant les deux partenaires seuls. Pendant un moment, le silence se fait dans le couloir.  

 

- Tu crois qu’il se passe quoi là-dedans ?, demande Kaori à Ryô.  

- Je sais pas… Du vent certainement., répond-il, haussant les épaules.  

- Ah…, lâche-t-elle, un peu mal à l’aise.  

- Ryô, à propos de tout à l’heure…, commence-t-elle, baissant les yeux par gêne.  

- Alors Saeko, jalouse ou pas jalouse ?, lui demande la voix.  

- Ne vous trompez pas : j’ai bien utilisé ce mot mais j’ai surtout dit que tu vas finir par me rendre jalouse. Ce n’est pas pareil., répond-elle du tac au tac, croisant les jambes élégamment.  

- Que pensez-vous de ce qui s’est passé ?, l’interroge-t-on.  

- Et que s’est-il passé ?, lui retourne-t-elle nonchalamment..  

 

Le silence se fait un instant dans la salle. N’en laissant rien paraître, l’inspectrice se demande quelle sera la suite. Peut-être a-t-elle réussi à tuer dans l’œuf toutes les questions restantes…  

 

- Ryô qui se confesse sur ses erreurs et ce que vous en avez conclu., résume la voix, visiblement amusée.  

- Je ne vois pas de quoi vous parlez. Les confidences que l’on me fait restent entre mes amis et moi. Je n’ai rien de plus à ajouter., lui apprend-elle, se levant.  

- Une dernière question… Vous auriez pu simplifier votre relation avec Ryô en le poussant à exclure Kaori. Pourquoi ne l’avez-vous pas fait ?  

- Ca, je vous laisse le deviner., fait-elle, sortant de là.  

- Tout à l’heure…, murmure Ryô.  

- On en parlera plus tard., répond-il.  

- C’est à toi., lui annonce-t-il.  

 

Après un dernier regard mais sans un mot, Kaori se lève et entre dans la pièce. Anxieusement, elle regarde les lieux et va s’asseoir sur la chaise éclairée.  

 

- Alors ?, demande le nettoyeur à son amie.  

- Alors quoi ? Je n’avais rien à dire…, lui répondit-elle.  

- Je t’ai quand même dit des choses dans le parc…, objecte-t-il.  

- On s’est parlés dans le parc ? Vraiment ? Je n’en ai pas souvenir., fait-elle, lui faisant un petit signe de la main et s’en allant.  

 

Soulagé que certaines choses soient restées tues, il s’adosse à son siège, regrettant de ne pouvoir allumer une cigarette. Les choses ont changé depuis quelques heures et il ne sait pas encore dire si c’est en bien ou en mal. Jetant un regard vers la porte, il se demande ce qui se trame à l’intérieur, les questions posées à Kaori.  

 

La jeune femme cherche un moment qui peut bien être celui qui les interroge tour à tour, ce qu’il peut bien leur vouloir, la raison derrière tout ça…  

 

- Bonjour Kaori., entend-elle soudain.  

- Bon… Bonjour., répond-elle.  

- Alors Kaori, cette petite confrontation avec le Renard ?, commence la voix.  

- C’était… pfiou… indescriptible…, admet-elle.  

- Et avec Ryô ?, continue son interlocuteur.  

 

Kaori baisse les yeux, observant ses pieds avec beaucoup de concentration. Les confrontations avec Ryô… indescriptibles également. Il y avait eu tellement de choses dites, faites voire tues qu’elle avait encore besoin de temps pour tout démêler. Il y avait eu la colère, la douleur, l’espoir, la fierté et il y avait eu…  

 

- Que lui as-tu répondu ?  

 

Elle lève le regard vers son partenaire, se rappelant qu’ils sont maintenant rentrés chez eux, dans leur appartement.  

 

- Que c’était comme d’habitude, que rien n’avait changé…, murmure-t-elle, lui adressant un regard incertain.  

 

Il lui sourit et lève la main, effleurant à peine sa joue.  

 

- On peut dire que dans un certain sens… ce n’est pas faux., admet-il.  

- Tu m’as encore frappé avec ta massue., lui fait-il remarquer.  

- Mais… ce n’est pas vrai non plus, n’est-ce pas ?, pipe-t-elle.  

 

Elle repense à tous ces mots qui sont sortis de sa bouche.  

 

- Mais bien sûr tu es belle, tu es très belle…, lui avait-il dit quand il lui avait montré sa photo sur le mur des célébrités de Shinjuku.  

 

Certes, il lui avait sorti une vanne juste après mais, pendant quelques secondes, elle y avait cru et encore maintenant, elle avait un doute sur la véracité de ses paroles. Elle sentait qu’il y avait du vrai là-dessous tout comme il avait vraiment eu peur pour elle lorsque cette balle avait cassé son talon.  

 

Elle lève les yeux vers lui et l’observe. Que se serait-il passé si elle avait accepté tout de suite d’être sa petite amie, ne lui laissant pas le temps de sortir une nouvelle blague ? Comment aurait-il réagi ?  

 

- Chaque jour, quelque chose change, Kaori…, lui dit-il, énigmatique.  

 

Après tout, elle n’aurait pas dû être là. Il se souvient parfaitement de ce qu’il a dit à Saeko : qu’il la sauverait et qu’après ce serait fini. Même lorsqu’elle est rentrée après sa confrontation avec le Renard, il voulait encore la faire partir mais il n’a rien fait lorsqu’elle s’est imposée. Il est fier d’elle, vraiment très fier de ce qu’elle a accompli, se dépassant pour lui prouver qu’elle était digne de lui. Elle lui a dit qu’elle voulait le voir finir sa vie pitoyablement parce qu’il n’était qu’un pervers qui courait les filles. Mensonge ou vérité ? Il opte pour la première solution parce que la revanche n’est pas dans la nature de Kaori.  

 

- Je ne te parle pas de chaque jour ou des petites choses !, s’offusque-t-elle.  

- Je… Je te parle… de…, fait-elle avant de soupirer.  

- Laisse tomber., renonce-t-elle, lui tournant le dos pour lui cacher son désarroi.  

 

Il la regarde, se demandant quoi faire. S’il avance, ne le regrettera-t-il pas lorsque la pression retombera ? D’un autre côté, la voir comme cela est tout aussi difficile. D’un simple pas, il approche d’elle et pose une main sur son épaule.  

 

- La femme qui a battu le Renard d’Argent baisse les bras aussi facilement ? Es-tu sûre de bien être Kaori Makimura ?, lui demande-t-il, moqueur.  

- Laisse-moi voir… Tu ne porterais pas un masque à tout hasard ?, fait-il, pinçant ses joues et les tirant.  

- Hey !!! Ca fait mal !, se plaint-elle tout en riant.  

 

Ce faisant, elle se tourne vers lui. Les yeux dans les yeux, ils s’observent et se jaugent un moment avant que leurs corps se rapprochent encore un peu.  

 

- Ryô…, murmure Kaori.  

 

Il pose les doigts sur son visage et le contourne.  

 

- Il y a des choses que je t’ai dites qui étaient vraies., chuchote-t-il.  

- Et certaines choses qui allaient se passer ?, l’interroge-t-elle à mi-voix.  

 

Il la regarde et lui sourit complice avant de se pencher vers elle. Au même moment, la porte s’ouvre brusquement.  

 

- Quoi encore ?!, gronde-t-il, s’écartant de sa partenaire.  

 

Ils sont de nouveau interrompus au même moment que quelques heures plus tôt.  

 

- Tu es le Renard d’Argent ! Avoue-le !, criait Kaori, le poursuivant avec une massue.  

- Je te dis que tu as de belles fesses et c’est tout ce que tu trouves à dire ?, rétorqua-t-il, fuyant pour une fois.  

- Tu as de belles fesses, qu’est-ce que j’y peux ?!, ajouta-t-il.  

- Ryô ne me dit jamais ça ! J’ai des fesses trop épanouies selon lui !, répondit-elle, déterminée à l’exterminer.  

- Et si pour une fois je te disais la vérité ?, répliqua-t-il, s’arrêtant et lui faisant face.  

 

Prise par l’élan, elle lui rentra dedans et il l’entoura de ses bras.  

 

- Lâche ta massue et essaie d’enlever mon masque… Ou alors regarde-moi, Kaori. Tu me connais, non ?, fit-il, sérieux.  

 

Elle le fit. Elle resta un long moment plongée dans son regard et sa massue disparut… comme quoi c’était possible, se dit Ryô. Ce fut cependant sa dernière pensée cohérente du moment. Sa proximité, son odeur, sa chaleur, son cœur qui battait contre le sien… tout cela lui fit perdre tout sens de la réalité et il se pencha sur elle. Leurs lèvres allaient se toucher lorsque la porte s’ouvrit et un homme inconnu les força à le suivre jusqu’à ce couloir où ils retrouvèrent leurs amis.  

 

- C’est moi., répond Umibozu.  

- Je suis venu réparer la porte., lui apprend-il, se détournant d’eux.  

- Moi, j’ai à faire., annonce Ryô, s’en allant.  

- Mais…, pipe Kaori, surprise.  

- Chaque jour, Kaori… chaque jour…, fait-il, lui adressant un clin d’œil.  

 

Elle ouvre la bouche pour répondre mais finit par la refermer laissant un sourire éclairer ses traits.  

 

- Alors ?  

- Difficile d’en savoir beaucoup de leur par à tous., indique la voix, sortant de l’ombre.  

- Aucun n’a craqué, on ne saura jamais où ils en sont tant qu’ils n’auront pas décidé de nous le faire savoir.  

- Mince… pourtant le scénario était bien ficelé. Bon, on réessaiera peut-être une prochaine fois.  

- Ouais, t’as raison. N’empêche, voir ses idoles en face, c’est génial !, s’extasia le fan de City Hunter.  

- Oh ouais ! Trop la classe !, affirma son ami. 

 


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