Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prose

 

Auteur: Mercury80

Status: En cours

Série: City Hunter

 

Total: 77 chapitres

Publiée: 14-04-21

Mise à jour: 17-04-24

 

Commentaires: 31 reviews

» Ecrire une review

 

GeneralHumour

 

Résumé: Que se passe-t-il quand le générique de fin apparaît après la fin d'une mission ? Entrons dans ces moments cachés

 

Disclaimer: Les personnages de "Après le clap de fin" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Astuces & Conseils

Comment changer son pseudo?

 

Je n'autorise pas les gens à changer leur pseudo en ligne, mais je peux le faire si vous me contacter en me donnant votre ancien pseudo et votre mot de passe (question de securité) et ce quelque soit les changements (mettre une majuscule au début du pseudo, changer l'orthographe,...) Cela ne me prendra que quelques secondes.

 

 

   Fanfiction :: Après le clap de fin

 

Chapitre 69 :: Chapitre 69

Publiée: 09-03-24 - Mise à jour: 09-03-24

Commentaires: Bonsoir, Voici l'épisode suivant des claps de fin. Il n'est pas très long. Il prend place à la suite de l'épisode où Saeko se plonge personnellement dans une affaire après avoir assisté à l'explosion d'une voiture piégée dans laquelle une petite fille qui l'avait bousculée a été blessée. Bonne lecture et merci pour vos commentaires ^^

 


Chapitre: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75


 

Chapitre 69 : Episode 81 : Le cadeau de Saeko pour la petite fille.  

 

- Sérieux ?! Je m’en vais juste comme ça ?! Je n’essaie même pas de marchander une petite rémunération, un coup, même pas un petit bisou ?, s’exclame Ryô, les yeux exorbités, revoyant la scène finale où il part de l’hôpital après avoir vu Saeko avec la petite fille.  

- Mais tu veux me faire passer pour qui ? Le prince charmant ? Mister Gentleman ? Je suis un pervers, un noceur, un dragueur, le mec qui bande à tout va !, s’écrie-t-il, s’arrachant les cheveux.  

- Elle t’a payé combien pour que tu acceptes d’écrire une fin comme ça ? A toi aussi elle t’a fait le coup des tickets à coup déchirés, de la mission arrachée sous le coup de l’ébriété ? Hein, dis-moi !, hurle le nettoyeur, attrapant le pull de son interlocuteur comme pour le secouer.  

- Ryô, elle ne peut pas me saouler. C’est moi qui dessine vos scènes…, lui fait remarquer l’auteur, un certain Tsukasa Hojo.  

 

L’homme remonte ses lunettes sur son nez et gomme les mains de son personnage de son haut. Celui-ci lui lance malgré tout un regard noir avant de se laisser tomber sur sa chaise.  

 

- Non mais quand même, t’as pas été sympa avec moi sur ce coup-là. Je me fais promettre une soirée en compagnie de la magnifique Saeko qui me promet encore une fois, et je dis bien ENCORE UNE FOIS et il y en a déjà eu des encore une fois, de me payer tous ses arriérés et il y en a un paquet… mais tu le sais mieux que moi, non ?, soupire le nettoyeur.  

- Elle s’est mise sur son trente-et-un et je l’emmène pas n’importe où quand même. Madame me fait un petit caprice pour que JE lui offre un verre… non mais si c’est pas culotté ça. JE lui offre un verre alors que c’est ELLE qui a une dette envers moi. Enfin, bref, je m’égare. Je vais gentiment lui chercher son cocktail et, quand je reviens, Madame me jette comme un malpropre et je me fais insulter par ce casanova à la noix qui parlait comme un catalogue de bonnes manières. Oh putain, il était à mourir de rire celui-là quand même., ricane-t-il finalement.  

 

Parti dans sa diatribe, il ne remarque même pas que son interlocuteur ne l’écoute pas et dessine de nouveau la suite des aventures.  

 

- C’est une sacrée manipulatrice cette Saeko quand même… Quoique pour une fois, on l’a vue sous un meilleur jour avec cette histoire de petite fille. C’est qu’elle aurait un cœur comme les autres en fait., réfléchit Ryô à voix haute, se grattant… est-il besoin de préciser l’endroit ?  

- Comme toi., lui retourne Tsukasa.  

- Ah ah ah ! Elle est bonne celle-là. Ouais, moi j’ai un cœur gros comme ça !, affirme le nettoyeur, bondissant sur ses pieds en arborant un magnifique coucou… jusqu’à ce qu’il soit gommé par son auteur qui le remplace par un cœur sortant de sa poitrine.  

- Quoiiiiiiii ! Déconne pas, remets-moi celui du bas. Tu veux vraiment me faire perdre toute crédibilité ! Je suis un dur moi !, lui reproche son sujet, furieux.  

- Tu te souviens ? Je suis le gamin échoué dans la jungle à trois ans, recueilli par des guérilleros etc etc. Tu files un mauvais coton, Tsu. Si tu continues comme ça, je vais me retrouver maquer avec Kaori. Tu imagines la scène ?!, ironise-t-il.  

- Vous faites… feriez un beau couple., lui fait remarquer le dessinateur, essayant de ménager la susceptibilité de son héros.  

 

Il gomme le verre d’eau que Ryô tient à la main et s’évite ainsi de se retrouver trempé après qu’il lui ait craché le liquide à la figure. Il connaît cette blague-là, il la garde pour une autre scène…  

 

- Tu… Tu veux ma mort ?, lui retourne le nettoyeur, blême.  

- Si encore… mettons, on envisage la chose… de manière parfaitement hypothétique s’entend… je ne dis pas du tout que c’est ce qui doit se passer… hein, on est d’accord ?… Donc si on envisage un… elle et moi… toujours dans l’éventuelle potentialité d’une éventualité peu probable d’un rapprochement… J’ai déjà dit éventuel ?, l’interroge-t-il, anxieux.  

- Oui, tu l’as dit et suggéré à plusieurs reprises, Ryô., répond patiemment Maître Hojo.  

- Bon, donc dans la très peu voire infinitésimale probabilité qu’on… (déglutissement pénible) finisse ensemble, tu penseras à lui enlever sa massue ? Parce que, dans le cas contraire, je serai mort avant même de l’avoir embrassée et ce n’est même pas la peine d’envisager que l’on tire un coup., conclut le nettoyeur, se voyant déjà mort, entassé sous plusieurs couches de massues gigantissimes et à côté sa partenaire rouge vermillon si elle ne s’est pas tout simplement auto-embrasée à l’idée de ce qui aurait pu se passer.  

- Et pense aussi à lui retirer toute arme à feu des mains, surtout toutes celles du genre automatiques, mitrailleuses et autres parce qu’elle a juste failli nous transformer en passoire Saeko et moi et ça serait dommage avant qu’on ait pu tirer un coup., lui fait-il remarquer.  

- Tu veux dire dans l’infinitésimale probabilité que vous finissiez ensemble ?, souligne le dessinateur.  

- Merde…, grommelle le nettoyeur dans sa barbe, ayant oublié sa retenue.  

- Oui, bien évidemment… C’est pas comme si j’avais envie de l’embrasser…, fait-il, s’imaginant approcher sa partenaire, la saisir par la taille, effleurer puis prendre ses lèvres, envahir sa bouche puis…  

 

Des images défilent dans sa tête, provoquant une réaction explosive en dessous de la ceinture du nettoyeur qui réalise soudain la déviation dangereuse de ses pensées.  

 

- Je devrais la virer ! Ouais c’est ça ! Je devrais la virer parce que franchement, quelle idée de s’accrocher à la voiture des voleurs de banque pour récupérer une poignée de billets…, se reprend-il de justesse.  

- Tu aurais aussi pu me dire que tu parlais de Saeko et toi et non de Kaori et toi…, lui fait remarquer son interlocuteur, un sourcil levé.  

 

Ryô relève les yeux et regarde, incrédule, l’auteur. Il n’en revient pas de son manque de jugement. Il se voit dans une petite bulle creusant sa tombe avant de s’y jeter. Nerveux, il se lève et commence à faire les cent pas avant de venir s’appuyer sur la table non loin de Tsukasa Hojo.  

 

- Si tu parles de ça à qui que ce soit, je te…, commence-t-il à le menacer.  

- Tu quoi, Ryô ?, lui retourne l’auteur sans lever les yeux de son dessin.  

- C’est moi qui te dessine., lui rappelle-t-il.  

- Tu ne peux me faire ce que tu veux. Tu fais ce que JE veux. Alors s’il me prend l’envie de te dessiner en tutu, tu te retrouves en tutu., lui fait-il savoir.  

 

Au même moment, le nettoyeur se retrouve à faire des pointes en joli tutu blanc, les bras en l’air en cercle.  

 

- Arrête tes conneries !, hurle-t-il, faisant une magnifique arabesque.  

 

D’un coup de gomme et quelques coups de crayon, le nettoyeur retrouve son allure habituelle.  

 

- C’est pas juste ! Je n’ai même pas mon mot à dire !, chouine le héros, assis en tailleur par terre.  

- Effectivement, puisque c’est également moi qui écris tes dialogues…, se moque l’auteur.  

- Et si je te dis que le prochain épisode sera plus à la hauteur de ta réputation, ça te console ?, lui demande-t-il, ayant un peu pitié de son personnage.  

- Dans le genre ?, s’intéresse ce dernier.  

- Tu verras… mais je suis sûr que tu apprécieras. Alors on oublie toute cette discussion et on continue ?, lui propose le dessinateur.  

 

Il croise un regard suspicieux mais hausse les épaules avant de se pencher sur sa feuille et, soudain, le nettoyeur se met à hocher la tête et dire d’accord.  

 

- Eh ! C’est pas du jeu ! Tu me fais un coup à la Saeko ! Tu m’obliges à faire des trucs que j’ai pas envie, à accepter une mission dont je ne connais pas les tenants et aboutissants. Ca ne va pas se passer comme ça !, lui promet-il.  

- D’accord, Ryô., admet l’auteur.  

- Alors voilà ce que je peux te dire. Dans le prochain épisode, il y aura une intrigue dont tu seras le héros, une jolie fille à protéger, un méchant qui ne ressemble pas à un méchant et de l’émotion… de l’action, je veux dire., lui explique-t-il.  

- De l’action ? Ca me plaît bien. Dis… Je vais enfin pouvoir tirer un coup avec Saeko ?, lui demande le nettoyeur intéressé.  

- Je ne peux pas tout te dire, Ryô… Juste que ça va bouger pour toi., fait l’auteur prenant un air mystérieux.  

 

Le nettoyeur le contemple un moment avant de se détendre.  

 

- Ok… Je te laisse finir ton boulot… mais déconne pas. Et n’oublie pas de désarmer Kaori. Elle va finir par me blesser avec ses conneries. Manquerait plus qu’elle me castre…, lâche Ryô, frissonnant d’horreur.  

- Ne t’inquiète pas, je gère…, lui promet Tsukasa avec un fin sourire.  

 

Il vient de lui donner une idée… Ca pourrait même être une très bonne occasion… En ayant fini pour la journée, il referme son carnet à dessin, éteint la lumière et quitte la pièce. 

 


Chapitre: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75


 

 

 

 

 

   Angelus City © 2001/2005

 

Angelus City || City Hunter || City Hunter Media City || Cat's Eye || Family Compo || Komorebi no moto de