Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prose

 

Auteur: Mercury80

Status: En cours

Série: City Hunter

 

Total: 77 chapitres

Publiée: 14-04-21

Mise à jour: 17-04-24

 

Commentaires: 31 reviews

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GeneralHumour

 

Résumé: Que se passe-t-il quand le générique de fin apparaît après la fin d'une mission ? Entrons dans ces moments cachés

 

Disclaimer: Les personnages de "Après le clap de fin" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Astuces & Conseils

Comment changer son pseudo?

 

Je n'autorise pas les gens à changer leur pseudo en ligne, mais je peux le faire si vous me contacter en me donnant votre ancien pseudo et votre mot de passe (question de securité) et ce quelque soit les changements (mettre une majuscule au début du pseudo, changer l'orthographe,...) Cela ne me prendra que quelques secondes.

 

 

   Fanfiction :: Après le clap de fin

 

Chapitre 16 :: Chapitre 16

Publiée: 18-08-21 - Mise à jour: 18-08-21

Commentaires: Bonjour, voici l'épisode suivant. Bonne lecture et merci pour vos commentaires^^

 


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Chapitre 16 : Episode 16 : L’hôtesse de l’air.  

 

- Y a pas à dire : c’est un sacré numéro ton amie Emmanuelle…, pipe Ryo, les bras croisés derrière la nuque.  

- Ah ça… Elle a toujours été très… entourée., rit Kaori légèrement.  

- Pas trop déçu de ne pas avoir visité Paris avec elle ?, lui demande-t-elle, lui glissant un regard ironique.  

- Bof… On est bien ici, non ?, fait-il négligemment.  

 

Dire qu’il était monte dans un de ces engins de la mort juste pour les beaux yeux d’une fille… Non mais qu’est-ce qu’il lui a pris ??!  

 

- Quand je pense que tu n’as même pas essayé de te battre pour rester exclusivement avec elle… Je suis sûre qu’elle aurait apprécié mais ta récompense n’aurait peut-être pas été à la hauteur de tes efforts…, ricane-t-elle, remettant un peu d’ordre dans l’appartement.  

- Vraiment ? Pourquoi ?, s’étonne-t-il.  

- Parce qu’elle adore s’entourer d’une cour et plus grande elle est, mieux c’est mais jamais elle ne restera seule avec un homme, surtout la nuit., lui apprend-elle.  

- Vraiment ? Jamais jamais ?, réplique-t-il.  

- Jamais jamais non mais celui avec qui elle restera aura quelque chose en plus qu’elle partagera.  

- Quoi ?  

- Une alliance. Elle s’est promis de n’avoir qu’un seul amant : son mari., affirme-t-elle.  

- Peut-être que mon charme légendaire aurait agi et qu’elle aurait accepté de passer la nuit avec moi sans la bague au doigt., se targue-t-il.  

 

Elle l’observe et secoue la tête, sûre d’elle.  

 

- Je l’ai quand même vue en petite tenue, juste habillée d’une serviette…, se vante-t-il.  

- Quand ça ?, s’étonne Kaori.  

 

Ryo se rend soudain compte de l’impair qu’il vient de commettre.  

 

- Ah ah… c’était une blague… c’était pour voir si tu suivais…, rétorque-t-il, hilare.  

- Quand as-tu vu Manu en si petite tenue ?, insiste-t-elle, le regard plissé, avançant vers lui.  

- C’était une blague, Kaori. Une blague., se défend-il, sentant l’aura devenant familière monter et l’entourer.  

 

Elle s’immobilise, le scrute puis se tourne pour vaquer à ses occupations.  

 

- Pfiou… Je l’ai échappé belle., murmure-t-il, ne prêtant pas attention à sa partenaire qui s’est à nouveau arrêtée.  

- Pendant que je me faisais enlever., annonce soudain Kaori.  

- Quoi ?, lâche-t-il, tiré de ses réflexions par ses mots.  

- Tu étais avec Manue à l’hôtel pendant que je me faisais enlever par ces terroristes. C’est à ce moment-là que tu l’as vue en serviette… J’en reviens pas : tu as profité que je servais d’appât pour aller la draguer !, se fâche-t-elle.  

 

Tétanisé par la puissance de la colère de la rouquine, le nettoyeur ne peut qu’observer la massue estampillée « sale opportuniste fainéant » qui s’abat sur sa tête et l’enfonce dans le canapé.  

 

- J’en reviens pas… J’étais en danger pendant qu’il draguait…, maugrée-t-elle, partant en cuisine pour y trouver un peu de calme loin de son imbécile de partenaire.  

 

D’énervement, elle se met à frotter les meubles qui n’en ont pas vraiment besoin.  

 

- Tu te rappelles quand même que tu n’étais pas vraiment en danger ?, entend-elle soudain de l’entrée de la pièce.  

 

Elle s’arrête et se tourne vers Ryo, appuyé au chambranle de la porte. Elle se souvient de l’émetteur qu’il avait placé sur le revers de son col de chemisier et aussi de la façon dont il l’a attrapée pour l’entraîner à l’abri des caisses qui tombaient.  

 

- Je… oui… Je sais… Je ne t’ai même pas remercié, il me semble., se rappelle-t-elle, un peu gênée.  

- Pas besoin, entre partenaires, c’est normal…, élude-t-il.  

- Sinon, tu ne m’as pas dit où vous vous êtes rencontrées Emmanuelle et toi ?, l’interroge-t-il.  

- Non, c’est vrai. C’était au lycée. Nous étions en cours de langues ensemble., lui apprend-elle, se remémorant leur rencontre quelques années en arrière.  

- Elle m’avait alpaguée pendant l’été précédent en pensant que j’étais un garçon. Quand on s’est revues quelques mois plus tard, ça nous a bien fait rire et on est devenues amies., lui explique-t-elle.  

- Ryo ? Ryo, tu m’écoutes ?, lui demande-t-elle alors qu’il semble figé comme en transe.  

 

En effet, le nettoyeur est resté bloqué aux mots « cours de langues » qui, dans son esprit quelque peu mokkori centré, prend une toute autre allure que la réalité. C’est un torchon humide reçu en plein visage qui le ramène à ladite réalité.  

 

- Tu baves sur le sol. Le cours de langues n’a rien à voir avec un cours d’éducation sexuelle, je te rappelle…, lui fait-elle savoir.  

- Parce qu’il y a aussi des cours d’éducation sexuelle ?, fait-il, incrédule.  

- Mais tu as été où au lycée ?, lâche-t-elle soudain.  

- Si j’avais su, j’y serais allé au Japon., répond-il du tac au tac, affichant un sourire moqueur.  

- Tu y es allé…  

- Tu as d’autres amies que tu côtoies encore ?, la coupe-t-il sans paraître gêné le moins du monde.  

 

Tout sauf affronter les questions sur son passé à nouveau et, s’il peut éviter la massue cette fois, il ne s’en privera pas, se dit-il. Kaori l’observe un instant, surprise, puis se reprend.  

 

- Oui, quelques-unes mais toutes ne sont pas comme Manue., répond-elle.  

- Elles ne sont pas toutes aussi jolies ?, s’intéresse-t-il, s’attirant un froncement de sourcils.  

- Je ne suis pas la meilleure juge en la matière…, pipe-t-elle.  

- Certains diraient que oui., ose-t-il, s’attirant cette fois un regard noir.  

- Le cercle de mes amis est très éclectique…, lui fait-elle savoir simplement.  

- Oh… et il comporte des hommes aussi ou juste un tas de filles ?, rétorque-t-il.  

- Bien sûr ! Nous ne sommes pas sectaires !, réplique-t-elle.  

- Et il comporte des petits amis ou ex-petits-amis ?, l’interroge-t-il, approchant d’elle tel un félin.  

 

Kaori se sent rougir et se concentre exagérément sur une petite trace de café restée sur le plan de travail.  

 

- Ca… Ca ne te regarde pas., bafouille-t-elle.  

- Ca m’intéresse pourtant., lui répond-il d’une voix suave.  

- Il… Il n’y a jamais eu qu’un garçon qui m’intéressait mais il était en dehors de notre cercle., avoue-t-elle, prenant son courage à deux mains.  

- Je le connais ?  

 

Elle ouvre les lèvres, prête à lui avouer l’inavouable. Elle sent son odeur qui l’entoure, sa chaleur qui émane de son corps et tout son être se tend vers cet homme.  

 

- Je dois savoir à quoi ressemble la concurrence après tout. Si un jour je rencontre tes amies, il faudra que j’ai tous les atouts dans ma manche., lâche-t-il.  

 

Une libellule lui tombe sur la tête, la ramenant à la réalité, la dure réalité lui rappelant à quel genre d’hommes elle a à faire.  

 

- Comme si j’allais te présenter mes amies ! Si ça arrive, tu me présenteras les tiens. Dans le lot, ça ne devrait pas être difficile d’en trouver un plus respectable que toi !, lui lance-t-elle, furieuse.  

 

Ryo regarde en l’air, réfléchissant tout en se grattant le menton.  

 

- En fait… j’en doute… sincèrement…, avoue-t-il.  

- Tu veux dire qu’ils sont tous aussi pervers que toi ?, s’étrangle-t-elle.  

- Chaque être est unique, ma chère Kaori. Tout le monde ne peut pas être aussi parfait que moi., lance-t-il, s’en allant avec un sourire narquois.  

- Parfait, parfait… Je vais lui coller la définition du mot parfait sur la prochaine massue, moi. Il comprendra peut-être qu’il est loin de l’être…, maugrée-t-elle.  

- Comme si j’avais envie de connaître ses amis de toute manière…, marmonne-t-elle, se remettant à frotter un plan de travail nickel par énervement. 

 


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