Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prose

 

Auteur: Mercury80

Status: En cours

Série: City Hunter

 

Total: 77 chapitres

Publiée: 14-04-21

Mise à jour: 17-04-24

 

Commentaires: 31 reviews

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GeneralHumour

 

Résumé: Que se passe-t-il quand le générique de fin apparaît après la fin d'une mission ? Entrons dans ces moments cachés

 

Disclaimer: Les personnages de "Après le clap de fin" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Astuces & Conseils

Comment faire un jeu dont vous êtes le héros?

 

Il y a un lien tutorial qui peut vous aider. Tutorial

 

 

   Fanfiction :: Après le clap de fin

 

Chapitre 52 :: Chapitre 52

Publiée: 02-08-23 - Mise à jour: 02-08-23

Commentaires: Bonsoir, c'est le retour des claps de fin. J'étais restée coincée sur cet épisode sur lequel je n'arrivais pas à enchaîner et les évènements concomitants ne m'ont pas aidée. Mais aujourd'hui, je reprends la publication de cette fic. Voilà, le ton se veut toujours léger. J'espère que vous prendrez plaisir à ce petit aparté. Bonne lecture et merci pour vos commentaires^^

 


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Chapitre 52 : Episode 58 : la fille des cocotiers et le paradis de l’amour.  

 

- Sérieusement, c’était quoi ce scénario ?, peste Ryô.  

 

Les deux autres protagonistes acquiescent tout aussi sceptiques, relisant à nouveau le document de long en large.  

 

- Ca commence par une scène en avion mais tous ceux qui ont lu le manga savent que j’ai horreur de l’avion et cette fois-ci, Kaori n’est même pas en danger au départ…, grommelle-t-il.  

- Pourquoi ? Ca change quoi si je suis en danger au départ ?, l’interroge sa partenaire, surprise.  

- Quoi ? Oh rien… Ca change rien. C’est juste que je dois te sauver les miches… pour ton frère quoi… pourquoi je le ferais sinon ?, se défend-il, riant jaune.  

- Ah bah ça, on se le demande bien…, peste-t-elle à son tour.  

 

Un soupir ennuyé les ramène à la réalité.  

 

- Quoi ? C’est vrai. Et puis, je l’ai quand même portée sur mon dos pour atteindre le rivage., réplique Ryô, pointant vers la jeune femme.  

- Oui, ben c’est pour ça qu’on t’a fait un dos large et musclé, non ?, lui fait-elle remarquer, luttant sans y arriver contre le rougissement qui la prend.  

- Et il a l’air de te plaire ce dos… Tu n’avais pas envie d’en décoller., insiste-t-il, narquois.  

 

Ca lui plaît de lui plaire et d’en avoir la preuve. Il ne s’en prive pas et ne le fera certainement jamais.  

 

- J’étais juste fatiguée… et toi aussi jusqu’à ce que tu entendes la fille en détresse., lui assène-t-elle d’une voix aigre.  

- Vous vous plaignez mais au moins, on sait comment vous êtes arrivés. Moi, je débarque comme un cheveu sur la soupe…, commence Umibozu.  

- Une touffe de cheveux plutôt., raille le nettoyeur.  

- Et j’imagine que je suis arrivé comme je suis parti, dans un bateau gonflable à la rame… Franchement, il ne pouvait pas me faire rentrer avec vous dans un bateau à moteur puis un vrai bateau. Pourquoi je dois toujours avoir l’air d’un ermite ?, fait savoir le géant.  

- Umimi se plaint ? Tu fais autre chose que grogner et umpfer ?, ironise Ryô.  

- Umpfer ?, reprend Kaori, un sourcil levé.  

- Moi aussi je suis capable de créer des néologismes., se targue son partenaire, sautant sur les épaules de son compère.  

- Allez mon Umichouchou, ne t’inquiète pas, je suis sûr qu’un jour, tu auras plus de réplique. Tu voudrais peut-être aussi une petite femme pour te tenir chaud la nuit, non ?, le taquine-t-il, le câlinant sans aucune douceur.  

 

Le géant ne se laisse pas faire mais son tourmenteur est encore plus accroché qu’une moule à son rocher (ironique pour un poulpe, non?).  

 

- On va en parler à TsuTsu. Je t’aurais bien proposé Kaori mais, tu sais bien quoi, ce n’est pas une femme., lâche le nettoyeur, amusé.  

 

Là où la force d’un géant musclé n’a pas suffi, la massue abattue par une petite rouquine parvient à déloger le mollusque envahisseur. La fureur kaorienne est si intense qu’il se sent presque cuire sur place.  

 

- Pas une femme ? Peut-être que, si tu m’offrais le même type de maillot de bains qu’Alicia, tu te rendrais compte que je suis une vraie femme !, hurle-t-elle, excédée.  

 

Il se souvient de la petite chose jaune et rose qu’il a offerte à la jeune femme et l’imagine sur sa partenaire. Il déglutit péniblement et se maîtrise difficilement pour ne pas faire mokkori devant elle. Le ricanement amusé d’Umibozu ne l’aide pas vraiment.  

 

- Ouais. Tu ne le porteras jamais aussi bien qu’Alicia…, lâche-t-il pour tenter de conjurer le sort.  

- Là aussi, le scénario laissait un peu à désirer. Elle vivait depuis plusieurs années sur cette île toute seule… Elle avait pas l’air un peu trop jeune selon vous ?, fait remarquer Kaori.  

- Elle me plaisait bien., répond Ryô, prenant un air rêveur.  

- A quoi je devais m’attendre… Remarque, tu aurais pu me refaire la rengaine du « j’ai toujours vingt ans »…, soupire Kaori.  

- Mais j’ai toujours vingt ans !, s’enorgueillit le nettoyeur, bombant le torse.  

- Tu as toujours vingt ans, moi je vieillis et Umi… T’as quel âge au fait ?, l’interroge-t-elle, curieuse.  

- Umpf !, est la seule réponse que formule ce dernier.  

- T’inquiète, on va vraiment en parler à Tsutsu…, compatit le nettoyeur, tapant sur son épaule.  

 

Il se retrouve la tête la première dans le mur qui apparaît soudainement.  

 

- La joie des mangas…, grommelle-t-il.  

- Ah oui ! Ca c’était trop top : j’ai transformé une poêle en massue !, s’exclame soudain la rouquine, excitée.  

- Ben quoi ? Je me retrouvais encore une fois à me battre contre des méchants pas beaux qui tirent des boulettes avec une arme dérisoire. J’ai quand même le droit d’être contente d’avoir fait un tel exploit, non ?, se défend-elle.  

- Il faut vraiment être dans un manga pour entendre des trucs pareils., réplique Ryô, posant le menton sur une main d’un air peu convaincu.  

- Je n’ai même pas eu le droit à ma nuit de débauche sous les sunlights de Tokyo., se plaint-il.  

- Nigthligths tu veux dire., le corrige sa partenaire.  

- Hein ?,  

- Les sunlights c’est pour la journée alors pour la nuit, ça devrait être les nightligths., explique Kaori.  

 

Les trois se regardent avant d’éclater de rires.  

 

- Franchement, où on en arrive ? Tout ça pour un manga…, pipe Ryô.  

- Debout tout le monde. Il est temps d’aller parler au grand chef et d’arranger tout ça., leur apprend-il.  

 

Comme un seul homme, ils se dirigent vers le bureau marqué T. HOJO et y entrent sans même y avoir été invités.  

 

- Il est temps qu’on parle, Tsutsu., lui annonce le héros du manga.  

- Je sais Ryô, il est temps que les choses bougent entre Kaori et toi., lui promet le réalisateur.  

- Hein ! Quoi ! Mais non ! On… on était juste venir te dire à quel point on a adoré le dernier scénario. C’était frais, vivifiant et un grand bol d’air frais, ça ne fait jamais de mal à personne, n’est-ce pas ?, s’écrie le personnage.  

- N’est-ce pas ?, insiste-t-il, se tournant vers ses deux compères.  

- Et puis, c’est bien de laisser des choses à l’imagination du spectateur… et il ne faut pas aller trop vite. Pour une fois, notre petite Kaori n’a pas eu trop de travail et Umimi, une large part dans l’action. Non, franchement, c’était top ! Super ! Ne change rien ! Allez vous deux, on y va ! Franchement, je vous jure, venir embêter le chef alors qu’il bosse sérieusement !, les houspille-t-il, entraînant Kaori et Umibozu dehors.  

- Eh Tsutsu…. Pardon, je veux dire mon cher maître, ne change rien. Ce n’est jamais bon de se presser !, lui conseille le grand brun aux yeux gris, venant refermant la porte avant de partir, poussant ses deux acolytes pour être sûrs qu’ils ne retournent pas revendiquer.  

- Il a dû attraper une insolation, le Ryô… Remarque, j’aurais peut-être pu le mettre en caleçon de bain…, pense soudain le dessinateur de notre chouchou.  

 

Nous, nous n’aurions pas été contre, hein les filles ? 

 


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