Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prose

 

Auteur: Mercury80

Status: En cours

Série: City Hunter

 

Total: 77 chapitres

Publiée: 14-04-21

Mise à jour: 17-04-24

 

Commentaires: 31 reviews

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GeneralHumour

 

Résumé: Que se passe-t-il quand le générique de fin apparaît après la fin d'une mission ? Entrons dans ces moments cachés

 

Disclaimer: Les personnages de "Après le clap de fin" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Astuces & Conseils

Qu'est-ce que les ratings veulent dire?

 

La classification des fanfictions repose sur le système américain utilisé pour le cinéma et par simplicité ce système est repris pour le classement des fanfictions. Les classifications les plus courantes sont: - G : pas de violence, pas de situation ou de référence à caractère sexuel (pas de nudité, pas de sexe, pas de drogue, ...) - Tout ...

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   Fanfiction :: Après le clap de fin

 

Chapitre 62 :: Chapitre 62

Publiée: 03-01-24 - Mise à jour: 03-01-24

Commentaires: Bonsoir, voici un nouvel épisode des claps de fin. Celui-ci se passe à la fin de l'épisode où Kaori perd la mémoire en protégeant son partenaire. Bonne lecture et merci pour vos commentaires^^

 


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Chapitre 62 : Episode 71 : Kaori perd la mémoire !  

 

Seules en bas de l’immeuble de briques rouges, Saeko et Reika jettent un coup d’oeil vers le dernier étage, se demandant ce que peuvent bien se dire les deux partenaires maintenant que Kaori a retrouvé la mémoire et qu’elle est rentrée chez elle.  

 

- Ca a dû être un sacré choc pour elle de voir qu’il s’était débarrassé de tous ses meubles., pipe Reika.  

- Je n’aurais pas apprécié, moi ! Je n’arrive pas à croire qu’elle lui ait pardonné si facilement.  

- Ca fait longtemps que c’est un peu particulier entre eux. Tu sais qu’il y a plus que ce que laissent penser les apparences., répond sa sœur avec un fin sourire.  

- Oui, je sais., soupire sa cadette.  

- Tu étais sérieuse lorsque tu as dit que tu lâchais l’affaire ?, l’interroge Saeko, toujours surprise de l’abandon de sa sœur.  

 

Reika est plutôt du genre teigneuse et elle semblait accrochée à Ryô mais elle venait certainement de comprendre la profondeur des sentiments qui lient ces deux-là. A savoir s’ils l’ont compris maintenant eux-même voire même s’ils se le sont avoués. Elle aimerait beaucoup être une petite souris cachée dans un coin de l’appartement.  

 

- Oui… J’ai vu la manière dont il a réagi et ce n’était pas la réaction de quelqu’un qui se fiche du sort de l’autre., explique la détective.  

- Dommage, j’aurais bien aimé avoir l’opportunité de devenir sa partenaire.  

- Et pourtant quand il te l’a proposé, tu l’as giflé., lui rappelle sa sœur aînée avec un sourire amusé.  

- Ben oui ! Je n’ai pas apprécié la manière dont il me l’a proposé., avoue Reika.  

- Il ne voulait pas d’une partenaire professionnelle mais une fille à mettre dans son lit !  

- Oui, il a trouvé le moyen de te leurrer., lâche Saeko.  

- Mais elle aussi… Tu crois qu’il va lui dire clairement qu’il l’aime ?, se demande la détective.  

 

Saeko observe un point dans le vide, y réfléchissant sérieusement. Connaissant Ryô, elle aurait tendance à assurer que non mais, depuis les derniers développements, elle n’est plus aussi sûre d’elle.  

 

- Je ne sais pas. Je voudrais savoir. Ca me rend curieuse., avoue-t-elle.  

- Moi aussi., lui confie Reika.  

- Et si on remontait ? Si on allait espionner ?, propose-t-elle.  

- On ne tiendra pas deux secondes même derrière une porte., lui oppose l’inspectrice.  

- C’est vrai… et puis ça lui donnerait une bonne excuse pour ne pas affronter la réalité s’ils sont sur le point de le faire…, réalise la détective.  

- Oh…. C’est frustrant de ne pas savoir. Si ça continue comme ça, on va encore passer soixante-dix épisodes sans savoir !, grogne-t-elle.  

- Et qui sait si on aurait même le fin mot de l’histoire à ce moment-là…, lâche Saeko.  

 

Reika tombe à genoux par terre, dépitée.  

 

- Oh… C’est désespérant…. Il faudrait faire quelque chose pour les booster., soupire-t-elle.  

- Ben oui… mais quoi ?, lui retourne Saeko.  

- Les massues de Kaori ne lui ont rien fait. Je suis sûre qu’il n’acceptera jamais de lui dire la vérité et encore moins d’avouer à tout le monde qu’il l’aime., poursuit-elle.  

- Il aura trop peur de ce qui pourrait lui arriver. Tu l’as entendu quand il a déménagé ses affaires. Il a dit que c’était pour sa sécurité, qu’il ne voulait pas que la prochaine fois, elle meure., rajoute-t-elle.  

- Lui dira-t-il à elle ?, réplique Reika.  

- Ah ça… lui seul pourrait nous répondre et tu sais qu’il ne le fera jamais., conclut son aînée.  

 

Elles montent tous deux en voiture et Saeko s’éloigne de là.  

 

- Cette histoire de rêve, tu en penses quoi ? Tu sais, Kaori a dit qu’elle avait fait un merveilleux rêve à propos de l’homme qu’elle aimait et qu’il lui avait parlé… tu crois vraiment qu’elle a rêvé ou elle ne veut rien dire ?, l’interroge Reika.  

- Je crois que Ryô a déteint sur elle ou alors qu’elle voudra le protéger., répond l’inspectrice.  

 

Tout en haut, au dernier étage, deux personnes se font face. Ryô est abasourdi après que sa partenaire lui a annoncé qu’elle lui pardonnait d’avoir déménagé ses affaires.  

 

- Tu… tu plaisantes ?, lui retourne-t-il, clignant des yeux.  

- Non. Je ne te punirai pas… mais il va falloir que tu fasses revenir tous mes meubles. Je rangerai… parce que je n’ai pas envie que tu trifouilles une nouvelle fois dans mes petites affaires mais tu devras les appeler pour qu’ils ramènent le tout et dédire l’appartement., lui fait-elle savoir.  

- D’ailleurs, où tu m’avais envoyée ? Dans un lieu pourri, je suppose., pense-t-elle, tapant du pied et fronçant les sourcils.  

- Je… J’avais réussi à trouver un appartement dans l’immeuble où vous viviez avant., lui apprend-il à mi-voix.  

- Tu…, commence-t-elle, surprise.  

- Je me suis dit que tu t’y sentirais peut-être mieux., lui avoue-t-il.  

- Comme ça, tu risquais moins de vouloir revenir., se justifie-t-il de mauvaise foi.  

- Mouais…, se reprend-elle.  

 

Elle a fait un beau rêve, un rêve où il lui disait des choses merveilleuses, des choses qui allaient de pair avec les fleurs mais apparemment, tout cela ne doit rester qu’au stade du rêve.  

 

- C’est pour ça aussi que tu as gardé les massues ?, l’interroge-t-elle, amusée.  

- Ah ça… J’ai pas eu le temps., ment-il éhontément.  

- Tu aurais peut-être dû passer moins de temps chez le fleuriste. J’ai adoré les oeillets blancs et c’était original de rajouter la petite touche de couleur., lui retourne-t-elle.  

- Qu’est-ce que c’était comme fleur d’ailleurs ?, l’interroge-t-elle innocemment.  

- J’sais pas… Je voulais juste donner de la couleur au bouquet., se défend-il.  

 

Il est mal. Ce qu’il lui a dit sur le coup de la peur, parce que son regard l’implorait, il se sent bien incapable de le redire maintenant.  

 

- Dommage… Bon, je compte sur toi pour me ramener mes meubles. En attendant, je vais devoir dormir dans la chambre des clients., lui apprend-elle.  

 

Il se retient de lui proposer de partager sa chambre de justesse.  

 

- Fais comme tu veux. Bon, ben moi, j’ai à faire si j’ai bien compris. Je vais me dépêcher de te rendre tes biens., soupire-t-il.  

- Merci… et merci d’avoir été là à l’hôpital, Ryô., fait-elle d’une voix douce.  

 

Il se retourne avant de sortir de la pièce et plonge un regard profond dans le sien.  

 

- Merci à toi de m’avoir sauvé la vie, partenaire., lui retourne-t-il.  

- De rien. Oh et Ryô… tu parles bien… même sans les mains., réplique-t-elle, lui décochant un sourire malicieux.  

 

Il prend un air idiot comme s’il ne comprenait pas mais, dès qu’il est hors de la chambre, il sourit franchement, se souvenant de leur conversation devant le fleuriste quand elle lui parlait du langage des fleurs et que lui jouait les imbéciles en lui parlant du langage de ses mains pour conter fleurette aux demoiselles. Finalement, il savait aussi bien parler avec des mots… c’était juste plus difficile de faire face à la personne après… et visiblement, Kaori l’a compris et le ménage. 

 


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